Le jardin public « Emir Abdelkader » situé en plein centre ville de Mostaganem et à proximité du siège de l'APC de Mostaganem, réalisé pour permettre aux enfants et aux familles de profiter pleinement d'un espace de loisirs et de divertissement, a été détourné de sa vocation initiale et transformé en square de la débauche en plein jour (voir photo)... Faute de mauvaise gestion et de protection de la part de la commune, ce lieu et squatté le jour par des adultères et les SDF et la nuit, il sert pour les soûlards à ciel ouvert. Cette situation met mal à l'aise de nombreux citoyens qui tirent la sonnette d'alarme pour mettre fin a cette image qui contrevient à nos mœurs ..La vertu a laissé place au vice et à la dépravation. L'impunité règne en maitre absolu dans la cité. Les relations extraconjugales n'effrayent plus personnes, comme l'étaient nos ancêtres. Après le squat des trottoirs, et des places publiques, c'est au tour du seul jardin public de la ville, pour que les citoyens de Mostaganem se posent aujourd'hui la question suivante, pourquoi tout ce pourrissement de la situation, qui a tendance à se généraliser, de par l'indécence constatée en ce lieu de villégiature cédé à la débauche, d'où l'insécurité pour les plus vulnérables et pour ceux qui s'y aventureraient pendant la nuit. Le seul jardin, que possède la ville de Mostaganem, a été accaparé ces dernières années au grand dam des autorités, par les propagateurs de l'adultère, du vice et de l'indécence. L'absence du châtiment est perceptible et n'importe quel citoyen le remarque, et répond par la positive lorsque vous lui posez la question. Le sexe dépravé devenu une provocation impunie, est-il consenti par la loi de ne pas le combattre au même titre que la délinquance, le banditisme ou même la drogue. Pourquoi les pouvoirs publics ne réagissent pas afin d'éradiquer ce phénomène qui ne cesse d'abâtardir la société, et heurter la sensibilité des citoyens qui ne savent à quel sain se vouer. Que Dieu fait, le nombre de nouveaux nés abandonnés au fil des jours dans les recoins de la ville, par ces mères célibataires sans le moindre état d'âme. Ce lieu délectable qui jadis attirait ces familles accompagnés de leurs enfants venaient pour changer un peu d'air et pouvoir respirer tranquillement l'air pur que dégagent la nature et la bénédiction des arbres centenaires, s'est transformé en lieu de débauche ou tous les dépravés et obsédés charnels viennent pester le venin de l'indécence et de l'impudeur. Hadj Ahmed, un septuagénaire dit « Je suis outré par ce qui se passe dans ce jardin et le comble juste à quelques mètres seulement du bureau du maire de la ville, sans qu'aucun des responsables puisse intervenir pour mettre un frein à l'anarchie qui y règne ».