Les articles de presse et les commentaires des internautes à travers tous les réseaux sociaux ne cessent de dénoncer la situation dramatique de plus de 13 avenues, des routes délabrées au chef-lieu de la wilaya, particulièrement au niveau du centre-ville où le trafic est quasiment gelé voire déboussolé où chacun conduit à sa manière pourvu qu'il s'en sorte particulièrement dans les boulevards stratégiques comme celui de Sidi Abed long de plus de 1000 mètres et ses 4 issues secondaires et cela en raison des travaux qui sont engagés normalement pour les réhabiliter. Or curieusement, ces travaux ont été entamés simultanément sans pour autant réhabiliter aucune route, cela d'ailleurs pose des questions liées au choix même des entreprises qui ont été retenues pour cet objectif car l'on se demande si ces travaux sont assujettis à un cahier de charge déterminant des délais de réception étant donné que le facteur temps dans des projets pareils est vital et qui est généralement de courte durée or certaines de ces avenues sont en état de chantier depuis plus de trois mois. Les malheureux ménages qui ont pu acquérir au crédit des voitures chinoises se demandent jusqu'à quand ces routes seront aussi délabrées alors que leurs véhicules se détériorent davantage. Les passants s'exposent de leur côté à tous les dangers notamment les personnes handicapées et âgées qui éprouvent beaucoup de difficultés pour parvenir à leurs destinations d'autant que ces routes en chantiers sont toutes situées devant les administrations qui accueillent le plus de public. Les associations concernées par la défense de l'environnement, la santé etc. sont appelées à intervenir auprès des administrations concernées pour lever ces obstacles.