Le chef de l'exécutif a instruit le chef de la daïra de Chéchar de gérer provisoirement les affaires courantes dans l'attente de la nomination d'un autre élu. Un premier retrait de confiance de la majorité des élus pour le premier P/APC, un élu FLN, a été effectué puis validé par le wali après une large investigation. Son successeur, du même parti, ne fera pas mieux. Un blocage est constaté aussi bien des affaires courantes que des opérations de développement, à l'image des milliards attribués pour l'aménagement de la ville qui traîne. Des membres de l'actuel exécutif communal sont pour certains poursuivis en justice et d'autres condamnés pour des affaires de foncier, ils se sont attribué des lots de terrain à bâtir sans référence réglementaire. On parle également d'attributions douteuses de marchés. Des élus d'autres communes sont cités, à l'image de ceux d'Ouled Rechach et de l'APC de M'toussa où un vice-président a été écarté de la gestion des affaires communales après une mission d'inspection des services de l'Inspection générale de la wilaya.