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Le savoir, la pelle et la pioche
Publié dans La Nouvelle République le 27 - 09 - 2011

Frenda, capitale de Sidi Amor, surnommée par les historiens, fief d'Ibn Khalddoun, berceau de Jaques Berque et des saints patrons qui y ont marqué leur passage. Capitale de Sidi Amor, Frenda est une région d'art et histoire avec ses vestiges historiques, les tombeaux de Ledjdar, les grottes du sociologue Abderrahmane, la bibliothèque de Jacques Berque et la coupole du cheikh Boughoufala.
Frenda, ce paradis aux milles royaumes, offre une ambiance particulière que nous avons vécue lors d'une visite au sein de la zaouïa. Une halte oblige au mausolée de ce saint homme vénéré depuis des siècles par la tribu Ghouafla. Le fils de Sidi Boumediene est né sur les monts du djebel Lakhdar pour regrouper des attachés du savoir sur les distancées des versets coraniques avant de la renommer El Warz. Après quelques décennies, s'installent, sur l'autre rive de Aïn Defla vu sa situation géographique et ses richesses, les tantes à Mehrez et Baatcha. Les dernières années, le Mokaddam et ses principaux s'installent en plein centre de la ville d'Aïn Hedid et quittent les gourbis et le mausolée de Sidi Boughoufala, la main sanguinaire oblige. Aujourd'hui, ce lieu saint attire de plus en plus de visiteurs, particulièrement des hommes du savoir qui s'y rendent pour apprendre encore plus le saint Coran. Apprendre et lire les dimensions du Coran Lors de notre passage, on a enregistré plus de 120 inscrits à l'école coranique venus des différents coins de la région et des groupes de nouveaux (Guendouz). L'entrée est magnifique. Un bloc est réservé aux visiteurs avec une grande salle d'accueil d'une capacité de plus de 150 places et une grande salle de prières en plus de toutes les commodités nécessaires. La zaouïa Ghouafla reste l'un des monuments les plus visités d'Aïn Hedid, une commune de 25 000 âmes qui est sortie effroyablement de son anonymat au cours de la décennie rouge. Son nom faisait les unes de la presse nationale et internationales. Aujourd'hui, les regards sont tournés vers l'avenir et l'espoir est illustré dans ce grand portrait du président de la république : «Je veille sur vous». Au volet de l'habitat, plus de 200 logements ont été construits ces deux dernières années et 40 familles seront relogées dans les prochains jours dans le cadre du programme de lutte de l'habitat précaire. Il est aussi prévu la réalisation d'un CET et un centre de formation spécialisé dans le domaine de l'agriculture et la maintenance. Les villageois scolarisés rêvent de la bleue Touahria est une bourgade située près de la ville de Takhmaret qui compte une population avoisinant les 1 200 âmes. Elle vit des jours meilleurs avec le retour des villageois et beaucoup d'argent a été injecté pour régler certains problèmes. le centre de santé est squatté par un nomade et de l'autre côté les écoliers refusent de quitter les bancs de la classe. Vu le manque de loisirs, la population interpelle le wali pour un second coup de starter pour l'ouverture des pistes et le raccordement des gourbis en énergie électrique. Bounoual compte 3 700 âmes, selon les statistiques, et a bénéficié d'un groupe scolaire de 6 classes et 4 logements de fonction seront réalisés sur une poche foncière de 2 000 m2 selon la fiche technique dont l'enveloppe dégagée avoisine 26 000298 420 DA. Pour les usagers des CCP, ils continuent à souffrir le martyre car le constat cinglant du projet de l'annexe postale a été lancement en décembre dernier pour un délai de réalisation de 8 mois avec un montant de plus de 13 000 000 DA est actuellement en souffrance ; la dalle a moitié réalisé sur une poche de 227 m2. Reste l'unique demande du représentant pour l'amélioration urbaine vu la situation des artères poussiéreuses en été et boueuses en hiver. Quant à la jeunesse, elle a préféré enterrer le fardeau du passé et a rejoint les champs profitant des aides étatiques au chapitre des pelles et des pioches. Aujourd'hui, des pistes agricoles de 30 km vous font découvrir les vingt douars de la région, un projet inscrit dans le cadre du PPDRA et réalisé en 6 mois avec un montant de 24 429 500 DA. L'élu voleur de l'énergie épinglé Un second projet concerne la réhabilitation de 30 km de la RN 14 reliant Takhmaret à Aïn Hedid avec un coût de 447 000 000 DA et pour l'entretien figure au bord de la route une nouvelle maison cantonnière abandonnée par les responsables de la DTP. Manque d'expérience ou laisser-aller total ? Pour étayer nos dires, la formation des métreurs-vérificateurs et les équipements pour la voirie et l'entretien attendent l'arrivée des cols bleus. Le plus grave, ici à Tiaret, des responsables du secteur gère chacun à sa manière et la catastrophe a conduit la délégation sur les lieux. La fameuse brettelle au sud de la ville de Frenda (RN 14-CW Ouled Djerad) réalisé selon les normes du système D, ce que confirme la réception d'un tronçon qui ne répond pas aux normes, car réalisé sur un ravin et une intersection sans visibilité qui a causé plusieurs accidents. (A suivre)

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