Tel est pris qui croyait prendre. Un adage qui s'applique bien aux Etats-Unis, dans la situation actuelle. Eux qui croyaient combattre le terrorisme de par le monde, ne feraient-ils pas mieux d'abord de le faire sur leur propre sol avant d'aller massacrer des innocents à coups de drones sous prétexte qu'ils font partie d'Al Qaïda qui, rappelonsle a été créée par les Etats-Unis lorsque Ben Laden and Co étaient utilisés comme rempart au communisme en Afghanistan. Ainsi, depuis le 9/11, la paranoïa s'est emparée des Américains. Les quelques fusillades perpétrées non pas par des islamistes, mais bel et bien par des Américains au bord du désespoir, ont permis aux autorité américaines de renforcer leur liberticide, leur dictature, et ce, au nom de la perpétuelle lutte contre le terrorisme. Lundi dernier, une nouvelle alerte a été signalée sur le campus de l'université de l'Etat du Connecticut. La direction de l'établissement a demandé à ses étudiants et à ses enseignants de se mettre à l'abri : «Verrouillez les portes, fermez les fenêtres. Nous communiquerons lorsque nous aurons plus d'informations. Ceci n'est pas un exercice», a insisté le bureau de l'Université à travers plusieurs messages postés sur Twitter. Finalement, vers 15h, l'université annonçait sur Twitter qu'un suspect avait été interpellé par la police. L'état d'alerte n'était pas levé pour autant. Les cours, eux, ont été annulés pour la journée. Selon le Washington Post, la police aurait mentionné la présence d'un homme muni d'une arme à feu et d'un couteau. Selon un témoin, l'homme serait vêtu d'une armure. Et le feuilleton continue. Une fusillade de plus Cette fois, c'est dans le New Jersey qu'un homme a ouvert le feu dans le centre commercial Westfield Garden State Plaza à Paramus, peu avant sa fermeture. Deux personnes ont été blessées. Le suspect n'est pas arrêté. Selon la chaîne NBC News, dans l'immédiat, il reste à l'intérieur du centre. L'envoyé de la chaîne de télévision WCBS-TV communique que d'après les informations préliminaires, la fusillade a été menée par deux hommes. La police a bloqué le bâtiment Des agents du FBI et des forces spéciales de police participent à l'opération Détournement... d'un bus Que pourrait bien faire un Ethiopien en Norvège ? Et pourtant, armé d'un couteau, un Ethiopien a tenté de détourner un bus assurant la liaison entre la station de ski de Valdres et Oslo. Trois personnes, dont le chauffeur du bus, ont été poignardées à mort. L'auteur présumé de l'attaque a été maîtrisé par les pompiers dépêchés sur les lieux. Le suspect souffrant de blessures superficielles a été hospitalisé. Pour l'heure ses motivations sont inconnues.