Alors que le Président français Emmanuel Macron a reçu, avant-hier mardi, la démission de son Premier ministre Gabriel Attal, les représentants du Nouveau Front populaire peinent toujours à trouver un terrain d'entente quant à la désignation d'un candidat à Matignon. Fête nationale, sur l'avenue Foch, à Paris, où s'est déroulée la parade militaire du 14 Juillet, la tension était palpable entre Emmanuel Macron et son Premier ministre Gabriel Attal à quelques heures même avant la démission déposée par ce dernier. Depuis la dissolution de l'Assemblée nationale, annoncée par le chef de l'Etat français, dans la foulée des résultats des élections européennes, les relations entre les deux hommes sont glaciales. Le 14 juillet était le dernier pour le gouvernement Attal, qui a été démissionnaire ce mardi. Les ministres seront alors chargés d'expédier les affaires courantes. Le LFI dénonce le véto successif du PS Le PS exprime toujours une opposition totale à toutes les propositions faites pour le poste de Premier ministre tout les noms sont refusés cela mène a un blocage au sein de la coalition, accuse Manuel Bompard qui revient sur la proposition de choisir Huguette Bello, émanant du Parti communiste. Le chef de file de LFI dit avoir «l'impression d'être dans une situation de blocage due à cet entêtement de la part des socialistes». « Vers un gouvernement de gauche » Un gouvernement peut être mis en place la fin du mois nécessaires pour l'accomplissement de quelques priorités que se fixeraient la gauche. La majorité n'est pas introuvable. La France sortie des urnes n'est pas ingouvernable. Une majorité existe, elle est là. Il suffit d'accepter son existence, les 178 élus des gauches unies et 150 des partis centristes qui avaient soutenu la réélection d'Emmanuel Macron cela fait 328 de député, soit 39 de plus que la majorité absolue des sièges à l'Assemblée nationale. Sachant qu'une partie de la gauche. La France insoumise, refuse de gouverner avec les centristes qui eux-mêmes ne veulent pas entendre parler d'une coalition comprenant ces mêmes insoumis sans lesquels il n'y a pas de majorité absolue, et cette situation qui mène aussi a un blocage. « La balle est dans le camp du Président » Selon la tradition républicaine, la responsabilité incombe à Emmanuel de Macron d'entendre sa défaite et au NFP de proposer un contrat de coalition pour éloigner le spectre d'une victoire du RN à l'Elysée en 2027. Après avoir précipité les partis et plongé les Français dans une victoire possible du RN, le président Macron cherche à présent à imposer son interprétation des résultats électoraux au mépris des électeurs et de la règle du scrutin majoritaire selon laquelle est considéré comme vainqueur le front populaire. Macron revendique ce coup de force symbolique, en faisan le rôle de «protecteur de l'intérêt supérieur de la nation et garant des institutions et du respect» des électeurs. Cet épisode a permet aux Français d être en face de leur problèmes, pour mieux-vivre la gravité et le danger qui peu apporté extrémisme avec toute ses formes, sachant que, le président a le plein pouvoir, il peut renvoyer juridiquement les députés devant leurs électeurs selon les lois et la Constitution, il peut nommer n'importe qui à la tête du gouvernement, vue la loi le lui permet, il peut aussi refuser la démission de son du Premier ministre, il peut rester au pouvoir jusqu'à la fin de son mandat puis-qu'il est élu par la majorité, sauf manquement à ses devoirs, il peut aussi prendre les pleins pouvoirs et les décisions qui vois nécessaires en cas de crise grave». Mélenchon comme Premier ministre ? Les Républicains, la droite maintenue, celle qui ne s'était pas alliée avec le Rassemblement national, comptent 66 élus. Avec eux, revoilà une majorité absolue et s'il manque encore quelques voix, elles peuvent être trouvées chez les moins radicaux des insoumis, tous ceux qui sont en rupture avec le fondateur de leur parti, Jean-Luc Mélenchon et ses provocations permanentes contre la droite confondue sa chant que les insoumis réclament le poste de Premier ministre qui leur revient de droit vue la position obtenu en classement lors des dernières législatives on proposant le chef de fil comme premier ministre, ce qui met en blocage politique au sein de la coalition a gauche. Par ailleurs, le PCF propose aussi le nom de Huguette Bello au poste de Premier ministre. « Une résistance dans les quartiers contre l'extrémisme » Des collectifs de quartiers populaires, de luttes rurales, des associations écologistes et féministes appellent à construire des maisons du peuple comme autant de débouchés à l'action de résistance face à la montée du RN, par un collectif de fédérations et d'associations citoyennes pour faire face à extrême droite. La France sort encore divisée et instable, avec un bloc d'extrême droite profondément ancré dans les institutions et une partie de la société. L'instabilité et le blocage gouvernemental vont aussi s'installer, banalisant la situation. La riposte doit pourtant s'organiser par toute : «partout, nous devons prendre en considération éviter la relativisation de la situation que nous vivons actuellement». Il est maintenant vital «Nous ferons front face aux mesures encore plus antisociales, violentes et racistes soutenues ou initiées par le Rassemblement national, pour endiguer sa progression dans les esprits et notamment dans la jeunesse et la société française. Nous devons d'élaborer des stratégies et de mettre des moyens humains, et sur le terrain pour faire face a extrémisme sous toutes ses formes. « Il faut être à la hauteur de cette adversité, nous appelons à renforcer et à construire des pouvoirs populaires dans le pays», indique la gauche française. De Marseille,