L'Algérie est un pays d'entrepreneurs ; bon nombre d'Algériens s'engagent, à un moment ou à un autre de leur vie, dans de petites affaires. Ce talent est encore largement sous exploité, ou tout au moins contrarié par un environnement peu propice à bien des égards. L'objectif du défi de l'entrepreneuriat jeunesse est de promouvoir la culture entrepreneuriale qui favorise le développement d'attitudes, de compétences et d'habiletés profitables non seulement aux entrepreneurs de demain, mais également aux futurs employés et à tous les citoyens. Cette dernière a notamment pour mandat de supporter les organismes et les établissements d'enseignement du territoire dans la mise en œuvre de projets visant le développement d'attitudes et de compétences entrepreneuriales chez les jeunes. L'entrepreneuriat, ça ne s'adresse pas uniquement aux personnes désireuses de se lancer en affaires et de devenir des entrepreneurs. Et non ! Car on peut être entreprenant sans être entrepreneur. Être entreprenant, ça s'apprend et ça se développe. Être entreprenant, c'est de s'éveiller au potentiel et aux différentes qualités qui sommeillent en nous et de créer des occasions pour les exploiter. C'est de faire appel à sa créativité, à son leadership et à son sens des responsabilités pour initier et mener à bien des projets de toute sorte qu'ils soient d'envergure ou non, personnels ou collectifs ou encore de nature sportif ou culturel. Être entreprenant, c'est surtout avoir des rêves et des passions, de s'y investir et d'y croire. Quelles sont les implications personnelles? Qu'est-ce que ça implique d'être à son compte? Se lancer en affaires en tant que travailleur autonome, qu'est-ce que ça signifie? Être entrepreneur : une démarche structurée Se lancer en affaires en tant qu'entrepreneur veut dire se familiariser avec la démarche entrepreneuriale : Analyse de l'environnement, du secteur d'activité, du marché et de la concurrence ; élaboration du plan d'affaires ; mise en œuvre du plan d'affaires. Bien se connaître : Apprendre à se connaître permet de mesurer sa tolérance aux contraintes d'être son propre patron. La personnalité constitue en effet la clé de tout succès. Pour cela, tout porteur de projet doit réfléchir à ses aspirations, ses valeurs et ses objectifs, évaluer ses ressources et ses qualités et faire son bilan de compétence. Ça aide le porteur d'idée à cerner ses forces et faiblesses et à déterminer les autres ressources et aptitudes dont il a besoin pour concrétiser son projet. Un entrepreneur c'est celui qui : identifie une occasion d'affaires jusque-là non repérée par les autres et qui organise les ressources pour l'exploiter ; introduit de nouveaux produits ou services ; trouve de nouveaux marchés ou de nouvelles sources d'approvisionnement ; crée de nouvelles formes d'organisation, de production ou de commercialisation ; implante de nouvelles solutions ; réunit le capital nécessaire ; crée la nouvelle entreprise et en assume le risque et la gestion. Avant de s'établir à son compte, il doit prendre conscience de ce qui l'attend et des implications de sa décision tant sur le plan personnel que professionnel. Pour connaître les implications d'être à son compte, il faut se familiariser avec le métier d'entrepreneur et comprendre la démarche entrepreneuriale. Pour voir si le métier d'entrepreneur lui convient et s'il est prêt à en assumer les contraintes, il doit apprendre à mieux se connaître. Après cette vue d'ensemble, il peut évaluer si la vie de propriétaire d'entreprise lui convient et s'il a les capacités de mener à bien son idée de projet. Principales implications personnelles : travailler de longues heures et faire des sacrifices ; avoir moins de temps à consacrer à sa famille, à ses amis et aux loisirs ; se contenter d'un faible revenu ou pas de revenu du tout pendant un certain temps. Principales implications professionnelles : prendre des risques et être capable de les assumer ; prendre des initiatives et respecter ses engagements ; être responsable vis-à-vis des autres (personnel, clients, fournisseurs) ; être prêt à affronter les conjonctures défavorables et travailler sous pression ; vivre dans l'incertitude permanente et avoir beaucoup de stress ; assumer plusieurs rôles (prospection, production, développement) et prendre toutes les décisions d'entreprise ; avoir plusieurs patrons (ses clients) encore plus exigeants que les précédents. Principaux avantages : Être à son compte procure au promoteur beaucoup d'avantages qui compensent largement les contraintes mentionnées : exploiter tout son potentiel et l'ensemble de ses talents ; mener une vie excitante et éliminer la routine ; réaliser son rêve ; créer de la richesse et de l'emploi ; avoir un statut enviable dans société.
Qu'est-ce qui rassemblent les différents types d'entrepreneurs ? 1- Vision et créativité : Les entrepreneurs ont une vision claire de leurs buts, de l'évolution de l'environnement et de leur projet. Grâce à leur créativité, ils identifient de nouveaux marchés.
2- Capacité organisationnelle : Les entrepreneurs sont méthodiques et organisés. Pour réussir, ils planifient minutieusement les différentes étapes de leur projet et organisent les ressources nécessaires à leur réalisation.
3- Initiative et action : Les entrepreneurs se fixent des objectifs et prennent des initiatives pour les atteindre. Ils n'attendent pas qu'on leur indique le chemin à suivre. Ils savent exactement ce qu'il faut faire pour réussir. Ce sont des personnes d'action qui sont au cœur de leur projet.
4- Capacité de travail : Les entrepreneurs sont énergiques et travailleurs. Ils consacrent de très nombreuses heures à leur projet (surtout pendant les premières années), et y pensent continuellement.
5- Persévérance et flexibilité : Les entrepreneurs savent qu'ils vont rencontrer beaucoup d'obstacles sur leur chemin. La persévérance leur permet de surmonter ces obstacles et d'aller jusqu'au bout de leur projet. La flexibilité les aide à s'adapter aux différentes situations rencontrées et aux changements de l'environnement 6- Confiance en soi et enthousiasme : Les entrepreneurs se connaissent, ont confiance en eux-mêmes et croient en leur capacité de réussir. Ils maîtrisent leur avenir, par opposition aux gens qui sont dépendants des événements. Ils sont enthousiastes, positifs et optimistes. Ils se concentrent davantage sur leurs chances de succès que sur l'éventualité d'un échec.
Se lancer en tant que travailleur autonome, qu'est-ce que ça signifie ? Un travailleur autonome, qu'on appelle aussi " travailleur indépendant ", est une personne qui travaille à son compte, qui travaille pour elle-même et non pour le compte d'une autre personne. Un travailleur autonome est son propre patron. Il offre ses services à ses clients, génère ses propres revenus et doit assumer ses dépenses. Le travailleur autonome facture lui-même ses clients. Ses revenus proviennent de la réalisation de ses mandats. Il ne reçoit donc pas de salaire de ses clients. Le portefeuille de clientèle d'un travailleur autonome doit comporter plus d'un client. Il doit assumer lui-même et lui seul sa sécurité sociale et financière. Il peut réaliser des profits comme subir des pertes. Différences entre travailleur autonome et entrepreneur Il existe plusieurs caractéristiques communes entre un travailleur autonome et un entrepreneur, notamment en ce qui concerne la motivation et les aptitudes. Cependant, le travailleur autonome et l'entrepreneur sont deux personnes différentes : un entrepreneur est une personne qui dirige une entreprise, qu'elle soit petite ou grande, ce qui signifie qu'il a des employés, tandis qu'un travailleur autonome travaille à son compte, souvent seul.
Que faut-il pour bien réussir? Il n'existe pas de recettes miracles pour réussir en affaires. Plusieurs éléments, ingrédients et facteurs peuvent faciliter la réussite en affaires. Plus on en possédera, meilleures seront ses chances de succès en affaires. Pour bien réussir, il faut d'abord et avant tout avoir une bonne connaissance de soi, de son projet d'entreprise et de son marché. De plus, il est important d'avoir une très grande motivation et une volonté de se lancer en affaires. Aussi, il faut éprouver du plaisir à faire ce qu'on aime vraiment et continuer à avoir du plaisir en faisant ce métier. Le promoteur doit être passionné par son projet. Pour cela, doit maîtriser son projet d'entreprise, être bien entouré, soutenu et encadré. Il doit être capable d'identifier et de connaître ses principales expériences ou réalisations aussi bien d'ordre personnel, professionnel, social et même familial. En ce qui a trait à la connaissance de soi, il a à identifier ses forces et ses limites en termes de personnalité, d'aptitudes, d'attitude, de connaissances, de compétences, de goûts et d'intérêt.
Il existe une équation qui constitue un gage de réussite. Cette équation est la suivante :
Les facteurs clés de succès d'un projet de création d'entreprise sont nombreux et peuvent se résumer ainsi : Le professionnalisme du promoteur ; La solidité de sa personnalité ; Un bon et solide réseau de contact ; Une compétence satisfaisante en gestion ; Des prévisions de chiffre d'affaires réalistes ; Des moyens pour les réaliser ; Des investissements en personnel et en équipements raisonnables ; Un plan de financement équilibré avec des fonds propres suffisants. Quels sont les meilleurs conseils avant de se lancer?
Avant de se lancer en affaires en toute confiance et sécurité, le conseil le plus important à se prodiguer est de se préparer minutieusement afin de se donner toutes les chances de réussir en affaires. Le premier : Pour se lancer et réussir en affaires, il faut impérativement savoir vendre, c'est à dire chercher et trouver avant tout des clients potentiels, des gens, des consommateurs qui sont intéressés et qui veulent acheter votre produit/ service. Le deuxième, c'est d'avoir les caractéristiques et le profil entrepreneurial, à savoir le leadership, la vision, le goût du risque, l'autonomie, la ténacité, l'ambition, la créativité, etc., mais aussi avoir le soutien de son entourage immédiat. Les autres conseils, tout aussi fondamentaux découlent de ces deux premiers. En voici quelques-uns uns : Evaluation des compétences. En tant que chef de sa petite entreprise ou jeune travailleur autonome, l'entrepreneur est à la fois vendeur, comptable, directeur de marketing ou responsable des opérations. En plus d'avoir les compétences techniques nécessaires, il doit avoir des notions de base managériales. Savoir vendre son produit/service et gérer efficacement son temps. Peser le pour et le contre Créer une entreprise ou se lancer en affaires exige beaucoup d'heures de travail et nécessairement, des sacrifices importants, tant sur le plan personnel, familial, professionnel et social. De plus, il faut entre 2 et 3 ans avant qu'une entreprise ne soit rentable, ce qui constitue un investissement considérable. Pour cela, il devient primordial de se lancer dans un domaine qui le passionne, sinon on ne résistera probablement pas longtemps. Choisir son créneau Il est extrêmement difficile, voire irréaliste de réussir dans un domaine pour lequel on n'a pas une très bonne expertise, expérience ou formation. Se lancer donc dans un domaine qu'on connait bien, qui est familier et où on entretient un bon et riche réseau de contact.
Suivre les tendances de consommation Compte tenu de la concurrence, de la mondialisation et de la conjoncture économique, on ne peut plus se permettre d'offrir des produits, certes au passé glorieux, mais qui ne répondent plus aux besoins actuels des consommateurs.
Pour réussir, il faut être très attentif à l'évolution des besoins et des attentes des consommateurs. Faire une étude de marché L'étude de marché va permettre au promoteur de projet de savoir en quoi son produit/service se distingue de ceux offerts par les concurrents. En outre, elle permet de faire l'analyse de l'industrie, de l'environnement, de la clientèle, de la compétition et de l'évolution du marché dans lequel on pénètre, afin d'élaborer sa stratégie marketing. Cette analyse de l'environnement renseigne le promoteur de projet sur les lois, la réglementation, les permis nécessaires, etc. Choisir sa forme juridique En se lançant en affaires, on doit réfléchir et choisir la forme juridique de son entreprise entre l'immatriculation et l'incorporation. Suggestion : Consulter un conseiller juridique (avocat ou notaire) qui pourrait aider dans le choix de la forme juridique la plus appropriée à l'entreprise. Elaborer un plan d'affaires Il est indispensable de préparer un plan d'affaires pour diverses raisons : Définition et formalisation de l'idée d'affaires Définition des objectifs, des échéanciers et des cibles de revenus Recherche, demande et négociation de financement Attrait des partenaires, associés et collaborateurs éventuels Analyse de la rentabilité et de la viabilité du projet à court, moyen et long terme. Evaluer le coût de démarrage Il faut compter entre 2 ou 3 ans pour qu'une entreprise devienne rentable. Ce qui constitue un investissement considérable, surtout que durant cette période, on ne pourra peut être pas lui verser de salaire. Prévoir donc une autre source de revenu qui lui permettrait de vivre en attendant que l'entreprise génère suffisamment de rentrées financières. Se constituer des réserves Pour ne pas être pris à la gorge, il y a lieu d'éviter d'engloutir toutes ses économies dans le démarrage d'entreprise. Il faut donc prévoir un fonds de roulement pour que la roue puisse continuer à tourner en attendant que les contrats rentrent. Selon les objectifs, les attentes et la vision quant à son évolution professionnelle, on peut choisir entre différents types d'associations ou types d'entreprises : Propriétaire unique, entreprise avec associés, avec investisseurs, etc.
Il y a plusieurs façons pour découvrir des idées d'affaires. Les sources majeures d'information sont : Les consommateurs ; Les compétiteurs ; Les distributeurs et/ou fournisseurs. Beaucoup d'idées proviennent de l'observation et/ou de l'écoute active de ces derniers. Il faut garder les yeux bien ouverts, être créatif et imaginatif. Ensuite, déterminer quelles idées constitueront des occasions d'affaires.
Les principales sources d'information sur l'idée d'affaires :
Les irritants ou les défauts de la société. Ceux qui nous font réaliser que s'il y avait une solution beaucoup de gens l'achèteraient ; Le milieu d'affaires. Dans notre travail quotidien, il se peut qu'on remarque des clients non satisfaits, des manques existants ou des occasions d'affaires ; Les gens d'affaires peuvent constituer des contacts uniques qui pourraient procurer au promoteur de projet de l'information précieuse à tous les stades du développement de son entreprise ; Plusieurs documents peuvent aider à trouver une idée d'affaires :Les journaux et revues pourraient aider à trouver une idée, soit par certaines rubriques d'occasions d'affaires ou tout simplement par l'information riche qui y est présentée. Il suffit d'être ingénieux, original et inventif ; Joindre l'utile à l'agréable peut aussi porter fruit. Les activités comme les colloques, les foires, les expositions ainsi que les réunions des professionnelles peuvent constituer de précieuses sources d'information et d'idées.
Amélioration, adaptation et innovation d'un produit ou service.
Il est important de comprendre la différence entre l'amélioration, l'adaptation et l'innovation pure. Améliorer un produit signifie le rendre plus performant, de meilleure qualité, de plus belle allure ou avec des fonctionnalités supplémentaires. Adapter signifie apporter des changements à un produit selon les besoins changeants des consommateurs. Le produit peut devenir de qualité supérieure ou inférieure, avec plus ou moins de fonctionnalités, à prix plus ou moins compétitif, mais l'adaptation fait en sorte que le produit répond au nouveau besoin du consommateur.Par ailleurs, l'innovation pure signifie concevoir un produit ou un service qui n'existait pas auparavant. L'idée se transforme en un produit ou service nouveau répondant à une demande non comblée dans le marché. Que l'idée existe ou pas, certains risques existent. Risques associés à une nouvelle idée : Manque d'information, aucune recherche n'a été effectuée ; Manque ou difficultés de financement ; Coût plus élevé en recherche et développement ; Rentabilité et demande incertaines ; Concurrence indirecte. Risques associés à une idée déjà existante :Concurrence directe ; Plus petite part de marché ;
Comment reconnaître les opportunités d'affaires ?
Reconnaître une idée d'affaires, c'est être imaginatif et attentif aux signes du marché (méthodes). Imiter ou modifier une idée à succès Profiter des revirements du marché au bon moment Utiliser les nouvelles modes, tendances comme autant de possibilités ponctuelles. Elles sont portées à changer avec le temps, mais elles restent très intéressantes Transférer un concept ou une méthode à succès dans un secteur différent Profiter bien des différentes circonstances du marché, comme des changements économiques, des progrès, de nouvelle règlementation. Trouver des alliés, des partenaires en aide, comme des étudiants dans le domaine ou des retraités, des gens dont la capacité est plus ou moins utilisée .Utiliser pleinement les possibilités de croissance. Penser à des produits ou services ayant une utilité quelconque dans les secteurs en pleine croissance .Profiter des lacunes du marché en déterminant quels produits ou services démontrent une demande excédant l'offre. Cerner les produits ou services ayant un bon potentiel, mais n'ayant pas eu de succès. Tenter de cerner la ou les raisons pour lesquelles ce fut un échec et ensuite on tente chance ; Inventer tout simplement un nouveau produit ou service. S'assurer qu'il y ait une demande non satisfaite pour ce genre de chose. Cibler un groupe particulier (par ses activités, par d'autres caractéristiques, etc.) de gens et déterminer quels sont leurs besoins, pour ensuite introduire un produit ou service y répondant.
L'idée est-elle bonne ?
Différentes façons sont possibles pour déterminer la validité de son idée : questionnaire, évaluation, réflexion, recherche, etc. Une idée d'affaires est viable si elle peut se matérialiser en projet d'entreprise ou si elle peut se traduire en retombées économiques significatives. Questions simples pouvant guider l'entrepreneur à valider son idée d'affaires : Est-ce que le produit est vraiment utile pour le consommateur et la société? Est-ce que le projet sera profitable pour l'entreprise ? Est-ce que le produit ou service est en relation avec les objectifs et stratégies de l'entreprise? Est-ce qu'on a les aptitudes, les ressources physiques et matérielles pour atteindre le succès? Est-ce que le produit est facile à annoncer et à distribuer? Est-ce que notre produit confère davantage de valeur que le produit concurrent ?
-Valider son idée au départ : Il est primordial de valider la pertinence de son idée. Même si elle semble excellente, ce n'est peut-être pas l'avis des consommateurs. Une analyse sérieuse demande de l'implication et du temps. Seul le promoteur de projet pourra déterminer le temps nécessaire, mais qu'il sache que cette analyse n'est pas perdue. Elle devra être faite tôt ou tard. Procédé d'évaluation d'une idée d'affaires -Le produit : Apprendre à connaître parfaitement toutes les caractéristiques de son produit ou service en le détaillant. Ces arguments lui seront profitables lors de la vente. Préciser bien ses forces pour savoir exactement ce qui le différencie des autres. Cela lui servira au niveau de la vente. Faire une vérification de la réglementation dans son secteur : lois, autorisations, etc. Décrire son procédé de fabrication ou méthode d'exécution. La concurrence :Faire une analyse exhaustive de ses concurrents directs et indirects. Ainsi, on pourra établir ses stratégies. Quel est le prix de ses concurrents et pourquoi vendraient-ils plus ou moins cher? Par rapport au prix de ses concurrents, tentez d'établir le prix le plus concurrentiel que vous pouvez offrir en tenant compte de vos forces et de vos faiblesses. La clientèle cible : Etablir le profil de sa clientèle cible soit en dressant un portrait type du consommateur ou en analysant le secteur d'activité si on cible des entreprises. Délimiter la zone géographique principale où on exerce la première année pour ainsi mettre vos efforts au bon endroit et évaluez ses besoins selon les circonstances. La vente :Etablir sa stratégie de commercialisation. Les tactiques qu'on utilisera en vue de promouvoir son produit. La viabilité : Préciser bien ses forces pour savoir exactement ce qui le différencie des autres. Cela lui servira au niveau de la vente. Etablir ses stratégies de commercialisation. En d'autres mots, les tactiques utilisées en vue de promouvoir son produit. Décrire son procédé de fabrication ou méthode d'exécution.Pourquoi devrait-on valider son idée et est-il essentiel de le faire? Pour la viabilité d'un projet, une bonne analyse de départ est primordiale. Un entrepreneur qui ne connaît pas ses compétiteurs, son marché ou son projet en soi, ne peut démarrer une entreprise avec assurance. La validation de son idée d'affaires permettra d'éviter certaines embûches.
