L'homme à la cigarette Marlboro, ou l'ancien secrétaire général de la wilaya, en tenue de Django, avait bien joué son rôle de médiateur entre les Saïd, les Ouyahia et les Hamel, pour servir les siens pour être enfin bien servi ! Et du coup, une année secrétaire général, il devient wali d'une grande wilaya ! Mr Hadjadj, à la version d'Al-Hadjadj Ben Yousef, avait décapité par son épée le foncier de Mostaganem, et blanchi toutes les transactions irrégulières commises par tous les responsables (anciens et actuels) de l'agence foncière en siégeant une réunion du conseil d'administration de la dite agence, en tant que président du conseil, profitant de la période de son intérim. Ainsi, en 2017, Hadjadj Messaoud, SG de la wilaya, chargé d'intérim du wali partant , bien qu'il n'ouvre pas le droit de présider le conseil, selon la loi, qui stipule, que les fonctions des membres du conseil de l'agence sont nominatifs, et ne peuvent en aucun cas changer de fonction, il a présidé le conseil et a blanchi l'agence ! Il fallait le faire pour sauver sa peau et ce qu'il peut sauver avant, la nomination d'un nouveau wali ! Lui et l'ancien chef de la police Khallasi, et Amiar, le fils de Hamel, et le sieur Abdesatar ainsi que les directeurs de l'agence foncière et des domaines, Beladgham, ont été à la tête d'une mafia du foncier et ont bradé le foncier de Mostaganem, sous les ficelles de la loi 08-15 du 20 juillet 2008, et l'article 47 de la loi des finances 2015 et du fameux guichet unique. Evidemment, pour l'ancien SG de Mosta, l'actuel Wali d'Oum El Bouaghi, c'est facile de gâter les amis, puisque c'est lui qui présidait toutes les commissions de wilaya en tout genre : urbanisme, agricoles, zone d'activité et même les commissions des ZET ! A commencer par les neuf terrains des Castors, face au projet d'aménagement d'oued Ain-Sefra, et lots de terrains distribués aux 544 lots et Kharrouba, et les terrains de la commune transférés à l'agence pour les affecter ensuite aux bons payeurs ainsi que les fameux dossiers de permis de lotir et les permis de construire des 04 lots de terrain à la route du port et l'hôtel Royal et le parking communal à Debdeba ainsi que le permis de construire du terrain de 730 m2 du député en litige.. Tout ça n'est que la face cachée d'un scandale, dont nous y reviendrons prochainement en détails !