Décidemment, l'indépendance de notre pays, chèrement acquise, est restée en travers de la gorge des nostalgiques de l'Algérie française et pas que. Ces derniers ne ratent aucune occasion pour faire des déclarations toxiques qui transpirent le mépris des réalisations d'un peuple au demeurant laminé par 132 années d'une colonisation des plus barbares et des plus cruelles. A les entendre, les indigènes d'hier vivaient mieux sous la gouvernance coloniale que les algériens d'aujourd'hui. Il est admis qu'en politique rien ne se fait au hasard et que l'erreur n'est pas permise surtout quand on a à sa disposition une armada de conseillers et d'experts en tout genre et dans tous les domaines qui arrivent à qualifier des attaques virulentes contre un pays et ses institutions, son histoire... que rien ne justifie, de simple dérapage, un euphémisme qui ne passe pas. Aussi les dernières déclarations très suggestives, formulées de manière péremptoire par ces personnalités politiques et médiatiques qui ont pignon sur rueprononcées à l'occasion de la dernière visite du Président de la République française me donne l'occasion, de revenir sur certaines d'entre elles, très connotées, d'apparences anodines, mais en réalité très perverses pour attirer l'attention des lecteurs sur leurs essence néocoloniale. Naturellement les déclarations de personnalités politiques, médiatiques influentes n'ont rien à voir avec des logorrhées prononcées dans un moment d'égarement, de perte de ses esprits ou d'énervement. Elles sont au contraire bien élaborées et orientées avec un dénominateur commun ; plaire à leurs électeurs et servir la mère patrie, placée au-dessus de toutes considérations. DU BLE CONTRE DU GAZ : Pour contourner les effets négatifs de la décision européenne de boycotter le gaz russe qui pèsent lourdement sur les économies des pays qui en sont membres, des ténors de la scènepolitiquefrançaise n'ont pas trouver mieux quede demander à leur gouvernement de se saisir de l'opportunité qu'offre la visite de leur Président en Algérie, du 25 au 27 aout 2022, pour établir avec celle-ci le deal (?) suivant: «du blé contre du gaz» ! La manière dont c'était dit, laisse suggérer que cette offre généreuse est à considérer par... les algériens comme un privilège que la France grandiloquente accorde à des alliés, ceux du premier cercle, cela s'entend ! En fait,cette offre formulée par ces personnalités poussées dans leur dernier retranchement par la crise énergétique induite par la situation en Ukraine, en panne de solutions, osent se dessaisir, momentanément, de l'arme alimentaire pour avoir du gaz, n'est pas sans arrières pensées. Elle rappelle étrangement dans sa finalité, celle formulée par l'administration coloniale acculée qui consistait à troquer la fin de la guerred'Algérie contre l'indépendance du nord, comprendre agricole, sans l'Algérie du sud, appelée pour l'occasion Sahara (autrement dit désert), comprendre hydrocarbure. Faut-il rappeler que le rejet catégorique par un peuple déterminé à mettre hors de nos frontières l'intrus, de cette offre diabolique, considéré par les pouvoirs colonialistes vexatoire, avait servi d'alibi aux ultras pour isoler les quelques rares colombes «dévorées» par les faucons plus nombreux et voraces, et engager une intensification des actions militaires des plus sanglantes et dévastatrices. A croire ces déclarations, il est aisé de déduire que le projet diabolique élaboré par des stratèges de la colonisation visant à torpiller la révolution armée de libération nationale et à diviser les algériens, devantpermettre à la France néocoloniale de conclure «la paix des braves» et de faire main basse sur les hydrocarbures, restevivace, non abandonné.Sinon, comment expliquer le fait que soixante années après les accords dits d'Evian, des personnalités de diverses chapelles politiques, obnubilées par le souci de plaire aux électeurs et de défendre les intérêts de leur pays, osentformuler une telle proposition qui a tout d'une provocation humiliante. Ce qui permet de dire que le néocolonialisme n'est pas frappé par une date de péremption !Ces dernières savent pourtant que notre pays qui aspire légitimement à un développement harmonieux, a de tout temps réservél'essentiel de la rente pétrolière et gazière aux investissements productifs pour atténuer les effets néfastes de la colonisation et projeter le pays sur un avenir prospère.En faitle but inavoué de ces déclarations est de : 1)- obtenir un marché, pourquoi pas de de gré à gré, leurpermettant d'écouler le surplus de production de blé tendre et rassurer par la même leurs céréaliculteurs. 2)-sécuriser, en attendant le dénouement de la crise que traverse le marché du gaz, les approvisionnements en gaz de l'industrie, des populations, et de l'agriculture (il faut du gaz pour produire des engrais azotés nécessaires pour booster la production agricole, chauffer les serres et autres bâtiments d'élevage)... 3)- confiner notre pays, qui reste dans l'imaginaire de ces néo colonialistes un réservoir de matières premières indispensables pour leur industrie, un marché pour écouler leurs surplus de productions, et un fournisseur de main d'œuvre choisie, dans le statut de pays sous développé qui lui est dévolu par les puissants du moment. Ce que nos compatriotes doivent garder à l'esprit c'est ; -que notre pays a produit du blé dur depuis des millénaires et qu'il fut, selon des historiens les plus reconnus par leurs pairs, le grenier à blé de Rome et fournisseur de l'empire Français, un blé que ce dernier n'a toujours pas payé. Notre pays,terrain de prédilection du blé dur, une céréale faisant partie de notre histoire, de sa culture, de son art culinaire... (contrairement au blé tendre) ,le produit et continuera de le produire. Il suffira pour le produire en quantités suffisantes en vue de satisfaire la demande nationale en blés, certes croissante, d'orienter notre plan de production national vers la production de cette denrée de base irremplaçable qui fait corps avec nos habitudes alimentaires depuis des millénaires. Pour se faire, les pouvoirs publiques doivent nécessairement reprendre sérieusement le gouvernail que les décideurs des années 1980 avaient déserté au profit de colons d'un nouveau genre, plus préoccupés par le comment se remplir les poches que par la concrétisation de notre indépendance alimentaire sécurisée. Le pays a les moyens et les potentialités naturelles nécessaires pour engager un plan de culture national axé sur la production des produits agricoles essentiels à la population classés prioritaires. - Par le biais de ce marché, il est visé l'aggravation de notre dépendance alimentaire vis-à-vis de l'ex puissance coloniale, une situation utilisable, en cas de besoin, pour faire pression sur notre pays. Ceci est d'autant plus plausible que l'histoire récente de notre pays nous enseigne que le pouvoir politique français avait fait usage de ce genre de procédé en 1971, ( pour ne citer que ce fait dommageable), quand l'Algérie avait décidé, dans le cadre de politique de récupération de ses richesses naturelles mise en œuvre durant les années 1960 et 1970, de nationaliser les hydrocarbures. Il convient de rappeler quecette décision souveraine de notre pays, qui avait jusque-là échappé au réseau France Afrique mis en place pour soumettre les anciennes colonies, avait donné l'occasion aux autorités françaisesdedéclencher une avalanche de sanctions visant à faire plier notre pays et à entraver son développement économique et social, Fort heureusement pour notre pays, les importations de technologies et de produits alimentaires de base à partir de la France étaient réduites à leur plus simple expression ce qui avait permis de mettre en échecles entreprises de sabordage de notre plan de développement national. Il est à souligner que la vigilance dont avaient preuve les acteurs politiques et économiques, en place à l'époque,s'est avérée salvatrice. Par ailleurs, telle une bête blessée, le pouvoir politique français, impuissant devant la détermination des algériens à vivre pleinement leur indépendance, avait orchestré et mené sans retenue une campagne de dénigrement de notre pays dans toutes ses composantes allant jusqu'à déclarer que notre pétrole était... rouge, ce à quoi le Chef de l'Etat avaitrépliqué de manière cinglante : je cite de mémoire ; «oui notre pétrole est rouge du sang de nos martyrs». Comme toujours, hélas, c'était aussi l'occasion pour les réactionnaires de tous bords de s'en prendre physiquement aux algériens résidents en France, de déverser leur fiel et de déclamer des slogans hostiles à ces derniers et à notre pays: «pas de pétrole pas de travail», «on n'a pas de pétrole mais on a des idées»... et la liste est loin d'être exhaustive. Le marché de dupes que proposent, ou plutôt, mettent sur la table des négociations, du blé contre du gaz pour, entre autre, booster la production de ... blé, ces ténors de la politiquefrançaise, me donne l'occasion de rappeler une pertinente et parlante caricature des années 1980,qui résumait la situation qui prévalait déjà à l'époque placée sous l'empire du slogan «pour une vie meilleure». A défaut de la reproduire je la décrispour les lecteurs:«Une carte géographique où l'on découvre deux pays- la France et l'Algérie- reliés par deux imposants tuyaux : l'un charriant toutes sortes de victuailles en provenance de France relié autube digestif de l'algérien,et en retour un pipeline transportant du pétrole pour alimenter le parc industriel français.»C'est sans commentaire ! Si j'ai tenu à restituer cette caricature méconnue, c'est pour dire que la politique ultralibérale visant la remise en cause de la politique d'égalité des chances mise en œuvre durant les 60 et 70, favorisant les importations tous azimuts de produits «made in ailleurs», poursuivie depuis, ayant induit le déclassement et le délaissement des productions nationales(agricoles et industrielles) semble donner du grain à moudre aux nostalgiques de l'Algériefrançaise et à ceux qui mettent sur la table ce marché de dupes déséquilibré et très favorable à tous points de vue à l'ex puissance coloniale. DE MACRON A PRESIDENT MACRON : LA STRATEGIE DE RECONQUÊTE DU PERDU Le Macron candidat devenu Président Macron,pour arriver à ses fins, a pris depuis, l'habitude et la liberté de fouler aux pieds les règles de bienséance que tout responsable se doit d'observer dans ses relations avec l'autre, s'interdire de s'ingérer dans les affaires intérieures de ses voisins, de juger et de noter les responsables de pays de son ancien empire perdu à jamais. Un rappel des principales déclarations pour éclairer les lecteurs sur cette personnalité politique de premier plan s'impose : 1) - de passage à Alger pour lancer sa campagne électorale à la présidentielle française de 2017, le citoyen-candidat Macron, en quête de soutiens, a franchi le Rubicon en déclarant que la colonisation est un crime contre l'humanité.Comme il fallait s'y attendre, (comme on dit : c'est trop beau pour être vrai !), une fois installé au palais de l'Elysée où l'attendaient l'armure que tout nouveau locataire doit enfiler, forgée par les idéologues du néocolonialisme, et la panoplie d'instruments qui vont avec, qu'il doit manier avec dextérité et sans état d'âme, il n'a pas hésité à se renier. Ce n'est plus le citoyen qui s'exprime mais le porte-drapeau d'une puissance néocoloniale qui rumineencore notre indépendance. 2) -le journal «le Monde» avait rapporté dans son édition du trente septembre 2021 les propos tenus par le Président de la République Française devant 18 jeunes médusés, réunis au somptueux palais de l'Elysée, à la veille de la commémoration des massacres perpétrés par Papon le 17 octobre 1961 et du déclenchement de la révolution de libération nationale,pour entendre leur Président dire que leurs parents leur ont menti sur l'histoire de la guerre d'Algérie et qu'il leur promet de la réécrire, et que l'Algérie est une «création française». Il a usé et abusé de sa posture présidentielle, pour faire non sans arrogance, dans le déni de notre histoire plusieurs fois millénaires en rejoignant ainsi, la cohorte de nostalgiques de l'Algérie française, confortant ainsi, les promoteurs et les défenseurs de la colonisation positive. 3) -Le sommet Afrique-France organiséà l'initiative de l'actuel Président de la République Française qui avait décidé de convoquer 3.000 personnes triées sur le volet pour assister à une messe organisée à Montpellier, baptisée pour la circonstance «sommet Afrique-France» devait remplir deux objectifs : - dresser ce qu'il nomme pompeusement «société civile» contre les dirigeants de leurs pays qualifiés de vieillissants, de corrompus...etc., copieusement stigmatisés par les médias de l'ex puissance coloniale. - et de recruter des«harkis» modernisés, bardés de diplômes, de connaissances, pour servir de têtes de pont au néocolonialisme, et pour gérer directement l'aide extérieure en lieu et place de l'Etat et de ses démembrements. 4) - Lors de sa visite officielle en la «Maison Algérie», il n'a pas hésité à utiliser le sol Algérien en guise de tribune pour s'en prendre vertement à la chine, la Russie, et la Turquie, une façon de faire que même un quelconque personnage se trompant d'époque et de lieu, peu respectueux des usages et des traditions de la maison hôte ne peut oser raisonnablement emprunter, surtout publiquement et devant les caméras.Ignore-t-il à ce point que la règle de bienséance suggère que lorsqu'on est invité à déguster un couscous royal méchoui suivi d'un thé à la menthe, et qu'on est accueilli avec des égards, on se garde de se servir de cet instant convivial pour s'adresser aux enfants de cette grande maison chaleureuse et généreuse pour pérorer et designer à la vindicte les amis, à plus forte raison les meilleurs d'entre eux, en nourrissant l'illusion de dresser les enfants contre leurs parents et les faire douter de leur roman national écrit page par page, depuis des temps immémoriaux, par leurs ascendants. 5) -«Une histoire d'amour qui a sa part de tragique» : en osant une telle affirmation (ce n'est pas une allusion suggestive) qui dépasse tout entendement a un moment particulier marqué par l'annonce de la création d'une commission bipartite d'historiens pour traiter la colonisation de notre pays, et la montée en puissance de l'extrême droite française, le Président de l'ex puissance coloniale n'a fait que révéler son vrai visage. Cette inqualifiable déclaration qui est loin d'être fortuite, faite tout de même par le Président de l'ex puissance coloniale en possession de ses moyens, sain de corps et d'esprit ne peut passer pour une maladresse de plus. Elle serait ditepour : - balayer d'un revers de main la montagne d'horreurs commises durant 132 ans de colonisation française, à l'endroit de la nature et des humains,et permettre de passer sans état d'âme par perte et profit, les quelques cinq millions d'indigènes victimes de la colonisation française et la dévastation de notre écosystème par l'atome et le napalm ; - constituerune orientation politique balisant les travaux de la commission mixte d'historiens. -caresser dans le sens du poil l'électorat français, qui, au regard des résultats des dernières législatives, se droitise de manière inquiétante. Il fait de la politique ! Tout un chacun sait que le mélange du rouge et du blanc donne du rose, couleur symbolisant l'amour et le bonheur, une alchimie à laquelle semble s'essayer le locataire de l'Elysée pour oser qualifier une effroyable colonisation qui a tout de même duré 132 interminables années, d'histoired'amour contrarié, sous-entendu, par des enfants indignes de leurs parents. Transformer des rivières de sang des indigènes (terme générique usité durant l'occupation pour ne pas dire algériens) que ses aïeux avaient fait couler, en un fleuve d'amour «il n'y a que ceux qui se lavent avec l'urine qui osent le clamer», dixit un dicton populaire bien de chez nous.Ces gens-là, sont sans scrupule ! Conclusion Les faits historiques nous enseignent que notre pays a de tout temps été utilisé par les pouvoirs politiques français pour faire diversion, sauvegarder leurs privilèges et faire prospérer leur économie, et c'est de bonne guerre. Depuis l'expédition d'Alger décidée en conseil des ministres le 31janvier 1830, pour sauver l'autorité chancelante du roi de Charles X, opération en préparation depuis 1827, pour permettre au roi de garder pour quelque temps son trône et à la France de s'affranchir du paiement du blé qu'elle avait reçu d'Algérie, en passant par la visite officielle effectuée en France en 1982 par le président algérien (soit vingt ans après notre indépendance), une France dirigée alors par celui qui avait dit que l'Algérie c'est la France et qui n'avait pas hésité à faire actionner la guillotine sur le cou de notre Zabana, s'était soldée par une moisson de contrats juteux qui ont permis à la France de se redresser économiquement, de se replacer premier fournisseur de notre pays devenu poubelle de cette dernière et d'ouvrir le marché algérien aux entreprises françaises pour le siphonner. Le néocolonialisme, leur commande de tout entreprendre pour conserver le marché algérien réputé porteur et sécuriser leurs approvisionnements en matières premières indispensables pour faire tourner leur économie productive. L'erreur que commettent ces personnalités est de prendre nos qualités pour de faiblesses au point de se positionner en maitres des lieux feignant d'oublier que notre pays n'est plus territoire français depuis le 05 juillet 1962. Ce sont de mauvais élèves ! Dixit le Généralissime Giap. J'en veux pour preuve, s'il en fallait une,le one, twa, Three,Viva l'Algérie, (slogan qui a succédé au «ONE, TWA, FREE vival'algérie des années de braises» entonné par les indigènes des années cinquante pour revendiquer l'indépendance totale de leur Algérie,)que les algériens rescapés du colonialisme désormais indépendants depuis soixante ans, ont entonné pour dire de manière éléganteà la France néocoloniale : FAKOOO !BASTA ! La famille, comprendre Algérie, et l'esprit de famille qui caractérise le peuple algérien constituent la ligne rouge qu'il n'est pas permis de franchir. Ce qui est permis aux membres de la famille à l'intérieur de celle-ci ne l'est pas forcément aux étrangers. Autrement dit, quand la famille est attaquée même verbalement, tous ses membres, transcendent leurs éventuels différents pour se dresser comme un seul homme pour défendre l'honneur de la famille . Aussi, il me plait de rappeler ici une des sagesses, en relation avec l'objet de la présente contribution, de notre terroir que nos aïeux à travers nos parents, nous ont enseignées ; «Ne jamais oublier que la personne que vous avez humiliée publiquement cherchera à se venger, il faut s'en méfier. Et si par le fait d'une force majeure vous devez faire un bout de chemin ensemble, il faut la mettre devant ou à défaut sur le côté et garder des distances de sécurité». Les colonialistes français, administration et armée, humiliés par des indigènes, n'oublient pas et semblent, si l'on juge à travers les déclarations de l'actuel Président de la République Française et pas que, pas prêts d'oublier. C'est pourquoi cette sagesse que nous ontléguée nos aïeux est plus que jamais d'actualité et mérite d'être observée dans nos relations avec l'ex puissance coloniale. Ne dit-on pas à toute chose malheur est bon !? Les déclarations depersonnalités politiques françaises et duPrésident de la République Française doivent nous interpeler et nous incitent à rester vigilants et unis pour leur signifier clairement que nous somme une famille viscéralement jalouse de son indépendance. Je reste persuadé que les déclarations intempestives et autres provocations sus-rappelées, auxquelles il faut ajouter toutes celles qui ne sont pas rendues publiques, qui ont heurté profondément les patriotes attachés à leur indépendance très chèrement acquise, produiront un effet contraire à celui attendu par leurs auteurs et ne manqueront pas de booster notre cohésion nationale, déjà au beau fixe, comme vient de le démontrer le mémorable mouvement populaire authentique de février 2019. Le «one, twa, three, viva l'Algérie qui a fusé fin aout dernier dans la rue d'une Algérie résiliente, est là pour rappeler avec constance cette réalité!