Contrairement à ce que soutient Abdelaziz Belkhadem, la crise au FLN n'est pas une invention de la presse. Cette crise existe bel et bien, comme en témoignent les documents distribués dans des kasmas appelant les militants à ne pas s'impliquer dans la campagne et à boycotter les élections. Ces documents, sans signature, portent néanmoins l'empreinte des frondeurs, dont des membres de la direction actuelle qui veulent la tête de Belkhadem.