Mohamed Bouabdellah a décidé de ne pas briguer la présidence de la Confédération africaine de tennis, suite à l'indifférence et au retard dans la réponse du ministère de la Jeunesse et des Sports dans le traitement de sa candidature. Alors qu'une telle intention doit être encouragée et soutenue moralement et matérialement, pour permettre au sport algérien d'investir la scène continentale, le président de la Fédération algérienne de tennis n'a eu droit qu'à une lettre signée par un directeur central l'autorisant à présenter sa candidature. Est-ce là la meilleure manière d'aider les dirigeants sportifs algériens à postuler aux postes de responsabilité au sein des structures sportives africaines, pour apporter un plus au sport national lors des compétitions continentales ?