L'un après l'autre, les «vautours» de la Direction générale de la Sécurité extérieure française (DGSE) chargés d'exécuter des missions sataniques en Algérie, notamment la préparation des attentats terroristes à Alger et l'atteinte à l'image de l'Algérie, sont tombés dans les mailles du filet des services de sécurité algériens.Après l'arrestation le 16 novembre passé à l'aéroport international d'Alger du pseudo écrivain Boualem Sansal, voilà une autre belle prise d'un agent de la DGSE réalisée, il y a quelques jours seulement, par les services de la Sûreté nationale (DGSN), il s'agit du jeune émigré Aïssaoui Mohamed-Amine, chargé par les services secrets français d'accomplir des attentats à Alger. Les complots de la DGSE française contre l'Algérie sont devenus nombreux et très flagrants à la fois. Originaire de la wilaya de Tipasa, âgé de 35 ans, Aïssaoui Mohamed-Amine, ce jeune Algérien ayant grandi à l'étranger, précisément en Espagne, a été choisi et rapproché par les avides d'Alger, voire les héritiers de l'Organisation de l'Armée Secrète (OAS), la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) pour mener un complot spécial contre l'Algérie sous forme de commettre des attentats à Alger. Un complot dévoilé par le jeune Algérien, Aissaoui Mohamed-Amine, qui vient d'avouer la mission que lui a attribué la DGSE pour perturber et déstabiliser la sécurité et la stabilité internes de l'Algérie. Arrêté récemment par les services de la DGSN Sûreté, où ils ont réussi à déjouer un complot orchestré par les services de renseignement français visant à déstabiliser l'Algérie, le jeune Algérien ayant grandi à l'étranger a avoué tout les desseins hostiles de la DGSE. Dans un documentaire diffusé par la Télévision algérienne (EPTV) et la Chaîne internationale «AL24 News», le dénommé Aïssaoui Mohamed Amine a dévoilé les détails sur les tentatives des services de renseignement français de le recruter. Investissant dans sa périlleuse situation sociale remplie d'épreuves douloureuses et instrumentalisé en Europe pour rejoindre une organisation terroriste en Syrie, la DGSE française a repéré puis utilisé et exploité à la fois le jeune Aïssaoui, en lui attribuant une nouvelle mission, celle d'exécuter des attentats terroristes criminels en Algérie, et à Alger plus particulièrement. Une sorte de déclaration de guerre contre l'Algérie dans un monde troublant et rempli de défis géopolitiques et géostratégiques et des conflits armés, où le plus fort demeure et le plus faible devient un esclave. Aissaoui Mohamed-Amine a été exploité par la DGSE française, avoue-t-il lors de ses révélations faites aux médias algériens. Emigré avec sa famille en Espagne dès son jeune âge, là où il a grandi, Aissaoui est devenu une cible de l'organisation terroriste connue sous le nom de «Daech», après avoir eu des conversations avec un membre de cette organisation sur les réseaux sociaux, il s'est retrouvé combattant en Syrie et en Irak, dira-t-il. Dans son témoignage, Aïssaoui a relaté les circonstances de son enrôlement, son départ d'Espagne vers la France, puis de la Turquie à la Syrie et enfin en Irak, où il a participé aux combats à Falloujah sous le pseudonyme de ''Abou Rayan''. Blessé lors d'un bombardement des forces de la coalition en Irak, Aïssaoui a été capturé et transféré en Turquie puis emmené aux consulats français et espagnol pour identification, où des empreintes et des photos ont été prises et une fiche d'information a été établie à son sujet. Après avoir accompli sa peine de prison, le jeune Algérien a rejoint l'Algérie en 2016, où il a purgé une peine de prison de trois ans achevée en 2019. Reprenant une vie normale, Aïssaoui Mohamed-Amine s'est retrouvé dans la ligne de mire des services de renseignement français qui cherchaient à le recruter pour des projets terroristes. En 2022, il a été contacté par l'association française ''Artémis'', connue pour ses activités douteuses envers les individus impliqués dans des affaires terroristes sur le territoire français. Cette association contenant d'anciens employés du ministère de l'Intérieur français, dirigée par un certain Bouyad Jean Gilles, ancien conseiller de l'ex-ministre de l'Intérieur français Bernard Cazeneuve, est impliquée dans des tentatives de rapprochement avec des Algériens ayant des antécédents liés au terrorisme. Parmi ses membres actifs figure Rachid Benzine, un Marocain naturalisé français, récemment honoré par le roi du Maroc, Mohammed VI, pour ses ''contributions dans le domaine de la recherche scientifique''. Le jeune homme a précisé qu'il n'avait pas hésité à collaborer avec l'association, d'autant plus qu'elle lui a promis une aide «précieuse» permettant la régularisation de sa situation, ce qui pourrait lui permettre de retourner dans sa maison familiale en Espagne et de tourner définitivement la page sur son passé. En réalité, cette association française, une pure création de la DGSE visait à recruter le jeune Algérien pour des projets terroristes ciblant l'Algérie. Un complot très vite avorté par les services secrets algériens à travers la surveillance et le travail de renseignements à la pointe. La preuve à l'appui, le documentaire diffusé par la Télévision algérienne ''AL24 News'' a révélé parfaitement que toutes les interactions entre Mohamed Amine et les services de renseignement français faisaient l'objet d'une surveillance. Des images montrent leur première rencontre en avril 2023 à Alger, sous le couvert de l'association ''Artémis''. L'individu qu'il a rencontré était un cadre de la direction générale de la sécurité extérieure française, exerçant comme premier secrétaire à l'ambassade de France en Algérie. Selon Mohamed Amine, cet agent français l'a conduit directement au Centre culturel français où ils ont eu une longue discussion, avant que l'agent ne lui révèle son appartenance aux services de renseignement français. En parallèle, les services de sécurité sont restés en contact avec le jeune Algérien et lui ont donné des instructions pour continuer à collaborer avec les parties françaises tout en leur transmettant toutes les communications et messages échangés via WhatsApp. Mohamed Amine a confirmé que les Français lui avaient demandé de se rendre au Niger, de s'approcher des extrémistes à Alger pour gagner leur confiance et de fournir des informations sur les caméras de surveillance et les patrouilles de police en civil, entre autres missions. Grâce à cette collaboration, le complot a été anéanti, marquant une victoire éclatante des services de sécurité algériens contre les graves complots de la DGSE française. L'Algérie demeurera une barrière infranchissable solide.