Dans une ambiance féminine très chaleureuse, Wataniya Telecom Algérie (WTA) a célébré, mardi soir au Sheraton d'Alger, la Journée internationale de la femme en distinguant cette année la femme algérienne manager et gestionnaire. Nedjma, pour la cinquième année consécutive, a voulu honorer sept femmes algériennes qui ont, sans doute, marqué leur passage chacune dans son secteur en présence de quelques personnalités telles que Mme F. Bessaa, responsable de la communication au niveau de la présidence, Saïda Benhabylès, ex-ministre, Zahia Benarous, journaliste, Fatma Zohra Zerouati, journaliste, Bahia Rachedi, actrice et bien d'autres. Après les artistes, les corps constitués et même celles activant dans le mouvement associatif, c'était au tour de Khadidja Belhadi, fondatrice et présidente de l'association «Algériennes managers et entrepreneurs», Zehira Yahi, chef de cabinet au ministère de la Culture, Lamia Boudoudou, fondatrice du réseau professionnel «Ladies Business Club», Hassiba Mokraoui, directrice générale de l'Aniref (Agence nationale d'intermédiation et de régulation foncière), Barkahoum Alamir, directrice du Centre national de toxicologie, Aïcha Amamra, conservatrice du Musée national des arts et traditions populaires d'Alger et Yasmina Taya, présidente de l'association «SEVE Algérie», d'être honorées et distinguées pour tout le travail qu'elle ont fait et qu'elles continuent à accomplir. Joseph Ged, directeur général de WTA, avait auparavant salué, dans un discours prononcé en l'occasion, toutes les femmes algériennes et constaté que «la femme algérienne n'a plus rien à prouver quant à ses compétences et ses aptitudes dans le domaine managérial. Elle représente une valeur solide et incontestable dans l'évolution de l'environnement professionnel. En Algérie, dira t-il, il y a des personnalités exceptionnelles avec une incroyable volonté de réussite dans leur activité», a-t-il lancé en rassurant toutes ces femmes courageuses que «Nedjma continuera à vous soutenir pour l'épanouissement socioculturel de l'Algérie». Cette soirée réellement «sui generis», animée par la grande dame de l'andalou, Zakia Kara Turki, méritait d'être nommée «Une des mille et une nuits».