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M'hamed Hadji, secrétaire fédéral du FFS à Chlef, tête de liste aux législatives
Publié dans La Nouvelle République le 06 - 04 - 2017

À la veille de l'entame de la campagne électorale en prévision des législatives du 4 mai 2017, le secrétaire fédéral de la région de l'ouest du Front des forces sociales a modestement accepté de répondre aux questions de La Nouvelle République.
M'hamed Hadji se dit optimiste au vu de la popularité et du nombre de militants et sympathisants du FFS qui ne cesse de croître. Lors de cette interview, la tête de liste FFS au niveau de la wilaya de Chlef revient sur les critères de confection de la liste des candidatures. La campagne pour les prochaines législatives s'annonce plutôt sereine pour le FFS en dépit des problèmes d'ordre financier, voire bureaucratique. La Nouvelle République : Vous êtes à la tête de la liste du FFS, d'abord qui est M'hamed Hadji ? M'hamed Hadji : je suis âgé de 45 ans, natif de la wilaya de Chlef. Je suis actuellement fonctionnaire à l'APC de Chlef. Sur le plan politique, je suis militant du Front des forces socialistes depuis 2012. J'occupe actuellement le poste de secrétaire fédéral chargé de la région de l'ouest d'Algérie. Vous avez pris beaucoup de temps pour confectionner la liste de candidature aux législatives du 4 mai 20417. Pourquoi ? Et quels en étaient les critères ? À vrai dire, le parti est structuré depuis sa création, sa gestion obéit à un ensemble de principes et une ligne directive. Ainsi, la sélection des militants ayant déposé leurs dossiers pour candidater à la députation s'est faite en toute transparence et en fonction du parcours du militant dans les rangs du parti. Il faut signaler que le bureau de wilaya du parti a pris en considération les profils universitaires et a privilégié la candidature des jeunes tout en assurant une bonne représentativité à travers les circonscriptions électorales que compte la wilaya. Après quelques jours de concertation avec les membres du conseil de wilaya du parti et d'études de dossiers, nous avons enfin pu confectionner une liste qui a fait l'unanimité parmi les militants et les membres du parti. Pour preuve, la liste remise à la commission nationale chargée de candidature a été approuvée sans aucune réserve. Est-ce qu'on vous a imposé quelques noms par la direction du parti ou un membre influent ? Franchement non, de telles procédures ne se produisent pas dans notre formation politique. La liste que nous avons confectionnée en concertation avec les militants de base a été remise à la direction du parti pour étude. Une étude basée essentiellement sur la transparence et loin de toute pression ; ce qui est plus important en premier lieu est le parcours militant de chaque candidat au sein du FFS. Quant au choix des candidats pour le pilotage de listes, la priorité a été donnée aux syndicalistes et cadres à l'instar des journalistes, enseignants universitaires. Ces derniers sont, semble-t-il, les plus habiles pour transmettre les préoccupations des citoyens parce qu'ils sont en contact permanant des citoyens et constatent au quotidien leurs problèmes. Je vous signale également que ce fléau de l'argent sale dit chkara n'a pas lieu d'être dans notre parti. Avez-vous rencontré des difficultés pour trouver des candidates ? Le Front des forces socialistes n'a rencontré aucun problème sur ce plan au niveau national, c'est le même cas pour la wilaya de Chlef, où le bureau compte des femmes formées dans le militantisme politique et qui activent dans ce sens tout au long de l'année et pas uniquement dans les événements électoraux. La gente féminine dans le FFS a son mot à dire et détient un statut particulier au sein des structures du parti. Quant à la sélection des femmes candidates, nous avons opté bien entendu pour les profils ayant une expérience dans la vie politique. On sait pertinemment que les militants de la fédération du FFS de Chlef activent tout au long de l'année durant les cinq dernières années. Ne craignez pas les partis qui n'apparaissent qu'à l'approche des élections ? Absolument pas, il est des formations politiques qui apparaissent à la veille de chaque rendez-vous électoral d'autant plus que certaines d'entre elles sont réputées par leurs comportements et pratiques malsains vis-à-vis de l'éthique. Toutefois, nous nous sommes préparés pour de telles surprises qui visent nos militants ou candidats. Ainsi, cela ne nous empêche pas de continuer notre course aux législatives avec beaucoup de force et confiance qu'on inspire de notre popularité. Il ne faut pas oublier que nous avons pu en une courte période collecter plus de 6 000 signatures. Un nombre qui dépasse largement le nombre requis, et ce, grâce aux efforts des militantes et des militants de jour comme de nuit. Actuellement, le citoyen devenu conscient et peut faire la différence entre les vrais militants et politiciens qui sont souvent présents sur la scène, et les opportunistes qui n'apparaissent qu'à l'approche des rendez-vous électoraux. De même, à quelques semaines des prochaines élections législatives, le phénomène de la transhumance ou nomadisme politique était de retour chez nous avec la reprise de ces fameux «va-et-vient» de «militants», migrant allègrement d'un parti à un autre dans un sport typiquement algérien. Quel est votre avis quant à la composition de la commission permanente de la Haute-Instance indépendante de surveillance des élections ? Pardon ! Mais je ne suis pas en mesure de prendre position vis-à-vis d'une question nationale. Je tiens également à vous rappeler que nous les militants du FFS, avons appris de notre chef spirituel du parti le défunt Aït Ahmed d'avoir une prise de conscience et d'aller toujours en avant avec beaucoup de prudence et de réserves. Nous ne pouvons donc pas se prononcer sur certaines questions qui nous dépassent ou qui ne relèvent pas de nos préoccupations. Quel est le slogan que vous avez choisi pour entamer la campagne des législatives du 4 mai prochain? En fait, nous n'avons pas encore reçu le slogan du parti. Il se peut que le bureau national opte pour certaines images ayant un fond national permettant de donner ne grande dimension au parti. Cependant, nous avons reçu des instructions strictes de la direction du parti du Front des forces socialistes nous incitant à travailler sur le respect des opposants politiques, de ne pas procéder à des actes contre la loi, de respecter toutes les lois de la République. Nous sommes également dans l'obligation d'éviter les propos injurieux ou la violence verbale lors de la campagne électorale. Nous sommes contraints selon les directives de la direction du parti de convaincre les citoyens de notre programme électoral calmement loin de toute nervosité afin de mettre en évidence la véritable image de Da El-Hocine et son principe dans le militantisme politique. Il y a quelques mois, le FFS a vécu une crise post-Aït Ahmed. Cela n'influence pas négativement votre participation aux prochaines législatives ? Je suis encore une fois navré de répondre que cette question ne relève pas de mes prérogatives, mais je peux vous confirmer que le FFS accorde une grande importance à la formation de ses militants dans le but qu'il y ait toujours une relève, et ce, depuis sa création du parti. Il est temps de savoir que le parti est considéré comme une école dans laquelle les militants s'initient à la vie politique organisée. Ainsi, le parti ne peut à en aucun cas être affecté par le départ d'un militant ou un cadre d'autant plus que la relève existe toujours. (A suivre)

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