Un récent article du journal Le Monde daté du 31 décembre 2024 et signé Mustapha Kessous a attiré mon attention. Il concerne la Ligue algérienne de défense des droits de l'Homme (LADDH) dissoute en 2022 et dont Saïd Salhi réfugié en Belgique était le vice-président, qui s'est relocalisée en France et dont les membres en exil ont déposé, le 29 octobre dernier à la préfecture de la Seine-Saint-Denis, les statuts d'un nouvel organe, le Collectif de sauvegarde de la ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme (CS-LADDH) afin de continuer à – je cite Le Monde – « dénoncer l'arbitraire en Algérie ».