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«L'Algérie reste confrontée à des défis importants»
Publié dans La Nouvelle République le 19 - 08 - 2018

Pour 2018, le projet de loi de Finances complémentaire de 2018, approuvé le 5 juin 2018 par le Conseil des ministres, prévoit une enveloppe de 500 milliards de dinars supplémentaires (environ 4,4 milliards de dollars) d'autorisations de programmes pour relancer une série de projets qui ont été gelés ces dernières années en raison des contraintes financières pesant sur le budget de l'Etat et qui seront financés par le Fonds national d'investissement (FNI).
Cependant, les responsables de ce projet suivent vaguement la description technique sans se soucier des coûts, qui devraient en principe être la principale préoccupation du gouvernement, du ministre etles gérants Pour les comparaisons internationales, il existe des variations selon qu'il existe ou non une contrainte, mais il faut éviter les comparaisons risquées et ne comparer que ce qui est comparable. En Algérie, tous les facteurs sont favorables : la main-d'œuvre est au moins 10 fois moins chère qu'en Europe; il y a relativement peu de mauvais temps; les matériaux utilisés en grande quantité, les granulats (tuf, sable et gravier) ne coûtent quasiment que leurs coûts d'extraction et de concassage, le combustible est 5 à 7 fois moins cher, les loyers, l'électricité et le gaz aussi, les occupations temporaires ne sont même pas payés en Algérie quand il s'agit dele domaine public; mais il y a des problèmes administratifs et des procédures bureaucratiques, sans parler des expropriations et des démolitions qui sont des sources de coûts supplémentaires.
Qu'en est-il du taux de chômage et du taux d'inflation officiel en Algérie ?
Les chiffres sont-ils fiables ?
Il existe une loi économique universelle; le taux d'emploi dépend de la pression démographique, du taux de croissance et des structures des taux de productivité des entreprises à valeur ajoutée compétitives qui doivent à l'avenir concilier flexibilité et sécurité du collectif des travailleurs, à l'aube de la quatrième révolution économique mondiale. Les emplois ne sont pas créés par décret, le moyen le plus simple estcréer des emplois dans l'administration. Le taux de chômage officiel est fortement biaisé, avec le sureffectif des administrations et des entreprises publiques, des emplois temporaires fictifs (5 mois de non-créateurs de valeur ajoutée comme par exemple faire et refaire des trottoirs) et des emplois informels. Paradoxalement, en raison de l'allocation sectorielle de l'investissement via des dépenses publiques fortement biaisées favorisant les emplois très peu qualifiés tels que la construction et les travaux publics (70% des dépenses publiques), les diplômés sont plus susceptibles d'être au chômage, ce qui explique la faiblesse taux de croissance et de productivité. Entre 2017 et 2020, il faudra créer entre 300 000 et 400 000 emplois par an, ce qui s'ajoute au taux de chômage actuel, sous-estimé en raison de la pression démographique et de l'entrée sur le marché du travail de la population féminine sous-estimée dans les statistiques, afin de résoudre le problème persistant du chômage.
Qu'adviendra-t-il des 2 millions d'étudiants diplômés des universités entre 2018 et 2020? Entre 2000 et 2017, le taux de croissance moyen de l'Algérie n'a pas dépassé 3% en moyenne. Bien que ce taux puisse faire rêver de nombreux pays européens, il faut mettre en perspective, car le taux de croissance est calculé par rapport à la période précédente et une augmentation appliquée à un faible produit intérieur brut (PIB) dans son ensemble donne un taux faible. Bien que l'indice de développement humain (IDH) du PNUD soit plus fiable pour mesurer la performance d'un pays, le produit intérieur brut (PIB) a évolué comme suit entre 2001 et 2017: 4 227 milliards de dinars en 2001; - 2005, 7 562 milliards de dinars; - 2009: 9 968 milliards de dinars (effet de la crise); - 11 191 milliards de dinars en 2010; - 2015: 16 952 milliards de dinars et 175,49 milliards de dollars en 2016. Dans son dernier rapport pour 2017, le FMI classe les pays du Maghreb en termes de PIB nominal comme suit: - 1er Egypte, PIB de 336,3 milliards de dollars; - 2ème Algérie, PIB 156,1 milliards de dollars; - 3ème Maroc, PIB de 101,4 milliards de dollars; - 4ème Tunisie, PIB de 42,06 milliards de dollars. Et pour l'Afrique: - 1er Nigéria, PIB de 405,4 milliards de dollars; - 2e Ghana, PIB de 42,69 milliards de dollars; - 3ème Côte d'Ivoire, PIB de 36,16 milliards de dollars; - 4ème Sénégal, PIB 14,77 milliards de dollars; - 5ème Mali, PIB de 14,05 milliards de dollars. Selon la Banque mondiale et le FMI, il sera difficile pour le taux de croissance du PIB de l'Algérie de dépasser le seuil de 2% au cours de la période 2019/2020, ce qui représente une progression anémique dans un pays à revenu intermédiaire avec une proportion très élevée de jeunes, ce qui rend urgent le rééquilibrage des finances publiques.
Mais pour avoir une évaluation objective de l'évolution du PIB algérien, il faut la corriger par l'évolution de la cotation dinar-dollar au taux officiel (toute dévaluation du dinar par rapport au dollar fait baisser le PIB en valeur nominale) dont voici est l'évolution: en 1970, le dinar était coté à 4,94 dinars pour 1 dollar; en 1980, 5,03 dinars pour 1 dollar; en 1995, 47,68 dinars pour 1 dollar; 69,20 dinars pour 1 euro et 77,26 dinars pour 1 dollar; en 2002, 69,20 dinars pour 1 dollar; en 2010, 74,31 dinars pour 1 dollar; en 2013, 79,38 dinars pour 1 dollar; en 2014, 80,06 dinars pour 1 dollar; en 2015, 99,50 dinars pour 1 dollar; et 10 juin 2018, 116 dinars pour 1 dollar et 137 dinars pour 1 euro. Ce dérapage officiel du dinar masque l'importance du déficit budgétaire, en gonflant artificiellement la fiscalité pétrolière et la fiscalité ordinaire à travers les taxes sur les produits importés (calculés en dinars) et donc l'efficacité des dépenses publiques. Vient ensuite le facteur déterminantdele taux de chômage, la pression démographique.
La population algérienne a évolué comme suit: en 1950, 8,87 millions d'habitants; en 1960, 11,27; en 1970, 14,69; en 1980, 19,47; en 1990, 26,24; 2010, 37,06; au 1er janvier 2016, 40,61; au 1er janvier 2017, 41,3; au 1er janvier 2018, 42,4 millions d'habitants. Les chiffres donnés par l'ONS (Office national des statistiques) sur les prévisions de l'évolution de la population algérienne d'ici 2030 seraient de 51,026 millions. Et selon l'hypothèse du taux actuel de 2,4 enfants par femme d'ici 2050 pour atteindre 65 millions d'habitants, des données qui doivent être corrélées avec l'espérance de vie. Alors qu'il est de 77,1 ans pour les hommes et de 78,2 ans pour les femmes, l'espérance de vie sera de 81 ans pour les hommes et de 83 ans pour les femmes d'ici 13 ans.
Quelle est la répartition spatiale de la population? Selon les données pour 2016, le 12 W Les wilayas avec une densité de moins de 20 habitants par km² (Djelfa, Laghouat, El Oued, Naama, El Bayedh, Ouargla, Ghardaïa, Adrar, Béchar, Tamanrasset, Illizi et Tindouf) représentent 89% de la superficie totale du pays. 13% de la population. Les 36 autres Wlayas, toutes situées au nord, ont une densité supérieure à 20 habitants par km², représentent 11% de la superficie (environ 240 000 km2) et regroupent 87% de la population.
En conséquence, compte tenu du faible taux de croissance et de la pression démographique, le nombre de chômeurs, selon l'organe officiel algérien des statistiques de l'ONS, était de 15,3% en 2005, 10% en 2011, 11% en 2012, 9,8% en 2012 / 2013, 10,6% en 2014, 11,2% en 2015, 10,5% en 2016 et reste particulièrement élevé chez les jeunes (28,3%) et les femmes (20,7%).
Dans son rapport de 2018, le FMI a abaissé ses prévisions de chômage en Algérie à 11,2% en 2018, après avoir attendu 13,2% en octobre 2017, avec une projection de 11,1% en 2019. Selon l'ONS, la structure de l'emploi, selon le secteur d'activité, met en évidence un secteur tertiaire (commerce et administration de services). Selon la direction générale de la fonction publique, le nombre de fonctionnaires au 1er janvier 2015 était de 20 020 172 fonctionnaires, dont 1 608 964 à temps plein (79,64%) et 411 208 agents contractuels (20,30%). et se développe, absorbant plus de 60% de la main-d'œuvre totale, suivi de la construction (16,6%), de l'industrie (13,0%) et enfin de l'agriculture (10,6%). Selon le secteur juridique, la division révèle une part relative de 58,8% de l'emploi total, y compris la sphère informelle, qui, selon le ministère du Travail, occuperait entre 25 et 30% de la population.
L'emploi salarié est la principale forme d'emploi avec 65,3% dans le secteur privé formel et dans le secteur public, mais avec des disparités salariales importantes et de grandes disparités observées selon le sexe. L'emploi féminin se caractérise par le nombre de fonctionnaires au 1er janvier 2015 était de 20 020 172 fonctionnaires, dont 1 608 964 à temps plein (79,64%) et 411 208 agents contractuels (20,30%) et en croissance, absorbant plus de 60% des effectifs. total de la main-d'œuvre, suivi de la construction (16,6%), de l'industrie (13,0%) et enfin de l'agriculture (10,6%). Selon le secteur juridique, la division révèle une part relative de 58,8% de l'emploi total, y compris la sphère informelle, qui, selon le ministère du Travail, occuperait entre 25 et 30% de la population. L'emploi salarié est la principale forme d'emploi avec 65,3% dans le secteur privé formel et dans le secteur public, mais avec des disparités salariales importantes et de grandes disparités observées selon le sexe.
L'emploi féminin se caractérise par le nombre de fonctionnaires au 1er janvier 2015 était de 20 020 172 fonctionnaires, dont 1 608 964 à temps plein (79,64%) et 411 208 agents contractuels (20,30%) et en croissance, absorbant plus de 60% des effectifs. total de la main-d'œuvre, suivi de la construction (16,6%), de l'industrie (13,0%) et enfin de l'agriculture (10,6%). Selon le secteur juridique, la division révèle une part relative de 58,8% de l'emploi total, y compris la sphère informelle, qui, selon le ministère du Travail, occuperait entre 25 et 30% de la population. L'emploi salarié est la principale forme d'emploi avec 65,3% dans le secteur privé formel et dans le secteur public, mais avec des disparités salariales importantes et de grandes disparités observées selon le sexe. L'emploi féminin se caractérise par dont 1 608 964 à temps plein (79,64%) et 411 208 agents contractuels (20,30%) et en croissance, absorbant plus de 60% de la main-d'œuvre totale, suivis de la construction (16,6%), de l'industrie (13,0%) ) et enfin l'agriculture (10,6%).
Selon le secteur juridique, la division révèle une part relative de 58,8% de l'emploi total, y compris la sphère informelle, qui, selon le ministère du Travail, occuperait entre 25 et 30% de la population. L'emploi salarié est la principale forme d'emploi avec 65,3% dans le secteur privé formel et dans le secteur public, mais avec des disparités salariales importantes et de grandes disparités observées selon le sexe. L'emploi féminin se caractérise par dont 1 608 964 à temps plein (79,64%) et 411 208 agents contractuels (20,30%) et en croissance, absorbant plus de 60% de la main-d'œuvre totale, suivis de la construction (16,6%), de l'industrie (13,0%) ) et enfin l'agriculture (10,6%). Selon le secteur juridique, la division révèle une part relative de 58,8% de l'emploi total, y compris la sphère informelle, qui, selon le ministère du Travail, occuperait entre 25 et 30% de la population.
L'emploi salarié est la principale forme d'emploi avec 65,3% dans le secteur privé formel et dans le secteur public, mais avec des disparités salariales importantes et de grandes disparités observées selon le sexe. L'emploi féminin se caractérise par l'industrie (13,0%) et enfin l'agriculture (10,6%). Selon le secteur juridique, la division révèle une part relative de 58,8% de l'emploi total, y compris la sphère informelle, qui, selon le ministère du Travail, occuperait entre 25 et 30% de la population. L'emploi salarié est la principale forme d'emploi avec 65,3% dans le secteur privé formel et dans le secteur public, mais avec des disparités salariales importantes et de grandes disparités observées selon le sexe. L'emploi féminin se caractérise par l'industrie (13,0%) et enfin l'agriculture (10,6%). Selon le secteur juridique, la division révèle une part relative de 58,8% de l'emploi total, y compris la sphère informelle, qui, selon le ministère du Travail, occuperait entre 25 et 30% de la population. L'emploi salarié est la principale forme d'emploi avec 65,3% dans le secteur privé formel et dans le secteur public, mais avec des disparités salariales importantes et de grandes disparités observées selon le sexe.
L'emploi féminin se caractérise par 3% dans le secteur privé formel et dans le secteur public, mais avec des disparités salariales importantes et des disparités importantes selon le sexe. L'emploi féminin se caractérise par 3% dans le secteur privé formel et dans le secteur public, mais avec des disparités salariales importantes et des disparités importantes selon le sexe. L'emploi féminin se caractérise parconcentration plus importante dans le secteur public (61,2% de l'emploi total). Quant au taux d'inflation, l'indice est calculé par rapport à la période précédente. Ainsi, un faible taux d'inflation au T1 comparé à un taux d'inflation élevé par rapport au Q0 donne, cumulé, un taux d'inflation élevé et pose la question de l'évolution du salaire réel par rapport à ce taux cumulé.
Le taux officiel a été, selon l'ONS, 4,5% en 2012, 8,9% en 2013, 2,92% en 2014, 4,78% en 2015, 6,40% en 2016, 5,59% en 2017. Le prix du D inarsur le marché parallèle a augmenté en un an, de janvier 2017 à juin 2018, passant de 190 dinars pour 1 euro à 210 dinars pour 1 euro, de nombreux produits vendus aux consommateurs correspondent au prix du marché et accélèrent le processus d'inflation. Pour le FMI dans son rapport d'avril 2018, l'inflation serait de 7,4% en 2018 et de 7,6% en 2019, la BM étant plus pessimiste en annonçant 8,1% en 2019 et 9% en 2020. Cet indice mondial masque des disparités et des besoins historiquement datés, avec des besoins en évolution. Le taux d'inflation officiel est biaisé, il doit être ventilé par produits selon le modèle de consommation par strates sociales (fonction de la stratification du revenu national), étant par ailleurs comprimé artificiellement par les subventions, sinon, il dépasserait les 10%.
D'une manière générale, ces résultats soulignent l'urgence d'une nouvelle gouvernance, fondement d'une réorientation de la politique socio-économique actuelle pour avoir nécessairement un taux de croissance supérieur au taux de croissance démographique, sinon le taux de chômage augmentera (taux de croissance supérieur à 7 / 8% sur plusieurs années pour créer 350 000/400 000 nouveaux emplois par an). Cela ne pose-t-il pas également le besoin d'abandonner les anciens schémas des années 70, notamment en politique industrielle, pour s'adapter à la quatrième révolution économique mondiale qui s'annonce irréversible entre 2020-2030, fondée sur les réseaux, la concertation sociale et la décentralisation? , à ne pas confondre avec la dévolution, avatar de la mentalité bureaucratique des rentiers ? (Suite et fin) M.A.


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