1)- SPA TAURES DISTRIBUTION DE CARBURANTS (T.D.C) : 3.166.820.000,00 DA 2)- SPA TAURES DISTRIBUTION DE CARBURANTS (T.D.C) : 2.847.797.468,15 DA 3)-SPA TAURES INDUSTRIES (T.I) : : 1.415.963.000,00 DA 4) SARL HUILIS TRADING (H.T) : 1.093.373.000,00 DA TOTAL : 8.523.953.468,15 DA Pour camoufler ces détournements, la BEA effectuait de fausses écritures de remboursements sous forme d'appels d'échéances et de recouvrement d'impayées : SOCIETES 1) SPATDC 2) SPA TTC 3) SPA T.I 4) SARLH.T APPELS D'ECHEANCES (DA) 1.368.374.956,33 2.791.614,20 805.128.547,08 54.652.550,87 RECOUVREMENTS IMPAYES DA 2.55.125.852,79 1.236.557.547,81 933.648.044,27 924.453.452,15 TOTAUX : 3.925.500.809,02 4.027.697.102,01 1.743.776.591,35 979.106.003,02 Totaux : 5.019.295.668,38 5.656.784.987,02 10.676.080.565,40 Constat : Les 4 filiales du groupe Taures avaient emprunté un montant total de 8.523.953.468,15 DA. Elles avaient remboursé un montant global de 10.676080.565,40 DA, soit un plus de +2.152.127.096,87 DA, soit 25,25% de plus par rapport à l'emprunt. En décembre 2012, Djouadi Abdelhamid, Haouache Kamel, Loukal Mohamed et Latreche Lazhar avaient procédé aux rééchelonnements suivants : 1)-SPA TDC : 1.878.577.O00,00 DA 2)- SPA TTC : 1.712.324.889,80 DA 3)-SPA TI : 715.890.000,00 DA 4)-SARL HT : 584.661.000,00 DA TOTAL : 4.891.452.889,80 DA Pour défendre les intérêts de mon pays, et par voie de conséquence de tous Algériennes et Algériens, au lieu de demander «une tchipa» de quelques milliards de dinars et de quelques millions d'euros pour faire vivre ma famille aux abords du lac Léman en Suisse, j'avais déposé trois (3) plaintes conformément à la loi de la République, laquelle a failli, car elle ne me protège pas en vertu de l'article 45 de la loi 06-01 du 20 février 2006. Le 4/2/2013 auprès de l'Office national de répression de la corruption. Le 3/8/2014 auprès du tribunal de Saïd Hamdine sous le n° 198/14 Le 20/10/2014 auprès du tribunal de Saïd Hamdine sous le n° 272/14. Au regard des résultats décevants conséquences de corruptions criardes, j'avais dévoilé à travers la chaîne El Hayat TV, dans son émission « Les points d'ombre », ce qui est fait de l'argents du peuple, trahi, au nom de qui, certains magistrats imprudents, sans foi ni loi et corrompus qui rendent des décisions de justice de façon cynique. N.B : J'ai déjà déposé des plaintes contre certains d'entre-eux et ils furent sanctionnés en les rétrogradant et en les mutant. III) DEVOILER N'EST PAS DIFFAMER Lors de mon passage entre mars et mai 2019 devant quatre émissions, je n'avais fait que dévoiler les actes criminels dont étaient auteurs Djouadi Abdelhamid, Haouache Kamel, Sadok Youcef, Dahnoun Rachid, et les dirigeants de la BEA, à savoir Loukal Mohamed, Latreche Lazhar, Kessesra Saïd, Damane Mohamed, Semid Brahim, en participant activement ou en me dénonçant, pas allant jusqu'à mentir. Au lieu de m'affronter publiquement, face-à-face à la chaîne, El Hayet, Djouadi Abdelhamid et Haouache Kamel, comme à leur habitude, avaient déposé plainte contre moi au tribunal de Dar El Beida, Chambre 4 où siégeait, m'avait-on dit, une juge qu'ils avaient corrompue. IV) ATTEINTE A L'HONNEUR ET A LA DIGNITE DES AGENTS DE POLICE PAR LA JUGE Après avoir présenté toutes une liste d'accusations à mon encontre, la juge corrompue en concertation avec Djouadi Abdelhamid, Haoouache Kamel et leur avocat Rahal Akid, s'était entendue avec eux pour m'accabler en déclarant ce qui suit : 1)- La juge m'avait fait convoquer par la police. En se déplaçant chez moi, ma femme leur avait fait savoir que j'avais fait un abandon de foyer depuis très longtemps. 2)-Le numéro de téléphone qu'elle prétendait m'appartenir est un faux numéro. Devant l'injustice des gens, il arrive que le Bon Dieu intervienne : Pour des raisons que j'ignore, cette juge corrompue a été mutée et remplacée par un autre magistrat. V) CONVOCATION PAR LE NOUVEAU MAGISTRAT DE LA CHAMBRE 4 Pour traiter la plainte dont il avait hérité, et nonobstant les écrits de sa consoeur qu'il avait remplacé, ce juge d'instruction m'avait fait convoquer par la police. Me connaissant et disposant de mon numéro de téléphone, un des policiers m'appela au téléphone, sans se déplacer chez moi, pour me demander de passer au commissariat afin de récupérer une convocation du juge d'instruction de la Chambre 4 du tribunal de Dar El Beïda. Ce que je fis. VI) L'AUDITION PAR LE JUGE D'INSTRUCTION De prime abord, le juge d'instruction m'avait fait savoir que sa consoeur avait écrit que j'avais abandonné ma famille selon les déclarations des policiers et que j'avais donné les faux numéros de téléphone. J'avais répondu que tout cela est faux et c'est vérifiable en chargeant des policiers pour enquêter dans mon quartier. S'agissant de mon numéro de téléphone, il est enregistré au commissariat et suis connu physiquement. Je lui avais donné le numéro de mon téléphone et me convoqua par SMS, le 10/11/2020. Le 30/12/2020, il m'informa par SMS que mon dossier avait été transmis au juge de siège le même jour. Lors de l'interrogatoire, j'avais demandé de convoquer M. Habet Hannachi, cité comme témoin, seulement, mais non convoqué, puisqu'au regard de la loi, M. Habet Hannachi n'est pas témoin, mais auteur plus que moi des crimes que l'on me reprochait (article 41 du code pénal). M. Habet Hannachi avait exprimé sa volonté de répondre à une convocation quelconque qui émanerait de la justice. Il n'a jamais été convoqué. VII) AUDIENCES A LA CHAMBRE 3 : JUGEMENT N°55/212021 Lors des convocations par le juge de la Chambre 3 du tribunal de Dar El Beïda, les 18/3/2021, 11/4/2021, 20/9/2021, j'avais demandé la présence de Habet Hannachi disposé à être entendu par ce juge de siège. Ils n'ont jamais été convoqués. N.B : Durant l'audience du 20/5/2021, leur avocat, Rahal Akid, ignorant que la juge avec laquelle il avait fomenté de graves accusations contre moi, avait été mutée et qu'elle fut remplacée par un autre magistrat qui avait rédigé un autre rapport, avait débité les mêmes accusations d'abandon de foyer, de faux numéros de téléphone. Le jugement rendu le 10/6/2021, sous le n°55/21 est une insulte envers d'abord le peuple au nom de qui il a été rendu d'une part, et envers aussi toutes les autorités du pays à leur tête le Président de la République et non moins président du Conseil supérieur de la magistrature, sans omettre tous les magistrats. VIII) APPEL A LA COUR D'ALGER DU 21/6/2021 En date du 21/6/2021, j'avais interjeté un appel à la Cour d'Alger. L'audience est programmée pour le 10/10/2021 sous le n°10060/2021. Indépendamment de ce qui interviendra à la suite de vos coups bas, en tant qu'Algérien digne et fier, je ne vous lâcherais pas à aucun prix. IV) CONCLUSIONS Pour terminer, je défie publiquement, Djouadi Abdelhamid, Haouache Kamel, Haouache Cherif, Sadok Youcef, Dahnoun Rachid, Loukal Mohamed, Semid Brahim, Saadaoui Fayçal, Hachach Nadia, et Latreche Lazhar, qui a remonté la pente glissante que lui prédisait Djouadi Abdelhamid pour apporter des contradictions aux accusations suivantes : 1)-Associations de malfaiteurs 2)-Etablissement de PV d'AGEX et d'AGEO frauduleux en vue de les insérer dans des statuts non moins frauduleux 3)-Déclarations mensongères de libération de promesses d'apports 4)-Etablissement de statuts frauduleux pour les faire valoir dans les dossiers de demandes de crédits BEA ; 5)-Usurpations de deniers publics ; 6)-Détournements de deniers publics ; 7)-Détournements de biens et fonds sociaux ; 8)-Non transfert de devises pour les français dans le cadre de leurs promesses d'apports (plus de 6 millions d'euros) ; 9)-Non paiement des impôts ; 10)-Non versements des cotisations patronale et salariales ; 11)-Non paiement des salaires des travailleurs ; 12)-Non paiements des prestations de service ; 13)-Ecritures bancaires fausses 14)-Rééchelonnement frauduleux 15)-Sabotage de l'économie nationale ; 16)-Nouvelle tentative avortée de détournements de deniers publics sous couvert d'une prétendue construction d'une mine de ciment dont l'étude a été réalisée en mai 2019 par un cabinet espagnol « EL CANTARA SYSTEMS». a) Coût des équipements : +148.OOO.000 d'euros b) Génie-civil : +2.823.000.000,00 DA Au fait, M. Djouadi Abdelhamid : Pourquoi vous ne déposez pas plainte contre : 1) Haouache Kamel conformément aux arrêts de la Cour d'Alger n° 3937 du 6/2/2020 et 19891 du 3/2/2021 ? 2) Haouache Makhlouf, votre ami colonel, en vertu de l'arrêt n°6592 du 29/3/2021. Vous ne le faites pas parce que vous êtes le parrain. N. B : L'affaire de Ouargla vient d'être reprise par la police judiciaire. Mr Benchaba