Un journaliste algérien sur trois a un antécédent d'hypertension, de diabète ou de maladies cardiovasculaires, a affirmé hier le professeur Abdelkrim Berrah, président de la Société algérienne de l'hypertension artérielle (Saha). Le professeur qui présentait devant la presse les résultats d'une étude sur la prévalence de l'hypertension artérielle dans le milieu journalistique a indiqué que sur le lot de journalistes concernés par cette étude (124 journalistes), et dont la plupart sont âgés entre 35 et 50 ans, 92 d'entre eux présentaient une tension artérielle normale, alors que 18 autres sont des hypertendus chroniques, dont 6 ne se traitent même pas, alors que 3 autres présentaient une hypertension masquée.