Le journaliste et correspondant, Hadj Said Chitour, devait être libéré hier, suite au verdict prononcé dimanche par le Tribunal de première instance près de la Cour d'Alger qui l'a condamné à 2 ans et six mois de prison, dont 16 mois de prison ferme et une année avec sursis pour «intelligence avec une puissance étrangère». Correspondant de la BBC, du «Washington Post» et de «France 24», Chitour, a purgé sa peine, car ayant déjà passé 16 mois en détention préventive. Le procureur général près le tribunal criminel avait prononcé, auparavant, une peine de 5 ans de prison ferme à l'encontre de l'accusé.