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Mansourah: Le ras-le-bol des occupants des 400 logements sociaux de Bouhanak
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 31 - 08 - 2017


En cette veille de fête de l'Aïd El Adha et des vœux, les occupants des 400 logements sociaux de Bouhanak, dans la commune de Mansourah, souhaitent avant tout retrouver des conditions de vie normales dans leurs immeubles. Ils sont excédés par les dégradations multiples dans les parties communes: étanchéités des toitures dégradées, cheminées collectives vieillissantes, infiltrations d'eau, portes d'entrées principales défectueuses, éclairage qui ne fonctionne plus, mauvaise isolation, disjoncteurs et interrupteurs cassés, vitres brisées, vétusté des seuils d'entrée, humidité et moisissures, regards d'égouts détériorés, caves inondées et pleines d'ordures et de rats, odeurs nauséabondes,... La liste des griefs est longue et le ras-le-bol palpable. En effet, dans une énième pétition, ces résidents dans des bâtiments de 4 étages demandent à l'office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) de Tlemcen d'agir au plus vite. Installés dans les années 1990, les locataires ont le sentiment d'être abandonnés. «La situation se dégrade de plus en plus au fil des années. Vraiment nous sommes fatigués, on n'en peut plus ! Depuis que nous sommes là, jamais les services de l'OPGI ne sont venus pour réparer l'étanchéité ou vérifier l'état d'insalubrité de nos immeubles», se lamente un locataire. Abdelkader, un autre ancien locataire du bloc C 4, qui comporte 10 logements, souligne: «Moi, j'ai perdu deux enfants à cause du problème de la cheminée collective et le manque d'entretien. Quand il pleut, l'eau ruisselle directement sur les disjoncteurs. J'ai mis tout mon argent dans cet appartement. J'ai les armoires qui pourrissent. Les caves se remplissent et l'eau déborde à l'extérieur». Et d'affirmer encore : «ça fait plusieurs années que ça dure. Ce que nous ne comprenons pas c'est le comportement affiché par les responsables de l'OPGI, qui n'ont résolu aucun problème dans cette cité et tardent à faire le nécessaire malgré nos nombreuses sollicitations. Résultat, nos appartements se dégradent tout comme les conditions de vie à l'intérieur. Pourtant tout le monde s'acquitte de son loyer. Dernièrement ce sont les agents de la SDO qui sont intervenus pour réparer les disjoncteurs défectueux au niveau du hall d'entrée de notre bloc, pourtant, ce n'est pas de leur ressort, mais ils ont eu la gentillesse de répondre à nos inquiétudes. Nous remercions vivement les responsables de cette société, qui sont réceptifs à nos doléances. Nous voulons surtout trouver une issue au mauvais entretien des immeubles et régler les choses dans ce coin de Bouhanak, et que les droits des locataires soient respectés». Dans le cas où les choses ne bougent pas, il est possible, nous disent les locataires, de soumettre cette affaire à la justice pour le règlement définitif des problèmes rencontrés à la cité des 400 logements de Bouhanak.

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