Un père de famille de la région de Messaâd, dans la wilaya de Djelfa, vit un véritable calvaire depuis la naissance de sa petite fille qu'il a prénommée Hassina. Mal lui en prit, le papa se présente à l'état civil pour procéder au changement de ce prénom (sachant que Hassina signifie en arabe notre puits). En vain. Du coup, le malheureux papa, qui n'a pas eu le temps de fêter la naissance de sa fille, traîne entre le tribunal, le commissariat de police et l'APC dans l'espoir de changer ce prénom par qui le malheur est arrivé. La règle veut que tout changement de prénom inscrit à l'état civil doit faire l'objet d'un jugement de justice.