Il a fallu l'intervention vigilante des éléments des services de police judiciaire pour sauver le plancton Regued Houari des mains de certaines personnes qui veulent imposer leur diktat profitant de l'absence de M. le chef de daïra qui faudrait-il rappeler n'a pas mâché ses mots après avoir cerné les tenants et les aboutissants de cette affaire qui fait la une de toutes les discussions. Selon la victime, Regued Houari, âgé de 57 ans, et qui a été tabassé par 3 personnes dont le cousin du chef de daïra qui n'est désigné dans aucun poste mais n'a jamais quitté la daïra et qui fait objet d'enquête minutieuse de la part des services de sécurité, apprend-on de source sécuritaire, le mobile de cette agression serait lié à la dénonciation, dans ce sens , R.H dira : « en l'absence du chef de daïra, rien ne va, le siège devient un lieu de rencontres intimes entre des employés de la daïra et des femmes étrangères et plus particulièrement entre midi et 13h, et voyant ce pourrissement, j'ai réagi, j'ai refusé catégoriquement de voir une institution étatique se transformer en un lieu de débauche et plus particulièrement en l'absence du chef de daïra. 2 personnes étrangères en compagnie d'un chef de service, ont fixé des rendez-vous à 3 femmes étrangères connues sur la scène frendie comme étant adeptes de la débauche et la complicité du cousin du chef de daïra n'est pas à écarter, puisqu'il est auteur de l'agression ; ajoute Regued Houari qui a bénéficié d'une incapacité de 5 jours dument signée par le médecin légiste de l'hôpital « youcef Damardji » de Tiaret. Le siège de la daïra de Frenda fait objet d'un climat d'insécurité et les autorités concernées doivent intervenir pour mettre fin aux salles rumeurs qui courent à Frenda et font ternir le visage d'une institution étatique. Nous y reviendrons.