La wilaya de Sidi Bel-Abbès abrite depuis hier un événement culturel majeur à savoir la 8e édition du Festival international de danses populaires dont la clôture est prévue le 02 juillet. Il est à signaler le légitime dépit de l'artiste du cinéma établi à Paris, M. Kader Kada, que nous avons rencontré très déçu. Le fils de Sidi Bel-Abbès, de retour au bled, a relevé que tout le noble projet de la biennale du cinéma n'a pas trouvé l'écho attendu malgré les « sérieuses promesses » qui lui ont été rabâchées par des officiels locaux et nationaux. Le festival dont le commissariat est assuré par l'ex-directrice de la culture Mme H. Hankour qui connaît la wilaya et ses potentialités, enregistre en sa 8ème édition la participation de 13 pays, d'Europe, d'Asie, dont le Yémen, Syrie et l'Inde et ce outre l'Egypte, etc., aux côtés de 16 troupes locales dont la participation apportera le plus réclamé sur les lieux. Cette 8e édition s'inscrit, dit-on, dans le cadre de la commémoration des festivités du cinquantenaire de notre indépendance nationale. L'objectif de cette manifestation vise notamment à faire connaître les différents patrimoines chorégraphiques et musicaux du monde entier dont celui de l'Algérie, de raconter par le biais des gestes, danses, des grandes épopées, des traditions ancestrales méconnues et surtout de faire rapprocher les peuples et la jeunesse du monde autour des valeurs de communion, de paix, de liberté et également valoriser l'amitié et consolider les relations multilatérales.