Ils ne sont pas seuls ces gouvernants qui ont tu ou occulté les crimes sionistes en s'attaquant au Hamas, comme source du conflit. D'autres couches se sont ralliées à la cause sioniste pour espérer décrocher un prix d'horreur (au lieu d'honneur). Et il l'ont décroché à force de lécher les bottes sionistes. De façon plus explicite, il ne s'agit pas de médias occidentaux qui trempent déjà dans le calice sioniste depuis des dizaines d'années, mais de journalistes et d'écrivains arabes. Ecoutons ce qu'en dit un éditorialiste koweïtien corrompu jusqu'à la moelle: «J'en appelle à l'armée israélienne, qu'elle écrase ces terroristes palestiniens qui sont aux ordres de l'Iran ; qu'elle chasse les rebelles du Hamas, anéantisse ces dirigeants fous et déments déguisés en hommes de foi, qu'elle les écrase et les extermine et leur donne une leçon qu'ils n'oublieront jamais, comme nous avons donné une dure leçon au terroriste Hizbullah en 2006… Délivrez Ghaza des griffes du Hamas. Ces Palestiniens, où qu'ils aillent, n'amènent avec eux que la terreur, la corruption, les problèmes, le tumulte et l'ingratitude». Il le dit avec une fière lâcheté à l'instar d'une trentaine d'autres scribouillards qui ont mis leur diarrhée mentale au service du mossad. Au lieu de défendre la justice et les opprimés contre leurs bourreaux, ces mercenaires pourris ont préféré les bonnes grâces des criminels sionistes, espérant peut-être recevoir un certificat de bonne conduite, une citation d'honneur de la part du régimes sioniste ou une médaille de traîtres. Eh bien, c'est fait. La sinistre sioniste des affaires étrangères a diffusé une «liste d'honneur» d'auteurs arabes sionisés qui font «un boulot merveilleux» pour le compte des sionistes. Ces jours-ci, d'ailleurs, les médias sionistes n'arrêtent pas de citer ces traîtres pour les encourager à persévérer dans leur traîtrise. Ainsi, emporté par sa cupidité, le poisson finira au bout de l'hameçon.