Au moment où l'entité sioniste poursuit ses abominables et démoniaques crimes contre l'humanité en massacrant, à ciel ouvert et devant le monde entier, des enfants, femmes, vieillards, médecins, infirmiers et jeunes étudiants de Ghaza et Cisjordanie, le Conseil de sécurité de l'ONU persiste dans son silence, son ignorance et son incompétence à arrêter la sale guerre ethnique contre le peuple sans défense de Ghaza. Une situation qui ne peut perdurer longtemps.Hier et dans la grande salle abritant le Conseil de sécurité à New York au siège des Nations unies, l'ONU, les membres dudit Conseil de « sécurité » étaient en réunion urgente, voire un briefing urgent, pour soi-disant traiter et voir la situation humanitaire et le développement de la circonstance chaotique qui prévaut à Ghaza et en Cisjordanie occupée devant l'atrocité, la barbarie, la sauvagerie et la brutalité de l'armée barbare relevant de l'entité sioniste. Une réunion d'urgence qui en est à son quatrième round depuis le déclenchement de la sale guerre de l'armée sioniste désemparée et paniquée par les pertes cuisantes réalisées par les combattants du Mouvement de la résistance du Hamas. Un nouveau round au Conseil de sécurité après trois reprises menées par des échecs attendus, du moment que la France, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont utilisé leur veto, barrant, ainsi, la route à une issue rapide à cette sale guerre ethnique. Hier, et lors de la réunion urgente du Conseil de sécurité, le sujet du jour était le traitement du développement de la guerre entre le Hamas et l'entité sioniste, et à la recrudescence brutale et atroce de l'armée sioniste contre le paisible peuple de Ghaza. Le commissaire général de l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (Unrwa), en l'occurrence Philippe Lazzarini, a présenté un exposé lors de cette réunion urgente. Un haut fonctionnaire du Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (Ocha), a, à son tour, présenté un exposé sur la situation chaotique qui prévaut à Ghaza et également en Cisjordanie. Au 23e jour depuis le début de la guerre entre le mouvement de la résistance du Hamas et l'armée cruelle israélienne, le bilan des agressions sionistes contre la bande de Ghaza a grimpé pour atteindre la barre des 8.000 martyrs et plus de 22.000 blessés, sans compter les milliers de Palestiniens qui se trouvent sous les décombres, selon un bilan provisoire dévoilé, avant-hier, par le ministère palestinien de la Santé, qui précise que 73% des martyrs étaient des femmes des enfants et des personnes âgées en Cisjordanie occupée et à Ghaza, soumise à un blocus sioniste depuis plus de 16 ans. Les chiffres communiqués, avant-hier, par le haut fonctionnaire du Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (Ocha) indiquent la destruction totale des quartiers entiers, alors qu'environ 1.700 Palestiniens étaient portés disparus et pourraient être piégés ou morts sous les décombres du fait des bombardements sauvages de l'armée sioniste, tandis que 1.300 bâtiments ont été complètements détruits par la barbarie de l'armée sioniste, 25 ambulances et 65 hôpitaux ont été, également, ciblés par des tirs de missiles faisant plus de 111 martyrs entre médecins, infirmiers et conducteurs des ambulances, des chiffres qui indiquent la brutalité et l'atrocité de l'entité sioniste sur le peuple sans défense de Ghaza. Des crimes de guerre qui retentissent partout dans le monde, dont les répercussions commencent à s'étendre partout ailleurs. Totalement assiégés et privés de l'approvisionnement en électricité, en nourriture, en gaz, en eau et en abris, la population de Ghaza se trouve, actuellement, et par la faute d'un ordre du Conseil de sécurité, dans une situation confuse et dans des conditions de vie inexistantes, imposés par l'entité sioniste et son armée sauvage. Une situation qui démontre parfaitement la complicité honteuse et historique des membres du Conseil de sécurité avec l'entité sioniste, tout ça rien que pour venger et éliminer toute une population du Ghaza, du plus petit au plus grand. D'ailleurs, le bilan des martyrs démontre bien comment le plan sioniste marche et fonctionne sur le terrain. La moitié des martyrs palestiniens tombés sous les bombes et missiles de l'armée israélienne sont des enfants et des femmes, une sale guerre ethnique contre les plus démunis et les plus faciles à atteindre. Une honte qui incarne, désormais, le Conseil de sécurité, un Conseil de l'ONU qui ne serre à rien sauf à servir leurs maîtres, voire les plus forts au détriment des plus faibles.