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Personne ne semble prêt à former de coalition avec le Nouveau Front populaire tant que les insoumis en seront : Qui est prêt à rompre avec LFI ? France : les insoumis dérangent-il la classe politique ?
En campagne active Lucie Castets, pour la course à Matignon, mais il semble évident que le chef d'Etat français refuse catégoriquement d'attribuer le poste de Premier ministre à la candidate du Nouveau Front populaire tant que les insoumis en sont, ni les droites, ni le centre, ni les macronistes ne les suivraient à l'Assemblée. Un gouvernement avoué à l'échec, il tomberait à la première motion de censure. Le Nouveau Front populaire inquiète autant les partis de droite et ses propre élus et militants. Au sein même de LFI, cinq frondeurs, Clémentine Autain, Alexis Corbière, Hendrik Davi, François Ruffin et Danièle Simonnet ont déjà rompu avec les insoumis et vont du coté des écologistes, voila déjà une fissure. Le PS, PC et les verts tiens toujours, jusqu'ici le Front semblait tenir. Les écologistes ont historiquement une dent contre les socialistes. Dans tous les cantons, vous trouverez un écologiste traumatisé par un maire socialiste qui ne l'a pas respecté par le passé. Toutes les fractures vont éclatés au grand jour selon les responsables politiques de l'alliance, lors d'un conseil national extraordinaire. Les opposants à Olivier Faure s'interrogent sur la campagne active de Lucie Castets pour Matignon. Les indésirables ? Socialistes et macronistes en grande conversation et les tractations se poursuivent durant cette période. Même certains écologistes ne sont pas en reste. Un groupe s'est constitué avec des macronistes comme Agnès Panier Runacher. Emanuel Macron va annoncer l'instauration de la proportionnelle pour les prochaine élections, promesse de la campagne présidentielle de 2017 pour que les forces politiques qui n'auraient plus besoin d'accord avec les insoumis aux prochaines élections. Pour Macron, le risque serait de voir le PS réitérer le score de Raphael Glucksman aux Européennes. Par ailleurs, La candidate de la gauche, Lucie Catets, veut une grande réforme fiscale si elle sera Premier ministre, et son intention d'aller chercher des recettes fiscales et sociales de presque 150 milliards d'euros au delà de l'horizon 2027, a t-elle déclarée. Dans ce cadre, elle n'a pas pour «objectif premier de respecter le pacte de stabilité» européen qui limite le déficit public à 3%. «Celui-ci a été mal renégocié. La France proposera une nouvelle discussion dans ce cadre, elle n'a pas «objectif de respecter le pacte de stabilité européen qui limite le déficit publique à 3%, et que la France à mal négocié. Une première depuis la suspension des règles budgétaires en 2020 avec la crise du Covid, ou la France été placée en procédure pour déficit public du BIP pour l'année 2023», précise-t-elle. «Une progressivité de l'impôt sur le revenu» «Chercher des recettes fiscales et sociales pour financer notre programme et de réduire le déficit». Une réforme fiscale portera, sur «la progressivité de l'impôt sur le revenu» qui «passera à 14 tranches», comme le prévoit le programme du NFP. Soit, «une baisse d'impôt» pour «une grande partie des ménages». Egalement souhaitable que «les expatriés fiscaux payent leurs impôts au fisc français. Par ailleurs, elle confirme un élargissement de «la taxation du patrimoine» et le retour de l'impôt sur la fortune (ISF). Concernant les entreprises, elle préconise l'arrêt des «dispositifs les plus coûteux, par exemple les baisses de cotisations, qui sont surdimensionnées».