Ce 8 janvier 2019, aux environs de 20 h, plusieurs malades dialysés, devant subir des traitements de dialyse, se sont heurtés à des situations qualifiées par l'ensemble de la société" d'inhumaines et tendancieuses", eu égard à la diffusion de photos, images et vidéos sur les réseaux sociaux qui ont véritablement flambé suite aux réticences observées par certains responsables du centre d'hémodialyse, qui ont déclaré même à des inspecteurs qui se sont déplacés sur les lieux ces propos: «Nous sommes en grève, nous revendiquons le départ de la directrice de l'hôpital «Youssef Damerdji » Et en dépit des insistances avancées par les inspecteurs, les responsables d'hémodialyse sont restés de bois et n'ont même pas observé le service minimum de prestations aux malades et devant cette situation, les malades dialysés ainsi que leurs familles qui se sont déplacées de différentes régions, et en signe de contestation ont bloqué la route et sous un froid sibérien. Cette image n'a pas laissé les responsables de la santé indifférents et aussi les services de police qui sont intervenus sur les lieux pour voir les tenants et les aboutissants de ces comportements bizarres des responsables du centre de l'hémodialyse de Tiaret .Livrés à leurs comptes, les dialysés et leurs familles se sont scindés en un cortège de 12 voitures et se sont dirigés vers le cabinet du wali, Mr Bentouati Abdessalem qui en coordination avec le directeur de la santé et de la population ainsi que la directrice de l'hôpital, ont fait recours à une solution salutaire en vue de sauver les malades et ont mis à leur disposition des ambulances à destination de 3 hôpitaux, à savoir celui de Sougueur, Mahdia et Frenda, a constaté le journal «Réflexion" sur les lieux. Pour l'heure, certains employés revendiquent des droits qu'ils considèrent légitimes et les espaces de communication se rétrécissent et ont bien démontré à l'opinion publique que l'hôpital «Youssef Damerdji" était au bord du volcan et que les larves n'emporteront que ceux qui ont voulu que l'intérêt du malade soit au bas des soucis...Mais d'autres vents ont soufflé pour que cet hôpital change et à jamais sa vieille appellation qui servait le secteur privé par de fausses évacuations car il s'appelait «Souk Hassi Fedoul.."