Résumons ce que dit la «charte olympique». (Réf. Wikipédia).La Charte olympique, publiée pour la première fois en 1908, établit les règles et principes fondamentaux des Jeux olympiques et du mouvement olympique. Elle reprend les règles énoncées par Pierre de Coubertin en 1899 et mise à jour le 26 juin 2019. Depuis 1978, elle est connue sous son appellation actuelle. La Charte comprend six chapitres et soixante-et-un articles Le premier chapitre du Mouvement olympique met en évidence le rôle du CIO dans la promotion de la non-discrimination, de l'égalité entre les sexes et du développement durable. Il mentionne également les Fédérations internationales et les Comités nationaux olympiques comme des acteurs clés. Le deuxième chapitre présente le Comité international olympique comme une ONG à but non-lucratif dont le siège est en Suisse. Son objectif est de remplir la mission, le rôle et les responsabilités définis par la Charte olympique. Le troisième chapitre expose la mission et la fonction des Fédérations internationales. Il s'agit d'organisations internationales non-gouvernementales chargées de la gestion des sports à l'échelle mondiale, comprenant des organismes nationaux. Le chapitre 4 traite des Comités nationaux olympiques et de leur mission de développement, de protection et de promotion du Mouvement olympique dans leur pays conformément à la Charte olympique. Le chapitre 5 aborde les règles des Jeux olympiques : célébration, choix de la ville hôte, comité d'organisation, code d'admission, programme et protocole olympique.Le dernier chapitre expose les mesures et sanctions en cas de non-respect de la Charte olympique. Controverses Le CIO a été critiqué pour son intransigeance et le statut à vie accordé à certains de ses membres. Les mandats d'Avery Brundage et de Juan Antonio Samaranch ont suscité de vives controverses. Les liens entretenus par Samaranch avec le régime de Franco ont été fortement critiqués en plus du népotisme. Brundage a protégé les Jeux olympiques contre toute ingérence politique préjudiciable, mais a été accusé de racisme et d'antisémitisme. En 1998, il a été révélé que plusieurs membres du CIO avaient reçu des pots-de-vin pour influencer les votes en leur faveur. Quatre membres ont démissionné et six autres ont été exclus. Des réformes ont été mises en place afin d'éviter de tels incidents. Un documentaire de la BBC a démontré qu'il était possible d'acheter des membres du CIO pour influencer le choix de la ville hôte des JO. Suite à la défaite de Paris pour l'organisation des Jeux de 2012, Bertrand Delanoë a accusé Tony Blair et le comité londonien de non-respect des règles de vote. La sélection de Turin pour les Jeux olympiques d'hiver de 2006 a également été entourée de controverses. Marc Hodler, membre du CIO et partisan de la ville concurrente de Sion en Suisse, a déclaré que certains membres du CIO avaient été corrompus par le Comité d'organisation de Turin. Jeux «olympiques» ou «atlantico-sionistes»? Lors de sa visite à Kiev, Anne Hidalgo, maire-socialiste de Paris, a exprimé son souhait que les athlètes russes et biélorusses ne participent pas aux Jeux olympiques. Elle a déclaré : «Je veux dire aux athlètes russes et biélorusses qu'ils ne sont pas les bienvenus à Paris...dire aux athlètes ukrainiens et...peuple ukrainien, que nous les soutenons d'une façon très forte et active!». Elle aurait été plus cohérente si elle avait inclus tous les pays soutenant la Russie, dont la Chine. Il est connu que les compétiteurs les plus performants sont souvent russes, remportant la majorité des médailles. Sans la participation des Russes, ce seront des JO au rabais. Il est évident qu'elle a agi de manière hypocrite en soutenant l'Ukraine, sachant que ce sont les Atlantistes, dont la France, qui ont contribué à la situation actuelle ayant conduit à l'extermination de son armée et de sa jeunesse, allant même jusqu'à suggérer de poursuivre «jusqu'au dernier Ukrainien». Hidalgo ne fait aucune mention des 14 000 habitants du Donbass délibérément tués entre 2014 et 2022 simplement parce qu'ils sont russes. Elle semble ignorer les massacres israéliens à Gaza (plus de 33 000 civils assassinés en 6 mois, majoritairement des femmes et des enfants et plus de 75 000 blessés) que la France soutient en fournissant des munitions. Ces morts n'ont pas ébranlé sa conscience ni celle du régime corrompu qu'elle représente, car les athlètes israéliens, selon Piotr Tolstoï, sont les « bienvenus », tout comme ceux de Kiev. La France, sa deuxième patrie, a bien perpétré des massacres et des génocides en Afrique tout comme ses ancêtres espagnols en ont commis aux Amériques; il est donc douteux qu'elle ne soutienne pas, ses semblables, adeptes du nazisme en Ukraine et en Israël. De plus, étant donné le contexte actuel marqué par la soumission de la France aux directives sionistes, il semble improbable qu'elle agisse autrement que selon ce que lui dicte sa conscience pétrie dans ce paradigme au risque d'être marginalisée de la scène politique, dans le meilleur des cas ! Il a également été signalé que quelque 500 migrants et SDF ont été délocalisés de la capitale vers des zones rurales en prévision de ces Jeux olympiques. «Cachez-moi ce ''quart-monde'' qu'on»? Comme la règle naturelle veut que pour tout acte bienfaisant ou malfaisant entraîne une réaction similaire, la réponse russe n'a pas tardé à venir par la voix de la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova : «Pensez-vous que nous devrions choisir certains produits français et dire qu'ils ''ne sont pas les bienvenus''...les produits français ne sont pas étiquetés ''nous ne sommes pas les bienvenus à Moscou''...Encore une déclaration de ce genre, et les représentants français du monde des affaires prendront d'assaut la mairie de Paris, suite aux agriculteurs. Nous disposons d'un large choix de produits pouvant remplacer de nombreux produits français.» Réactions des Russes Le Comité international olympique a annoncé que les sportifs russes et biélorusses pourraient participer aux épreuves individuelles des prochains JO, mais sans hymne ni drapeau et à condition qu'ils n'aient pas soutenu l'invasion de l'Ukraine. Ainsi, un nombre insignifiant seraient éligibles, contre une soixantaine d'Ukrainiens. On annonce également qu'ils ne participeront au défilé et que leurs médailles ne seront pas comptabilisées. Ridicule! Il est certain que les Russes et les Biélorusses ne se laisseront pas humilier. Le Comité olympique russe a accusé le CIO d'agir comme un «instrument politique» au service des Occidentaux. Il met en évidence le manque d'objectivité du « Tribunal International d'Arbitrage du Sport » envers la Russie, lui reprochant de vouloir réduire le nombre d'athlètes russes en imposant des «critères humiliants». Son président, Stanislav Pozdniakov, a réagi ainsi : «Ces conditions artificielles et politiquement motivées éliminent la majorité écrasante des athlètes à la pointe...», appelant les sportifs russes à «examiner soigneusement toutes les nuances des conditions proposées» pour ne pas être «otages des intérêts des autres» . Le président russe Vladimir Poutine a également fustigé le CIO, jugeant qu'il prenait le risque «d'enterrer le mouvement olympique». Il a ajouté vouloir «analyser attentivement les conditions», avant de prendre la décision de participer ou de boycotter. Dans ce dernier cas, cela rappellerait les Jeux de Los Angeles en 1984, lorsque l'URSS avait décidé de ne pas participer. Le risque sérieux est de voir l'absence des Russes, des Biélorusses et des Ukrainiens, voire des Chinois et d'autres nations! On assisterait alors à des «Jeux atlantistes de Paris» où seuls eux se partageraient les médailles. «À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire». (P. Corneille) Il y a un lobbying assez intense de la part de l'Occident dit « collectif », notamment du Royaume-Uni, des pays baltes, de la Pologne, de l'Ukraine et de certains pays scandinaves, visant à exclure la Russie de toutes les compétitions internationales. La question s'est posée de savoir si les athlètes auraient intérêt à boycotter les Jeux, «qui pourraient servir de moyen de propagande pour Vladimir Poutine en cas de médailles, même sous une bannière neutre», disent-ils ! Les Russes ne semblent pas se laisser prendre à ce jeu de dupes. Des signes montrent que les sportifs russes et biélorusses ne seront pas du tout sécurisés. La bannière «neutre» capte les crédules. La propagande affirmant que «plus de 200 athlètes russes cherchent à obtenir une autre nationalité» (souvent israélienne), constitue une autre manœuvre trompeuse visant, comme à l'accoutumée, à discréditer Poutine et les Russes en lien avec ce qui se déroule en Ukraine! Conclusion On ne comprend comment une nation comme la France a pu atteindre un tel niveau d'humiliation, en se laissant tromper et abaisser par des sionistes influents qui continuent pourtant de montrer et de prouver qu'ils travaillent pour d'autres pays au détriment des intérêts français, tout en se proclamant « français » !La France dispose pourtant de ressources suffisantes, d'intellectuels et de patriotes de renom, qui ne sont pas ceux mis en avant par les médias dominants, pour mettre fin à cette décrépitude ! Cette situation est anormale, paradoxale ! Les choses se précisent à mesure que l'échec des atlantistes face à la Russie est admis. Borrell a déclaré sur CNN que les Etats-Unis et l'UE poursuivent leurs propres intérêts en Ukraine, sans se soucier de ceux des Ukrainiens. Il a déclaré que «le soutien à l'Ukraine ne signifie pas une grandeur d'âme ou une compassion, qu'il ne s'agit pas même d'aider les Ukrainiens, mais de défendre les intérêts de l'UE et des USA face à la Russie. Car la Russie ne peut pas gagner». Ainsi, l'Ukraine a été sacrifiée, en la poussant à l'anéantissement, vainement!