A la moindre Averse, une grande partie du chef lieu de la daïra et Commune de Bordj-Ménaiel se transforme en un énorme bourbier, les eaux débordent sur les trottoirs et en certains endroits pénètrent à l'intérieur des habitations, on patauge dans l'eau. Les habitants et les commerçants qui n'ont eu de cesse à faire des réclamations aux pouvoirs publics, APC, daïra, subdivisions concernées se disent très pénalisés par cet état des choses qui est du à l'absence de caniveaux et d'avaloirs pour canaliser et évacuer les eaux de pluie. Le tronçon reliant la route d'entrée de la ville du coté de Socothyd et le bâtiment Abercy qui en période de pluie est inondé complètement ainsi que l'entrée principale à proximité de China d'Or qui est le plus touché. A chaque intempérie, les rues de la ville de Bordj-Ménaiel sont inondées par les eaux pluviales , les pluies dévoilent les tares et celle qui se sont abattues cette semaine dans la wilaya de Boumerdès notamment ont dévoilé les tares des responsables à tous les niveaux et ont causés plusieurs désagréments sur tous les axes routiers de la wilaya : A Bordj-Menaiel, le lycée Chafai était dans tous ses états, une grande partie des classes était noyée, il ne faut pas oublier que ce dit établissement a subi des dégâts importants lors du séisme du 21 mai 2003 et les séquelles demeurent toujours visibles à l'œil nu, actuellement les chalets qui faisaient office de classe ont été démontées mais il n'y a eu aucune construction en dur pour de nouvelles classes pour les élèves… Dans la commune de Bordj-Ménaiel, les routes sont bloquées par l'affluence des eaux de pluies notamment sur le chemin menant au village Aomar ou à Ain Skhouna, ou vers Ain El Hamra ou les routes sont très dégradées. Plusieurs affaissements se sont produits également sur les routes menant au centre ville du coté de Socothyd- La cité Tahrir, Bousbaa, c'est le chaos total ou plusieurs routes étaient coupées à la circulation, il fallait faire un grand détour pour rejoindre le domicile. Des températures glaciales sévissent depuis plusieurs semaines, il fait très froid, les réseaux routiers en piteux état, il a subit diverses agressions car actuellement, ni les routes nationales, ni les chemins municipales ni encore moins les routes vicinales ne sont épargnés par l'usure conjuguée à des travaux que d'aucun estiment très bâclés. Le tronçon de la route nationale entre Bordj-Ménaiel et si-Mustapha passant par le détour de la ville des Issers allant jusqu'à Thénia a subi d'incroyables dégradations le long de ses trente kilomètres ou il y a eu des ouvrages de la fibre optique et de l' assainissement, aucune des entreprises chargées de leur réalisation n'a appliqué la dernière clause contenus certainement dans le cahier des charges à savoir la remise en état des lieux : Les routes sont dans un état lamentable, en plus d'être truffée de nids de poules, elle est en proie aux affaissements de terrain comme ceux de la route des Issers menant vers Chabet el Ameur : le wali de la wilaya de Boumerdès doit tout revoir car rien n'a été fait correctement, il n'y a pas eu de suivi et cela au grand dam des usagers, nombreux à fréquenter les routes dans cette wilaya.