Des historiens algériens ont plaidé pour la «nécessité» d'ouvrir les archives disponibles et inhérentes à la période de la révolution du 1er novembre afin de les mettre à la disposition aussi bien du grand public que pour un usage spécialisé, soulignant la «valeur» inestimable que revêtent certains documents. Contactés par l'APS, les historiens et chercheurs, Hassan Remaoun, Amar Rekhila et Mohamed El Korso ont tous appelé à déclassifier ces archives et à les ouvrir aux chercheurs, universitaires, étudiants et même au grand public, allant dans le sens de la récente déclaration du président de l'association des anciens du ministère de l'Armement et des liaisons générales (MALG), Daho Ould Kablia.