Présentant sa candidature pour succéder au poste de vice-président de la Confédération africaine de tennis, qu'occupait jusque-là son prédécesseur à la FAT, le Dr Mohamed Bouabdallah, le président de la Fédération algérienne de tennis, le professeur Djennas, n'a pas réussi à se faire élire. En effet, l'élection, qui s'est déroulée lors du récent congrès de cette instance, a été remportée par le candidat marocain. Encore un poste de perdu pour l'Algérie au sein des instances sportives continentales !