Les femmes qui s'adonnent sans scrupule à la mendicité sont aussi nombreuses que les hommes qui envahissent nos rues qu'il pleuve, qu'il neige ou qu'il vente et ce même face à la canicule peu importe. Ce phénomène qui a pris de l'ampleur n'est autre que de la mendicité est devenu pour certains un métier rentable qui rapporte gros financièrement, chaque citoyen peut juger de lui-même ce fléau qui a investi la société. Les uns estiment que parmi les mendiants qui demandent de l'aumône et qu'on voit quotidiennement sur les places publiques, au bord des trottoirs, et dans les artères urbaines ont trouvé dans cette pratique une vraie aubaine pour gagner de l'argent et s'enrichir. Ils sont donc nombreux sur le territoire national à exercer cette pratique de gueuserie mercantiliste qui reste condamnable. Ils se présentent matinalement au centre ville de Chlef dès 7 heures du matin avant tout le monde, pour pointer dans les esplanades de la Solidarité devant les portes de la poste. On voit les femmes qui sont accompagnées par un ou deux bébés devant les portes des mosquées, d'autres assises par terre exhibant une ordonnance médicale sur le sol pour tremper les passants afin que ces derniers leur donnent une pièce de monnaie en signe de charité, ces lieux sont devenus pour ne pas exagérer leur résidence quotidienne. Quant aux mendiants du sexe masculin malheureusement ils ne sont pas nombreux, vous les trouvez devant les restaurant en train de guetter les clients à la sortie pour leur remettre une pièce de monnaie ou pour leur offrit un sandwich. On ne s'arrête pas là, cette mendicité a pris de l'ampleur ici a Chlef comme partout ailleurs et choisissit les grands centres urbains. Selon des citoyens il paraitrait que pour certaines femmes, elles se font accompagnées par des bébés en bas âge pour les utiliser comme appât et attirer les passants afin de les sensibiliser sur leur sort afin de les inciter à avoir pitié d'eux. Devant ce spectacle tout citoyen est sensible et met la main à la poche. Un commerçant du centre ville de Chlef nous dit que les vrais nécessiteux sont discrets et ne tendent jamais au grand jamais leur main à quiconque ni accomplir cette pratique qu'ils estiment déshonorable, cette frange de la société est vulnérable de tout point de vue, mais voilà ces faux mendiants sont organisés telle une entreprise (employeur et employé) avec des territoires bien définis. Selon des témoignages oculaires, ces pseudos mendiants fréquentent constamment les banques pour procéder à des opérations de versements des recettes cumulées durant la journée par la mendicité.