La dégradation des immeubles, l'absence de la maintenance, la décadence du cadre de vie ont toujours été au premier plan des doléances des habitants de la cité des 80 logements situés à El- Mardja dans la partie nord-ouest de la ville de Tissemsilt Ces habitants qui pour la plupart d'entre eux ont été relogés il y a moins d'une dizaine d'années dans cette cité déclarent encore une fois que leurs habitations ne répondent vraiment pas à leurs aspirations, ils les ont habités amoindries de commodités et dont le bâclage de la réalisation a démontré les malfaçons et les irrégularités dès la réception et depuis précisent-ils, ils n'ont pas cessé de saisir les responsables mais sans que ces derniers réagissent à leur appel, les habitants rappellent encore une fois que les blocs sont dans un état de dégradation alarmant, d'ailleurs ils regrettent leurs anciennes habitations, les fissurations sont partout et particulièrement les étages supérieurs, les toitures en tuiles sont devenues de vraies passoires, et l'absence d'aménagement a rendu cette cité invivable, même les locaux commerciaux non encore distribués sont à l'abandon et sont devenus de vrais dépotoirs , avec les pluies hivernales et l'absence des conduites et autres décentes d'évacuation des eaux pluviales dans et en dehors des blocs laisse apparaître d'énormes flaques où la stagnation des eaux et autres immondices font fuir plus d'un, en plus du danger que représente cette situation sur la santé de leurs enfants. Les habitants des 80 logements précisent que les services de la maintenance de l'OPGI n'ont jamais engagé une vraie opération dans ce sens malgré les multiples sollicitations et le seul contact qu'ils ont avec l'OPGI est relatif au payement du loyer qui selon eux est beaucoup plus élevé pour des chômeurs et des sans ressources. Enfin, ces habitants invitent le DG à visiter la cité ou envoyer une commission pour constater et enquêter d'elle même sur ce qu'ils avancent tout en le sollicitant d'engager les réfections et les aménagements le plutôt possible et avant même que les pluies ne fassent une autre catastrophe.