Le chiffre à de quoi surprendre plus d'un : pas moins de 30% des occupants des chambres universitaires sont des clandestins. Parmi les indus occupants, des anciens étudiants qui travaillent et continuent d'occuper les chambres, des fonctionnaires et des salariés de différents secteurs. Il y a même des étudiants qui sous-louent leur chambre. C'est une source proche du ministère de l'Enseignement supérieur qui nous révèle cette information en faisant savoir que le département de Harraoubia a décidé de faire une chasse systématique aux clandestins à travers un contrôle rigoureux à partir de la rentrée prochaine.