Les travaux du séminaire national sur «Les méthodologies et les théories de la critique contemporaine», organisé par l'Institut de littérature et de langues du centre universitaire de Relizane, ont pris fin jeudi après-midi. Les travaux de la seconde et dernière journée de cette rencontre, à laquelle ont pris part des professeurs de diverses universités du pays, ont été marqués par plusieurs conférences ayant traité de divers aspects, approches scientifiques et des théories de la critique contemporaine. Le professeur Meflah Benabdallah du centre universitaire de Relizane a présenté une communication sur «le texte coranique et l'herméneutique : croisement ou heurt», où il a tenté de mettre en évidence l'influence du discours de l'interprétation arabe sur la pensée herméneutique occidentale qui vise à ôter le sacro-saint des textes coraniques. Il a expliqué, à ce sujet, que «la critique moderne diffère dans sa version de la culture arabe et dans son intégralité n'est pas conforme à la foi musulmane, mais elle s'oppose à elle dans plusieurs cas».