Le tribunal d'Oran auprès de haï Djamel Eddine a infligé dans son audience la semaine dernière une peine de 10 ans de prison ferme assortie d'une amende de 50 millions de centimes à l'encontre des deux jeunes coupables poursuivis pour le d élit de détention et de commercialisation de psychotropes. La même sentence a été prononcée à leur adresse par le procureur général. Les faits de cette récente affaire remontent tout juste à la semaine dernière, ou les deux jeunes coupables furent arrêtés en flagrant délit par les éléments de la sureté nationale en plein centre ville sur la base d'informations très véraces ayant atterries aux services des forces de sécurité mettant en infraction l'existence de deux jeunes qui s'adonnent à la commercialisation de psychotropes. Au moment de l'opération d'arrestation de ces deux trafiquants, il a été saisi auprès du premier jeune coupable la quantité de 6 comprimes de psychotrope, alors que le second coupable une quantité plus importante de 99 comprimés pour que la quantité globale saisie totalise les 105 comprimés. Après leurs arrestations, ces deux coupables ont été emmenés directement aux services de la sureté en vue de procéder à leur audition et qu'une enquête préliminaire sera inscrite à leur encontre pour le délit de détention et de commercialisation de quantité importante de psychotrope. Après la procédure d'usage, ces deux coupables ont été conduits au tribunal et présenté devant le procureur général qui a ordonné leur mise en détention provisoire avant leur comparution devant le tribunal qui a abouti à leur procès qui s'est déroulé au courant de la semaine dernière. Une fois à la barre, les deux jeunes coupables ont carrément nié les faits dont ils se sont faits coupables, en déclarant que ces psychotropes ne sont pas destinés à la vente mais à leur propre consommation et préfèrent acheter cette drogue en quantité suffisante pour ne pas tomber en rupture de stock. Malgré que la défense ait demandé l'allègement de la sentence dans sa longue plaidoirie à l'encontre de leurs mandants, le verdict prononcé par le tribunal après délibération était de 10 ans de prison ferme, une lourde sentence qui permettra sans doute aux inculpés de bien méditer derrière les barreaux sur leurs actes.