Les mendiantes espèrent ainsi que cette petite main inciterait les passants à plus de générosité .La mendicité bat son plein dans une ville qui se développe à une vitesse incroyable. Contradictoire, voire même intolérable, puisque les centres de bienfaisances sont en nombres insuffisants pour accueillir ces femmes, hommes, familles prise en charge totale. Dar Errahma « LACHACHI », ou autres sont prêtes à accueillir cette frange de la société. Ce qui attire l'attention dans tout ce bagou, ce sont les enfants qui accompagnent ces mendiantes, et qui sont tout simplement loués ou empruntés pour la matinée ou la journée. L'une des mendiantes disait à sa « collègue : (puisque ceci relève du professionnalisme) qui tentait de punir le petit qui hurlait de toute ses forces : « Je dois le rendre à sa mère sain et sauf avant midi, je ne veux pas le frapper, c'est le moment de partir ».La mère et la mendiante, toutes deux complices, ont-elles le droit d'exploiter ces enfants pour des fins pécuniaires. L'apparition d'un tel comportement, n'appartient certainement pas à notre société. La mendicité, est chose banale et ce dans tous les pays du monde, mais utiliser des êtres innocents est un acte écœurant qu'il faut combattre. Il faut donc mettre un terme, à ce type de mendicité en infligeant des sanctions pénales aux mendiantes « professionnelles », si on considère que cet acte est un délit "de mise en péril d'un mineur". Eradiquer ce phénomène ne sera pas chose aisée, sachant que le revenu tiré de la mendicité est très rentable.