Un homme averti et attentif qui doit d'abord nettoyer devant lui et mettre fin à la lenteur de l'administration, à la bureaucratie, à l'injustice et à la hogra dont sont sujets les citoyens… Des directeurs, des fonctionnaires, des agents d'administration, des élus locaux, des élus de l'APW, qui se croient tout permis, ils ne dérogent pas à la règle et agissent comme ils veulent, ils ont le pouvoir d'envoyer balader qui ils veulent. A quoi servent-ils ? Franchement, il faut être très pointu pour trouver une réponse à ce genre de comportement, les citoyens savent bien qu'à Boumerdès et partout ailleurs, ils ne sont pas satisfait du travail effectué par les hommes et les femmes censés servir le citoyen, sagesse, professionnalisme, confiance, responsabilité, respect, secret professionnel. Il n'existe aucune complicité professionnelle, il n'existe aucune entente entre cadres et la concertation permanente sur toutes les questions liées aux différentes missions. A quoi sert un wali et quel est son rôle dans sa wilaya si ce n'est d'être à leur écoute et d'entendre leurs doléances, le premier magistrat de la wilaya doit se préoccuper des problèmes des citoyens, et cette initiative œuvre à rapprocher l'administration des citoyens en vue de faciliter le traitement de leurs requêtes et la résolution de leurs problèmes en leur prêtant écoute et en intervenant dans divers domaines et secteurs : hygiène et environnement, assainissement, voirie, éclairage public, réhabilitations des immeubles, des espaces verts, améliorer l'état civil, les affaires sociales, les affaires économiques, améliorer les relations avec les associations et accorder des audiences au public. Le grand problème se situe au domaine, au cadastre et à la conservation foncière de la wilaya de Boumerdès. Les citoyens de la wilaya de Boumerdès sont en désespoir de cause parce qu'ils sont impuissants face à des commis de l'Etat qui au mépris de la loi et par des procédés insidieux veulent déposséder une famille de son bien patrimonial comme le cas de la famille DA qui malgré les maintes réclamations, les nombreux allées et retours auprès de la direction des Domaines de la wilaya de Boumerdès, de la Direction du cadastre de la même wilaya, de la Direction de la conservation foncière leur ordonnant de procéder à une enquête foncière et en effet par lettre datée du 1er juillet 2018, le Directeur des domaines a confirmé que la parcelle de terrain objet du litige est bien une propriété privée : le directeur des domaines et du Cadastre ont exclu formellement l'appartenance de ladite parcelle de terrain de 567 m2 comme propriété de l'Etat, ils ont confirmés son appartenance au domaine privé : cette parcelle a été cadastrée comme étant bien de l'Etat, maintenant que le propriétaire est connu et qu'il a présenté tous les documents y afférents, à savoir acte de propriété, certificat négatif, plan de masse, rien ne semble bouger et cela malgré les maintes mises en gardes écrites, ni les les requêtes transmises au ministre des Finances, à la DGDN, à l'IGF, pour diligenter une enquête lui demandant de mettre de l'ordre dans ses directions et face à ces abus et après avoir tout prouvé durant des années de démarches administratives infernales, la famille D. A. a saisi le tribunal administratif devant mettre un terme à ces dérives, maintes fois promises par les responsables des administrations concernées semble relever du miracle : «Nous avons mare des fausses promesses du directeur des domaines, du directeur du cadastre et de la conservation foncière qui se dérobent à chaque fois fuyant les erreurs commises par leurs services sans toutefois se poser la question du comment peut-on délivrer un livre foncier d'un cabanon en omettant d'inscrire le terrain de 567 m2 figurant dans le même acte de propriété où il est fait mention également sur le certificat négatif», tout en ajoutant que des lettres de réclamations ont été adressées au wali de Boumerdès et au ministre des Finances, au ministre des Moudjahidine pour la restitution de notre bien», seul le ministre des Moudjahidine a répondu nous faisant savoir que la requête a été transmise au ministre des Finances. En attendant et ce n'est que justice, qu'il soit permis à cette famille, victime d'une situation de fait, de reprendre possession de son bien, mais le comble dans tout cela est de quel droit le président de l'APC sortant A. A. de Zemmouri, a-t-il donné autorisation écrite à un individu pour installer un kiosque pour un commerce de tabacs et journaux, un kiosque qui a été construit en béton dans un terrain privé : Monsieur Salamani Mohamed se doit d'intervenir et mettre les points sur les i car il y a anguille sous roche.