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Départ à la retraite : Les femmes peuvent travailler jusqu'à l'âge de 60 ans
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 14 - 09 - 2013


Les femmes travailleuses ne sont plus obligées de partir à la re traite à l'âge de 55 ans comme décidé par le Premier ministre Abdelmalek Sellal dans sa circulaire n° 236 du 27 juillet 2013, portant sur les dispositions relatives au départ à la retraite. Une modification de poids puisque l'âge limite du départ à la retraite des femmes travailleuses dans l'administration et le secteur économique public était arrêté à 55 ans et 60 ans pour les hommes. Ainsi, et selon le communiqué de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), rendu public ce jeudi, le départ à la retraite des femmes travailleuses à l'âge de 55 ans n'est pas une obligation en soi et « constitue un avantage facultatif qui ne peut intervenir qu'à la demande de l'intéressée ». A l'énoncé de l'instruction Sellal, avant sa modification, les femmes travailleuses se sont senties dévalorisées par rapport à leurs homologues masculins. Elles avaient clamé haut et fort vouloir et pouvoir continuer à travailler au-delà de cet âge. Les secteurs les plus touchés par cette mesure sont l'Education, la Santé et la Justice, à forte prédominance féminine, et l'instruction ministérielle aurait pu les fragiliser pour peu qu'elle soit restée dans sa première formule. Rappelons que le Premier ministre avait instruit plusieurs dispositions pour « libérer » les postes d'encadrement au sein des entreprises étatiques, des organismes publics et des administrations dont les titulaires dépassent l'âge réglementaire et laisser la place ainsi à de jeunes cadres qualifiés. Une manière de résorber un chômage endémique qui touche de plus en plus d'universitaires. En avril dernier, Abdelmalek Sellal avait sommé les présidents directoires des sociétés de gestion des participations (SGP) et les P-DG des entreprises publiques économiques (EPE) de ne plus recruter des cadres retraités pour assurer la gestion des entreprises. Qualifiant ce type de recrutement de « dépassements », ou encore de « recrutement de complaisance », il avait dressé un constat accablant sur cette situation en affirmant que « des sociétés de gestion de participation et des entreprises publiques économiques recourent au recrutement des cadres retraités ayant parfois bénéficié d'indemnités de départ à la retraite versées par leur dernier employeur ». Le Premier ministre pose toutefois des conditions pour des recrutements de cadres retraités jugés indispensables qui devront obligatoirement être « adoubés » par le département ministériel de tutelle « sur la base d'un rapport circonstancié ». La note de Sellal est intervenue pour mettre un frein à ce type de recrutement qui a pris de l'ampleur au niveau de beaucoup d'entreprises alors que des centaines de jeunes cadres diplômés pointent au chômage. Les syndicats d'entreprises ont, à plusieurs fois, signalé certaines SGP moribondes, dirigées par des retraités. En plus de l'indemnité de retraite, du double salaire, ces retraités qui sont généralement membres dans plusieurs conseils d'administration perçoivent aussi des primes liées aux jetons de présence alors qu'une simple réunion dans un seul conseil est rémunérée à 7 000 DA.

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