Nonobstant quelques îlots d'intelligence et de cœur qui résistent, çà et là, tant bien que mal, à la tentation de sombrer dans la discrimination et d'allumer, à chaque instant, tous ceux qui arborent fièrement leurs différences, la déliquescence d'une partie de la société française, entraînant dans son sillage l'Etat et ses institutions, a atteint un niveau qui provoque inquiétude et pose questionnement. Chaque jour nouveau que Dieu fait apporte son lot de décadence et accentue, un peu plus, les dégradations et les glissades vers des horizons extrêmement dangereux, difficilement maîtrisables et hautement inflammables, rappelant ces heures les plus sombres de l'histoire de France. Des individus issus du dérisoire, de l'insignifiance, ont pris possession des fabriques de propagande qui ont émergées ces dernières décennies en France pour servir un agenda nauséabond mis en musique par des officines douteuses frappées de l'estampille sioniste, dont le seul et unique but consiste à démolir les populations issues de l'émigration et de confession musulmane. L'objectif non dissimulé de porter par ricochet sérieusement atteinte aux Algériens résidants en France, aux Franco-Algériens nés en France et à la stabilité de l'Algérie, pays pivot et convoité qui cumule cette double caractéristique, ne fait plus l'ombre d'un doute. Pour ce faire, il se construit tous les jours des récits imaginaires, taillés à la mesure de ces imposteurs présentés, comme « brillants » analystes, chroniqueurs ou spécialistes du mensonge et de l'insulte, au diapason de tous les faits et gestes de cette communauté cœur de cible. La particularité de ces charognards consiste à se faire concurrence pour présenter la meilleure offre de service capable de descendre en flamme ces hommes et ces femmes de condition modeste, besogneux et qu'on ne cesse de stigmatiser et d'invectiver à longueur d'année. Toute violence relevée quelque part en France, même aux fins fonds d'une province oubliée, leur est systématiquement attribuée. Il s'agit d'entendre par là qu'il s'agit de cette jeunesse des quartiers, ces français de quatrième et cinquième génération, voire davantage. Qu'un français d'origine juive ou français de « souche » s'enrhume ou trébuche dans l'Hexagone, et ne vois-tu pas des témoins oculaires se présenter instantanément aux caméras de Crevure-NEWS et BFM-Sanitaires toujours, comme par hasard, présentes sur les lieux. Bien sûr, juste avant la chute du quidam ou de sa compagne et de ses enfants, ces témoins au-dessus de tous soupçons, ont entendu, comme à l'accoutumé, crier des «d'Allah Ouakbar» et suivez simplement mon regard ! C'est alors que rentrent en scène ces danseuses du ventre d'un nouveau genre, baveuses à souhaitS, équipées de sulfateuses chargées d'irradier copieusement tous ceux et toutes celles qui ne portent pas de prénoms empruntés au calendrier grégorien ou aux prophètes juifs version occidentale. Pour le reste, les voix toxiques de l'exécutif et du législatif qui pérorent sous les cors de la République, feront le travail «respectable» réservé aux cols blancs. Elles prendront alors le relais pour justifier et inscrire dans la loi et parfois dans le marbre ces dispositions inquisitoires qui permettront de déclasser administrativement, économiquement et socialement cette jeunesse et ses ascendants. Parmi ces voix venues d'outre-tombe, institutionnalisées par les plateaux télé d'informations en continu, les émissions de divertissements douteuses signée Cyril HANOUNA (sic) et les ondes de plusieurs stations-radio telle que RMC et RTL, il y en a une plus dissonante que les autres, celle de : Hossam Boutros MESSIHA, qui par complexe et aussi pour plaire et convaincre s'est rebaptiser, à l'occasion de la toute fraîche obtention de la nationalité française, Jean MESSIHA. Pourquoi doit-on s'attarder et accorder tant d'intérêt à ce triste personnage, un si vil individu ? Ce sera sûrement l'unique fois où cette ordure infecte qui n'appelle que mépris et indifférence, est évoquée ici où là. Juste pour cerner les limites de sa vilénie et les aspérités de son personnage vénal, disposer à tout accomplir, en bradant honneur et crédibilité, si tant est qu'il en a. Bradant ainsi son âme, il est disposé à marcher sur des cadavres, juste pour justifier « son mérite de nouveau français bien assimilé », détenteur des codes sociaux nécessaires, allant jusqu'à accepter de porter l'habit du français bas de gamme, du français postiche, de l'échantillon du français Taiwan importé par conteneurs entiers, enfin du français d'emprunt. Déchet humain, rebut de l'arabité, après avoir tété et sucé goulument l'Egypte en famille, il est engagé aujourd'hui dans une entreprise de pillage systématique de la France sous couvert d'un nationalisme exacerbé. Il est en train de dévaliser ce pays jusqu'à l'os, par des braquages médiatiques, faisant feu de tout bois et offrant ses services à ce que l'espèce humaine compte de plus vil : l'extrémisme, le sionisme et le racisme. Ses postures sur les plateaux télé, guidées par une rancœur cupide sans égale, ont été battues en brèche par une enquête documentée de Médiapart, moult preuves à l'appui, qui démontre comment cette racaille prénommée Hossam Boutros MESSIHA dit Jean, né égyptien, copte de confession, a profité pleinement des largesses du ministère des Armées français, à travers un salaire mirobolant, avoisinant les 11 000 euros par mois, sans fournir de contrepartie, aucune. Une escroquerie avérée du contribuable français et un travail virtuel en sorte qui a duré des années, captant ainsi une rente mirobolante et un statut usurpé. C'est ce qui le pousse à s'auto-désigner pour accomplir les basses besognes que des nazillons de souche et haut de gamme ont déclinés par pudeur et retenue. Ah ! Comme il est confortable et motivant ce pseudo « nationalisme » tardif du ventre et de la rapine. Ce n'est pas tout, parce qu'il a été également, et il l'est toujours du reste, cumulard. Alors même qu'il émargeait au ministère des Armées en qualité de haut fonctionnaire, il percevait des émoluments pour de prétendues notes de synthèse qu'il réalisait pour Marine Le Pen dans un premier temps et Eric ZEMMOUR ensuite, tous deux candidats à la présidentielle de 2022. Ce « militantisme » de chameau errant dans le désert ne semble pas du tout désintéressé, ce qui dénote de la malhonnêteté criarde suintant de ses propos. Le sieur reste malgré tout lucide, droit dans ses bottes mais toujours près de ses sous, caractère dominant de son ADN qu'il bonifie et monnaye auprès du Mossad et des extrêmes de la droite. Ensuite il y a sa « carrière nauséabonde » et son vagabondage politique dans le capharnaüm de la haine et de la vindicte, ce qui l'expose à ce qu'il soit passé au chalumeau en allé et retour à chacune de ses apparitions publiques. Escroc notoire donc, il squatte en permanence les plateaux de télévision et présente ses offres de service à tout bout de champ qui consistent simplement à servir d'alibi en se faisant passé pour l'arabe de service disposé à flinguer les Français de confession musulmans. Concomitamment il s'auto-désigne et s'arroge le droit, excusez du peu, de décerner des diplômes et certificats de mérite à ceux qu'il estime être de bons français assimilés, c'est-à-dire soumis, serviles, rasant les murs, reniant leurs origines et aptes à sucer la facho sphère. Malheureusement pour lui comme pour beaucoup de ses semblables, ils arrivent tardivement, en retard de quelques décennies par rapport à l'évolution de l'histoire afin de mettre en pratique leurs désidératas et en tirer de substantiels profits. Les temps ont changés Monsieur et les hommes aussi. Ces citoyens qu'il essaye d'irradier et qui sont des Français à part entière, Français bien avant lui, depuis cinq générations pour beaucoup d'entre eux, et certainement Français bien mieux que lui, leurs parents à eux ont été contraints à verser leur sang pour la France et leur force de travail pour la reconstruire. Citoyens affirmés et confirmés, forts de leur personnalité, de leur appartenance, de leurs racines et de leurs références, ils ne sont plus enclins à accepter les diktats d'où qu'ils viennent. Surtout s'ils sont portés par des néo français, plus royalistes que le roi, à la recherche d'une reconnaissance nationale mais adossée aux subsides du Trésor public français. Il n'a qu'à prendre conseil auprès de ceux qui s'y sont essayés bien avant lui, en agissant à partir du sommet de l'Etat comme l'a fait Carlos Manolo VALLS, autre néo-français, ex-ministre de l'Intérieur et ex-Premier ministre d'un gouvernement dit de gauche. Renvoyé par la France qui pèse, qui compte, alors même qu'il était tombé dans les arcanes de l'oubli national, il s'est soudainement souvenu de ses origines ibères en allant s'essayer aux élections municipales de Barcelone. La réponse des catalans fut, on ne peut plus humiliante car il porte encore sur son derrière la trace du coup de pied que lui a infligé l'électorat barcelonais en le renvoyant à ses trahisons hexagonales. Ce type de français ayant fait leurs classes dans la sphère du nomadisme identitaire et politique en détroussant la France plus qu'en la servant, se sont essayés bien avant lui à ce jeu très risqué du racisme de ces camelots des marchés de province. Ils ne se sont rendus compte qu'en se fracassant la gueule sur les réalités du terrain et la pugnacité de citoyens d'un genre inédit qui arborent avec fierté et vaillance leurs origines sans jamais plus baisser les yeux, ni la tête ou se laisser marcher sur les pieds par le dernier venu. Manolo Carlos Valls, élève cancre, paresseux, vénal et absentéiste, l'a appris à ses dépens sans pour autant retenir la leçon. Après une virée honteuse et déshonorante en Espagne lorsqu'il s'est rappelé soudainement de ses origines pour aller proposer ses services, à la faveur d'une élection locale. L'électorat catalan l'a boudé magistralement et le coup de pied reçu là-bas fut terriblement douloureux mais sans le dissuader pour autant de « retenter sa chance » en France. Au juste, tout comme le parvenu, Manolo Carlos VALLS, Hossam Boutros Messiha racle tous les râteliers. Comme lui donc, promenant son profil de chameau délaissé, chose qui lui est toujours rappelé sur les plateaux télé, Houssam Boutros MESSIHA dit Jean, groom de service confirmé, doit se laver le visage chaque matin avec l'eau de la cuve des toilettes avant d'entamer sa journée. Même les implants de cheveux qu'il a fait poser en Turquie (prix concurrentiels et vénalité oblige) pour masquer une calvitie fort-avancée, source de tous ses complexes, ne peuvent lui procurer l'image lisse et présentable du français chic et modèle qu'il recherche vainement à endosser et imposer. Malgré tous les efforts consentis pour améliorer son image, son odeur de chameau dégradé et en fin de vie lui colle fortement à la peau même s'il s'évertue à s'habiller en Prada. Il serait donc pertinent de se poser quelques questions sur l'imposture de cet usurpateur : - Pourquoi, diantre, ce Houssam Boutros MESSIHA dispose-t-il de toute cette mansuétude et de cette facilité déconcertante qui lui ouvrent grandement les portes d'accès aux plateaux télé aux heures de grande écoute, affublé du statut de « chroniqueur » ? - Quelle plus-value apporte-t-il au patrimoine de la France ou à la réflexion qui peut faire avancer positivement la société française, encourager la cohésion, apaiser les tensions qui la secouent et ébranlent ses fondements depuis maintenant plusieurs décennies ? - De quel pouvoir occulte tient-il cette immunité qui l'autorise à démolir gravement et sans retenue plus de sept millions de citoyens français de confession musulmane, autrement plus respectables que lui et ses semblables aux origines douteuses, avançant masquées et souvent reniées ? C'est parce qu'Arabe il est et Arabe il le restera quelque soient sa soumission aux extrêmes de la droite et le zèle douteux dont il fait preuve pour jeter l'anathème sur ces franco-algériens, sénégalais, maliens ou tunisiens qui ne le calculent même pas et dont l'existence même l'empêche de dormir sereinement ou de se mouvoir socialement ou politiquement en toute quiétude. Longtemps bien avant lui, d'autres vermines se sont essayées à cet exercice sans résultat probant si ce n'est que, en s'apercevant de leur incrédibilité auprès du citoyen lambda, ils furent jetés comme un mouchoir de poche qui a mal servi, par ces mêmes décideurs qu'ils ont voulu convaincre. Triste fin pour cette armée mexicaine de serviles. Houssam Boutros Messiha lui perd totalement le nord dans son désir de prouver sa soumission vaille que vaille. Ainsi, s'agrippant aux derniers fait divers qui ont vu, d'une part le jeune Naïel assassiné à bout portant par un policier et d'autre part Mohamed de Marseille, la tête fracassée par un tir de à bout portant de LBD exécuté par un policier de la Bac, il initie des opérations scandaleuses et condamnables que même le plus fasciste des français n'a jamais osé faire. Il excelle avec méthode et rigueur dans la concurrence à la soumission aux désidératas de l'extrême de la droite, dépassant de loin les positions d'un Jordan Bardela président du RN ou de Jean Marie LEPEN lui-même. Notons simplement qu'après la cagnotte de la honte qu'il avait initiée au profit du policier assassin du jeune Naïel dans la banlieue parisienne et qui a soulevé un tôlé général, ne le voilà-t-il pas récidiver par l'appel à manifestation de soutien à la police française le 30 septembre 2023, annonce relayée et amplifiée comme de bien entendu par C-NEWS et BFM-TV, chaine d'infos continues où il est logé en permanence, ses résidences principale et secondaire. Et comme dirai Toufik, le philosophe franco-algérien de la banlieue-Nord «quand la neige fondra on s'apercevra des excréments que tu as commis en les cachant sous le manteau blanc». * Universitaire retraité - Bordeaux.