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Le sionisme, idéologie suprémaciste, fabrique des pervers et des narcissiques
Idiosyncrasie du sionisme
Publié dans La Nouvelle République le 29 - 02 - 2024

Le sionisme militariste vient de monter d'un cran dans l'horreur et l'abjection. Dorénavant, avec l'extermination systématique des Palestiniens de Ghaza, nous avons affaire au sionisme belliciste génocidaire, assumé avec perversion et narcissisme. Ces deux traits de personnalité des sionistes.
À la longue liste historique des pays totalitaires fondés sur les persécutions, le suprémacisme, les déportations, l'extermination, le génocide, vient s'ajouter Israël. On peut affirmer sans contredit qu'Israël est le dernier pays colonialiste basé sur l'ethnie et la religion, dont la gouvernance repose sur des fondements archaïques, vestiges de l'ancien monde « négrier » façonné par la mentalité esclavagiste : tribalisme, racisme, suprémacisme, théocratisme, totalitarisme, fascisme, nazisme. Tous ces attributs concentrés dans le système sioniste. Le sionisme, idéologie suprémaciste et belliciste, a transformé les juifs israéliens en sociopathes, totalement déshumanisés. Ce profil psychopathique se caractérise par le narcissisme (il n'y a que moi et ma « nation juive » qui comptent, les autres ne sont pas des humains mais des animaux, des objets) ; le machiavélisme (je manipule à ma guise et à merveille pour accréditer et imposer mon narratif informationnel, mon paradigme analytique politique et historique) ; la psychopathie (l'absence d'émotions, notamment d'empathie, qui se traduit par l'indifférence à la souffrance des autres, en l'espèce, des Palestiniens) ; et le sadisme (ce plaisir jouissif à infliger la souffrance à autrui, à jouir des supplices des victimes, notamment des Palestiniens). Le sionisme, idéologie suprémaciste fondée par ailleurs sur une religion qui enseigne à ses adeptes qu'ils appartiennent au peuple élu, fabrique inéluctablement des personnalités à la fois perverses et narcissiques. Des pervers narcissiques. Pour rappel, une perversion désigne une inclination à des comportements « déviants » par rapport aux normes éthiques d'une société, aux conventions sociales, juridiques et politiques universelles d'une époque. De nos jours, le colonialisme est considéré comme une « perversion humaine », un scandale moral, une anomalie historique. À plus forte raison, le sionisme, dernier avatar des systèmes d'exploitation et d'oppression basés sur le colonialisme. Le terme perversion signifie renversement des conventions sociales. Corruption d'une norme morale, d'un mode de gouvernance « égalitaire » (au sens juridique). Perversions incarnées par Israël, pays fondé sur l'apartheid, le colonialisme, le suprémacisme, une politique génocidaire. La perversion se caractérise par une déviation de la normalité, un détournement des conventions sociales universellement admises. Le sionisme est une perversion.
Quant au narcissisme, il désigne l'amour excessif et exclusif de soi, associant survalorisation de soi et dévalorisation de l'autre. Quand on sait que, dans le judaïsme, les enfants d'Israël sont considérés comme le peuple élu, choisis par Dieu pour être le peuple le plus proche de Lui, comparés aux autres peuples (les goyim), le narcissisme imprègne automatiquement les sionistes adeptes de ce dogme religieux. Cette croyance peut induire chez certains sionistes des manifestations d'arrogance, d'élitisme et de discrimination raciale, légitimée, selon eux, par Dieu au nom de ce concept d'élection hébraïque.
Un concept biblique que le sionisme a concrétisé par la colonisation des Palestiniens, réduits à survivre sur leur propre terre dans des conditions infrahumaines, c'est-à-dire en sous-hommes, en « animaux » concentrés dans une prison à ciel ouvert, désormais voués à disparaître par la volonté génocidaire de la puissance sioniste israélienne.
Globalement, une personnalité narcissique, autrement dit le sioniste, se caractérise par un sentiment constant de supériorité, un besoin d'être le point de mire. Mégalomane, elle éprouve un besoin maladif d'être admirée sans réserve et un sentiment que tout lui est dû. Elle manifeste une obsession pour le pouvoir, lieu privilégié par excellence où elle peut donner libre cours à son délire de puissance et exercer sans vergogne sa domination. Elle n'a aucun scrupule à se servir d'autrui pour atteindre le pouvoir, à escroquer l'humanité, à falsifier l'histoire, à instrumentaliser une tragédie, à s'incarner en victimologie, pour assoir sa domination, pérenniser son hégémonie. Ainsi, les personnes narcissiques, c'est-à-dire les sionistes, se sentent supérieures aux autres. Et pour cela, ils sont souvent détestées, car elles sont imbues de leur personne, égoïstes, sans empathie et condescendantes. Celui dont on parle le plus, potentiellement dangereux pour ses victimes, est le pervers narcissique. De manière générale, c'est essentiellement dans l'univers des entreprises et dans le monde de la politique et du pouvoir que les pervers narcissiques sévissent. Prennent leur service. Pour infliger leurs sévices. Et répandre leurs vices. Le pervers narcissique n'existe que pour haïr. La haine constitue son oxygène, son carburant. Il n'aime rien tant que d'opprimer, exploiter, asservir, coloniser. Pour reluire, il doit détruire (en l'espèce les Palestiniens). Il ne brille que par la mise à l'ombre de ses victimes, la mise à mort de ses opposants (résistants palestiniens dans le cas des sionistes génocidaires). L'autre (le peuple résistant, colonisé) est chosifié, déshumanisé. C'est la raison pour laquelle il n'hésite pas à détruire la liberté de l'autre pour se l'approprier, le coloniser, le vampiriser, le néantiser, à l'exemple des Palestiniens de Gaza pulvérisés sous les bombes israéliennes, réduits en cendres dans ce camp de concentration gazaoui transformé en cimetière à ciel à ouvert.
Avec le pervers narcissique, autrement dit le sioniste, on est en présence d'une mentalité d'emblée agressive. Sa perception est subjective, complotiste, dépourvue de toute rationalité. Elle peut même être délirante, paranoïaque. Obsidionale. Au demeurant, foncièrement pessimiste (pétri d'une vision apocalyptique doublée d'une croyance biblique et messianique), le pervers narcissique ne supporte pas l'optimisme salvateur des autres (l'amour de la liberté, l'esprit de libération), la résistance héroïque de ses victimes (opposants, dissidents, colonisés). De là s'explique sa propension à s'acharner à les démolir, à torpiller leur esprit d'indépendance, leurs aspirations émancipatrices, leur inclination libératrice, leur appétence égalitaire.
Le pervers narcissique, autrement dit le sioniste, fait preuve d'une grande psychorigidité (conservatisme, sectarisme, autoritarisme, fanatisme). En permanence, il s'emploie à dénigrer les opposants, militants, résistants. Pour lui, les autres (les opposants, les résistants) sont mauvais (pas lui, bien sûr). Selon lui, s'appuyant sur une conception religieuse et manichéenne, renforcée par le concept d'élection biblique revendiqué par une majorité de sionistes, il incarne le Bien, tandis que tous les autres représentent le Mal ; l'humanité, et les autres l'animalité.
Pour le pervers narcissique, donc le sioniste, faire preuve d'humanité, de sensibilité et d'empathie est l'expression d'une faiblesse, d'une naïve sensiblerie. Pour lui, seuls ses objectifs comptent, ses intérêts l'emportent, ses résultats priment, ses plans de domination prévalent, sa feuille de route hégémonique roule : « la fin justifie les moyens ». Aussi, tous les moyens sont bons pour parvenir à ses fins, y compris la force, la violence, la répression, l'incarcération (de ses rivaux, opposants, résistants), la guerre, l'extermination. Le pervers narcissique, donc le sioniste, avance toujours masqué. Il endosse plusieurs personnalités machiavéliquement construites pour les besoins de ses manœuvres manipulatrices. Il est fâché avec la sincérité. En permanence, il cultive le mensonge, sur lequel il compte récolter Sa vérité. C'est un fieffé et invétéré menteur. Le pervers narcissique, donc le sioniste, peut mentir avec aplomb, comme il peut dire Sa vérité avec aplomb ou l'imposer à coup de plomb, voire de largage de bombes.
Le pervers narcissique, autrement dit le sioniste, est un spécialiste de la brouille, de l'embrouille et de la débrouille. Il peut aisément, avec virtuosité, dans le même propos, mélanger le mensonge, la sincérité et la franchise. Le pervers narcissique est un virtuose de l'inversion accusatoire, cette technique prisée par tous les oligarques, les dictateurs et, surtout, les sionistes. C'est une stratégie consistant à retourner la situation contre la victime (le peuple opprimé, colonisé), transformée en coupable devant se justifier, prouver son innocence, voire se repentir, alors qu'elle est la martyre.
Cette posture victimaire permet aux pervers narcissiques (dirigeants ou sionistes) de sortir indemnes des situations embarrassantes (des conflits sociaux, des protestations politiques, des guerres, des massacres de masse), sans avoir à se justifier ni à se remettre en question (ni à assouplir leur politique répressive et exterminatrice, ni à réviser leur stratégie destructrice). Le pervers narcissique n'éprouve de la jouissance que dans l'humiliation et la souffrance de sa victime (de son peuple réduit à la paupérisation et à l'obéissance servile, dans le cas des pays dits soi-disant démocratiques, du peuple colonisé dans le cas d'une nation occupée, en l'espèce la Palestine). Ne supportant pas la contradiction (l'opposition, la dissidence, la résistance), le pervers narcissique, autrement dit le sioniste, se montre incapable de mener une discussion (débat politique) constructive dans le respect. Enclin à l'emportement, il use fréquemment en guise d'arguments de dénigrements, d'insultes, de menaces, voire d'agressivité physique, souvent à l'abri des témoins (par les coupures d'internet et les black-out par exemple, pour pouvoir sévir en toute invisibilité et impunité, comme le pratiquent de nombreux gouvernants de pays dictatoriaux et, actuellement, l'entité sioniste à Gaza) pour ne pas être percé à jour, ne pas dévoiler sa véritable personnalité, ou s'arrange à perpétrer sa violence par ses sbires (ses mercenaires, ses forces de l'ordre nazifiées, des recrues à l'image de leurs employeurs étatiques, psychopathes capables de tuer froidement des innocents manifestants ou opposants politiques ou résistants antisionistes). Devant témoins, il est très ingénieux dans le recours aux subtiles allusions perfides dévastatrices, invisibles aux regards non avertis.
Le pervers narcissique a l'art de faire passer son fiel pour du miel (sa dictature pour une démocratie pure, à l'instar des pays occidentaux où leur démocratie est la feuille de vigne derrière laquelle se dissimule la dictature du Capital, comme l'illustre la gouvernance despotique de Macron ; sa colonie génocidaire pour un camp de vacances, comme l'entité sioniste s'évertue à présenter la Grande colonie : la Palestine occupée, rebaptisée par les spoliateurs Israël).
En matière de communication, le pervers narcissique cultive l'ambiguïté (le complotisme, la machination). Il s'arrange toujours pour laisser planer le doute, la confusion dans ses discours. Ses échanges sont enveloppés d'obscurité. Il se plaît à semer autour de sa personne (gouvernance) l'opacité, pour occulter son incapacité, sa rapacité (de domination, du pouvoir).
En outre, pour mieux désarmer la défense de la victime (de ses opposants, résistants), anéantir la personnalité de sa victime (du peuple, résistants), le pervers narcissique s'acharne en permanence à la ridiculiser, l'humilier, souligner ses défaillances, stigmatiser ses défauts (infantiliser et inférioriser le peuple, les résistants), pour lui ôter toute confiance en elle.
Le pervers narcissique use également de calomnies, de mensonges, de malveillances pour détruire psychologiquement sa « victime », d'accusations calomnieuses (antisémitisme, apologie du terrorisme) pour discréditer ses opposants, criminaliser leurs actions militantes, interdire leurs manifestations.


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