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«Les partis existants ont pollué le champ politique»
Publié dans La Nouvelle République le 31 - 03 - 2012

Le président du Parti de la liberté et de la justice (PLJ), Mohamed Saïd Belaïd, de son vrai nom Mohand Oussaïd Belaïd, a accusé, hier, sur les ondes de la Radio de Tizi Ouzou, dont il était l'invité de l'émission «Tizi Forum», les partis politiques existants (les anciens, ndlr) d'avoir «pollué» le paysage politique national.
Ils sont contre l'ouverture du champ politique donc du changement qui doit se faire dans la «stabilité» politique et loin de l'anarchie. Qu'ils (les partis, ndlr) assument. «Au PLJ, notre participation à ces joutes électorales, les législatives du 10 mai prochain, nous a permis de découvrir à quel point le climat politique est pourri, comment se monnayent et se vendent les candidatures, au su et au vu des pouvoirs publics », a-t-il indiqué, insistant sur la nécessité de «moraliser la vie politique». S'exprimant sur les garanties du chef de l'Etat quant à la régularité et à la transparence du scrutin, l'invité de Tizi Forum a indiqué que celles-ci existent. Seulement, seront-elles appliquées sur le terrain ? s'est-il interrogé, convaincu que «si, le pouvoir a cette volonté politique de se conformer à ces règles, ces élections ne seront pas entachées d'irrégularités». Pour le président du PLJ, le gel des activités de la Commission nationale de surveillance des élections législatives (CNSEL) depuis quelques jours constitue un mauvais signe pour la crédibilité de ces législatives qui constituent un virage décisif pour l'Algérie et qu'il faut réussir faute de quoi ce sera un saut vers l'inconnu. Mohamed Said, considère, par ailleurs, que la prochaine Assemblée populaire nationale (APN) ne sera pas constituée de majorité. «Il n'y aura pas de majorité au prochain Parlement qui sera constitué de mosaïque faite d'alliances», a-t-il indiqué, ajoutant qu'aucun courant politique ne peut, par le jeu de la proportionnelle, à lui seul, gouverner le pays», comme pour désavouer ceux qui tablent sur l'arrivée des islamistes comme cela a été le cas chez les pays voisins, la Tunisie, le Maroc. Interrogé sur d'éventuelles alliances avec le courant islamiste, le président du PLJ, s'est dit opposé à l'instrumentalisation de l'islam à des fins politiques et parfois mêmes, bassement politiques. Le PLJ qui sera présent dans 30 wilayas, dont 11 au centre, œuvrera pour l'instauration d'un régime parlementaire spécifique en tenant compte des traces et conséquences de la tragédie nationale, autrement, en s'appuyant sur ce qu'il a qualifié de socle, la réconciliation nationale. Au PLJ, nous prônons la politique d'équilibre régional qui était appliquée du temps de Houari Boumédienne, a-t-il indiqué encore.

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