Le ministre de l'Industrie, accompagné du wali de Boumerdès, se tenant sur le statut de la zone industrielle d'Arbatache et supervisant le lancement effectif de la sucrerie après son annexion au secteur public. Le ministre de l'Industrie, Ahmed Zeghdar, accompagné du wali de Boumerdès, en l'occurrence Monsieur Yahia Yahiaten, du président de l'Assemblée populaire de wilaya Monsieur Youcef Tellache, des directeurs de l'exécutif concernés, du chef de daïra de Khemis El Khechna et du président de l'APC de l'Arbatache, les députés du Parlement dans ses deux chambres, le représentant local du médiateur de la République, en l'occurrence Monsieur Ali Boussaidi, ont effectué une visite de travail et une inspection pour connaître l'état de la zone industrielle d'Arbatache, qui connaît un grand développement après avoir été pourvue des différents réseaux vitaux (électricité, gaz et eau), des obstacles ont également été levés de la part des investisseurs qui ont exposés leurs problèmes en déclarant les obstacles. Les difficultés du terrain La rencontre a débuté par une présentation sur l'état de la zone industrielle d'Arbatache par le directeur de l'industrie de la wilaya de Boumerdes, puis le directeur de Sonelgaz, et plus tard le directeur de l'Agence nationale de médiation et de contrôle immobilier sont venus faire une présentation sur l'état d'avancement des travaux de préparation de la zone d'Arbatache.. La zone industrielle d'Arbatache est considérée comme l'une des zones industrielles les plus importantes et les plus vastes de la wilaya de Boumerdès, occupant une superficie de 137 hectares. Les travaux se sont terminés selon les délais impartis. Il a été développé 145 projets. Cette zone industrielle est l'une des trois zones industrielles dont les travaux d'aménagement ont été achevés par l'Agence nationale de médiation et de contrôle immobilier (ANIRAF), institution nouvellement créée par le Président Abdelmadjid Tebboune Cette démarche s'inscrit dans le cadre de l'accompagnement des investisseurs par l'Etat pour renforcer le tissu industriel La wilaya de Boumerdès dispose d'un tissu industriel estimé à 11.502 petites et moyennes entreprises réparties sur différents secteurs. Le nombre d'entreprises industrielles a atteint environ 1.823 entreprises qui regroupent diverses industries, notamment les industries du papier et du bois, la chimie, la plasturgie, le textile, le cuir, le fer et les industries sidérurgiques, en plus de 33 entreprises exportatrices. Aujourd'hui, le lancement effectif du projet d'usine de raffinage du sucre dans la zone d'Arbatache a été supervisé aujourd'hui, ce qui a été confirmé par le ministre de l'Industrie, Ahmed Zaghdar, que cette institution était incluse dans le secteur public commercial et en bénéficiait (Madar Company), après avoir été confisquée par la justice par une décision de justice définitive, et la capacité de production estimée prévue de cette usine est de 2.000 tonnes par jour de divers types de sucre, et la capacité d'absorption de la main-d'œuvre est d'environ 1.200 postes, dont 600 ont été pourvus. 25 mille emplois directs et 600 indirects Cette usine, qui a atteint 75% de progrès, sera équipée des dernières technologies et dispositifs pour assurer une qualité et une productivité élevées. Elle devrait entrer en service au cours de l'année 2023. Pour sa part, Monsieur Yahia Yahiaten, wali de Boumerdes, a confirmé dans sa déclaration sur la zone industrielle d'Arbatache que «le processus de préparation est sur le point de se terminer, et qu'elle est dotée de tous les réseaux vitaux tels que l'eau, le gaz et l'électricité». Il existe environ 40 unités industrielles, et tous les obstacles et difficultés auxquels était confrontée la zone ont été levés afin d'entrer en service, d'autant que l'année 2023 sera une année pour passer à un niveau supérieur en ce qui concerne le secteur de l'industrie et de l'investissement et accompagner les investisseurs pour un saut qualitatif dans le domaine, où il est prévu de créer environ 25.000 emplois, et la région a connu le processus de purification et de récupération de la propriété d'environ 32 hectares de propriété récupérée, et elle sera redistribuée à des investisseurs immobiliers sérieux, conformément à la nouvelle loi sur les investissements.