Choisie au poste de Premier ministre Lucie Castets, dévoile déjà ses premières mesures dans le cas où elle serait amenée à conduire la politique du prochain gouvernement. La gauche maintient de la pression sur le Président Macron pour que celui-ci la nomme, la candidate désignée d' un commun accord entre l'alliance de gauche. Décidée à devenir la nouvelle cheffe du gouvernement, et s' est dite «confiante» sur la stabilité d' un gouvernement issu du Nouveau Front populaire. Prête à rejoindre Matignon… Désignée par le NFP comme candidate pour le poste a appelé Emmanuel Macron à la nommer au plus vite comme Premier ministre, en interpellent de prendre ses responsabilités, elle déclare aussi que le refus est un «déni de démocratie grave» de la part de Macron. Elle est prête à rejoindre Matignon malgré le non qui veut imposé le chef de l'Etat. Salaires et retraite comme objectif Lucie Castets a aussi indiqué son intention dans le cas ou elle sera Premier ministre, est d'augmenter les bas salaires, ainsi que le point d'indice des fonctionnaires, et de « s' attaquer à la pauvreté et la précarité subies par les Français, en revalorisant les minima sociaux ». Pour cette « approche générale » comme elle n'a pas exclu aussi de passer par décret, mais après «des concertations et des consultations, en particulier avec le monde syndical ». Un « changement de méthode» nécessaire en guise de caution face situation sociale difficile qui vie la France, a-t-elle ajouté. La France insoumise dénonce Jean-Luc Mélenchon dénonce la position et le non ferme d'Emanuel Macron pour la nomination d'un Premier ministre issu de l'NFP et la gauche est vent debout : Il «veut nous imposer de force son nouveau Front républicain», déclare t-il, le coordinateur de La France insoumise Manuel Bompard a dit voir le président de la République comme « un forcené retranché à l' Elysée ». Le 49.3 comme recours La possibilité du futur gouvernement de Lucie Castets qui n'est pas a écarté la possibilité est d'user de l'article 49.3 de la Constitution pour imposer un projet de loi sans vote. Un recours, «lorsque ce sera nécessaire pour faire advenir une loi qui est soutenue par la grande majorité des Français», Sachent que le NFP ne dispose que de 193 députés, une majorité relative dans l'Assemblée très loin de la majorité absolue fixée à 289, selon Lucie Castets, il y a des sujets très importants qui nécessitent des discussions sérieuses entre les partenaires du NFP où il n'existe pas de consensus, notamment sur l'énergie nucléaire. «On prépare un programme jour après jour, mois après mois».