Finance, justice, commerce ce sont les secteurs dans les quels des programmes ont été développés par les USA en Algérie en matière d'assistance économique et détaillés par son excellence Mr S. Robert Ford ambassadeur des Etats-Unis en Algérie, lors d'une rencontre avec le président du forum des chefs d'entreprises. l'ambassadeur des Etats-Unis a évoqué un programme avec le ministère des Finances algérien et la Banque d'Algérie portant sur la structure et le contrôle des banques ; un expert doit travailler en Algérie, durant une année, pour ce programme. Un second programme a été engagé, également, dans le secteur financier, et visant en particulier la fourniture d'une assistance technique dans le domaine des hypothèques et des sûretés. Avec les banques commerciales, il est engagé un programme de coopération en vue de fournir des formations, notamment dans les domaines de la gestion des risques commerciaux, de la gestion des portefeuilles, etc. Le ministère du Commerce américain coopère, par ailleurs, avec l'Ecole nationale de la magistrature sur la question des différends commerciaux. En matière de communication, un programme de coopération est engagé avec l'autorité de régulation ARPT. Un autre grand volet de coopération fait également l'objet de préoccupation par les deux parties ; il s'agit du volet relatif au développement de la franchise. l'ambassadeur des Etats-Unis a indiqué qu'il serait intéressant de concevoir un programme de visite des hommes d'affaires algériens aux Etats-Unis ; l'ambassade américain peut, dans ce cadre, apporter un appui aux entreprises algériennes pour se faire connaître aux Etats-Unis ; des rencontres entre les hommes d'affaires algériens et américains pourraient être organisées à cet effet. L'ambassadeur a rappelé que l'ambassade des Etats-Unis à Alger a amélioré les conditions d'octroi des visas pour les hommes d'affaires algériens se déplaçant aux Etats- Unis. “cela n'est malheureusement pas le cas pour ce qui concerne l'ambassade d'Algérie à Washington qui ne délivre que des visas de courte durée (90 jours). Or, pour développer les échanges, il est nécessaire d'avoir de part et d'autre de grandes facilités de délivrance de visas”, souligne-t-il. R. E.