Le mouvement islamiste politique sera présenté par un seul candidat à la course pour la prochaine élection présidentielle. C'est la première fois, depuis l'ouverture du champ politique en Algérie, que les islamistes tournent le dos à un tel rendez-vous électoral. Un seul parti politique islamiste a présenté un candidat lors de la course aux présidentielles du pays, qui auront lieu au mois d'avril. Ce sera la première fois depuis l'avènement d'un scrutin multipartite que les islamistes seront absents de cet événement électoral majeur. si on croit que le candidat de l'islah ne representera q'un aile de se courant islamiste vu la division des partis islamistes entre « allie au soutient de bouteflika et les autres tels que djabellah et En-Nahda qui ont préfères d'être spectateurs ainsi que les exmilitants de l'ais dissous et le fils qui donnes un cheque signe a blanc a Bouteflika » Mahfoud Nahnah était le candidat islamiste du Mouvement de la société pour la paix (MSP) en 1995, mais il a perdu face au Général Liamine Zeroual. Lors des élections de 1999, les tribunaux interdisent à Nahnah de se représenter, en accord avec l'article 73 de la Constitution algérienne. En effet, le candidat présumé n'a pas servi dans la Guerre de Libération. En 2004, le MSP abandonne ses ambitions politiques et décide de contracter une alliance avec le Rassemblement National Démocratique (RND) et le Front de Libération National (FLN) pour soutenir la candidature de Abdelaziz Bouteflika. Tandis que l'Algérie se prépare à élire son prochain Président, de nombreux spécialistes politiques paraissent sceptiques sur la potentialité de changement du pays. Abdellah Djabbalah , Ce leader islamiste, limogé d'El Islah lors de la réorganisation en 2007 du parti, déclare qu'il a tenté de prendre part aux présidentielles en tant que candidat libre, mais en vain. Il estime que la Constitution a été révisée. Le parti islamiste Ennahda est pareillement critique concernant les élections 2009. Dans une déclaration récente, le Comité Consultatif du mouvement déclare que " le climat politique dans le pays n'encourage pas la participation". Islah qui a perdu sa figure de proue, Abdellah Djabbalah , à presente son secretaire general pour sauve la face mais avec le soutient du MSP au president sortant et le silence du En-Nahda et l'absence de Djabellah et le fils dissous se serait un suicide dont toute la mouvance islamiste payera la facture de l'echec . Les leaders du Parti ont bien sollicité Ahmed Ben Mohamed, ex-Ministre de l'Education, mais ce dernier a refusé. Le MSP a décidé de rester dans la coalition au pouvoir en appuyant la possibilité d'un troisième mandat pour Bouteflika.