L'histoire a toujours eu ses secrets d'alcôve et n'a pas de logique à son cours lorsque l'on découvre que parfois elle s'implique pour lever le voile sur des hommes projetés tels, que Nicolas Sarkozy au devant de la scène, par un machiavélisme annonciateur et tant redouté. Thierry Meyssan journaliste Français président fondateur du réseau Voltaire et qui s'est vu interdire de publication en France, nous en donne les raisons. En 2008, il accuse le président Nicolas Sarkozy d'avoir été élu en cachant aux Français ses liens avec les casinotiers, la banque Rothschild et la CIA. Il présente ses imputations à l'Eurasian Media Forum au Kazakhstan, et repris sur le site du Réseau Voltaire. Le 29 juillet 2008 il accorde une interview où il évoque les contraintes rencontrées lors de la diffusion de l'article sur le réseau Voltaire et les raisons. Dans un livre paru en Italie en 2007 et dans un entretien parut en octobre 2008, il affirme que le département d'état de la défense des états unis a lancé un contrat contre lui et qu'il a été protégé par les autorités Française durant la présidence de Jacques Chirac. Ne disposant plus de protection, après l'élection de Sarkozy il s'est exilé en Syrie puis au Liban. L'autobiographie faite par Thierry Meyssan reflète dans un sens une réalité et confirme les rumeurs sur ce mégalomane travestit et prêt à tout. Ce journaliste nous invite à remonter le temps avec lui dans la vie de cet émigré qui se revendique identitaire ment, comme étant Français plus que le Français, oubliant ses origines Hongroises et qu'il était lui-même issu de l'immigration. Né en 1955 de confession catholique Hongrois, fils de Pal Sarkozy de Nagy Bosca, qui avait fuit l'armée rouge, Marié à Andrée Mallah originaire de Thessalonique après avoir eu trois enfants, Guillaume, Nicholas et François; il divorce de celle-ci et quitte la Hongrie, pour la France. Après son divorce du père de Nicolas, elle devient la secrétaire d'Achille Peretti, après avoir Co fondé le SAC. Quant au père Pal il sera élu député et maire de Neuilly-sur-Seine, la plus riche banlieue et puis président de l'assemblée nationale, mais en 1972 il est mis en cause par la suite . Le père Pal Sarkozy se remarie en France, avec une aristocrate du nom de Christine de Ganay. Il aura deux enfants avec elle "Pierre Olivier et Caroline ". Thierry Meyssan nous raconte le parcours de Nicolas Sarkozy et dévoile les dessous d'une ascension, minée par les complots et les coups bas, pour naître d'une vraie conspiration. En 1977 Le père Pal se sépare de sa seconde épouse laquelle se lie avec le n° 2 de l'administration du département d'état des états Unies et l'épouse, Quant à Nicolas Sarkozy il restera proche de sa belle mère, de son demi-frère et de sa demi-sœur et bénéficie des programmes de formation du département d'état. Selon Tierry Meisson, celui-ci adhère au parti Gaulliste, et devient un proche de Charles Pasqua, en 1982 et après avoir terminé ses études en droit il rejoint le Barreau, et épouse la nièce d'Achille Peretti, qui fut à l'origine d'un grand scandale en 1972 cité plus haut. A l'époque le Time Magazine révèle l'existence d'une organisation criminelle secrète "l'Union Corse" "French Connexion", il citera dans ses colonnes le nom d'un chef Mafieux "Jean Venturi", arrêté quelques années plus tard au Canada et qui n'était autre, que le délégué commercial de Charles Pasqua pour la société d'alcool Ricard et le nom de plusieurs familles qui dirigeait l'Union Corse, sont évoqués. Sarkozy en tant qu'avocat, prendra la défense de ses amis corses, il aura en contre partie une propriété sur l'ile de beauté à Vico. L'itinéraire de l'homme selon Thierry Meyssan, s'est fait de manière ambitieuse, et déterminé, car l'année suivante il est élu maire de Neuilly-sur-Seine, à la place de son oncle Achille Peretti, par alliance. Sarkozy a toujours eu la trahison dans le sang, car il ne tarda pas à trahir sa femme pour Cécilia l'épouse de Jacques Martin célèbre animateur de télévision, il ne peut s'empêcher d'avoir aussi une relation passagère avec la fille de Jacques Chirac alors qu'il vivait encore avec Cécilia. La montée en puissance de cet émigré et pour connaître le fil de cette ascension vers le pouvoir, il va falloir remonter plus loin. En consultant les écrits de Thierry Meyssan, l'on est point surpris par les révélations d'une conspiration montée en épingle par Sarkozy contre le peuple Français et les palestiniens dans ses relations avec l'entité sioniste et la complicité du lobby pro-israélien. En 1993 sous Mitterrand jacques Chirac cohabite avec le président de gauche et forme avec Edouard Balladur un tandem, mais il laisse la place à ce dernier, Charles Pasqua devient ministre de l'intérieur malgré son passé et profite de sa fonction pour légaliser de nombreuses activités douteuses, il prend le contrôle des casinos, des jeux et des courses, il tisse des liens avec Israël et devient officier d'honneur du Mossad. Nicolas Sarkozy est ministre du budget et porte parole du Gouvernement. Avec la complicité de Charles Pasqua il complotera contre Chirac. A Washington Frank Wisner Jr prend la succession de Paul Wolfowitz comme responsable de la planification politique au département de la défense et a des liens très remarqués avec Sarkozy. C'est alors que naitra le complot contre Chirac, lorsque Balladur se présenta contre lui en 1995 mais il sera battu. Pour financer sa compagne électorale Balladur aura tenté de faire main basse sur la caisse noire du RPR de la compagnie Elf, le scandale éclate et les dirigeants sont incarcérés, mais Balladur, Pasqua et Sarkozy ne parviendront jamais à récupérer l'argent, C'est alors que Sarkozy nourrissant des ambitions se met à brasser large dans le parti Gaulliste, et la course à l'investiture commencera pour cet émigré, qui d'un commun accord avec Londres et Washington, prendra en mains les choses, à partir de la rien n'ira plus au sein du parti Gaulliste. Dans sa course à la présidence Nicolas Sarkozy continuera à tisser sa toile d'araignée en courtisant les personnalités du monde de la finance. Selon Meyssan le complot mis en place pour détruire le parti Gaulliste, prouve l'alignement conceptuel complice qui se jouait dans les coulisses, du parti républicain. Au courant de son premier mandat Jacques Chirac, qui se méfiait de cet opportuniste le tient désormais à distance et c'est la traversée du désert pour lui. Entre temps il continuera de lier des liens avec les cercles financiers et les gros bonnets. Selon le journaliste Français, Frank Wisner et ses collègue de la CIA s'engagent dans la destruction du parti républicain, mettant tout en œuvre pour éliminer l'œuvre de De Gaulle. Ils agiront en trois étapes, L'élimination de la direction du parti, la prise de contrôle, et l'élimination de tout candidat sérieux, comme de gauche et comme de droite pour assurer l'élection présidentielle de Sarkozy. C'est alors que les médias sont tenus en haleine par les révélations d'un promoteur immobilier avant que celui-ci ne décède suite à une grave maladie. Selon Meyssan il aurait enregistré une confession vidéo qui échouera entre les mains du socialiste Dominique Strauss-Kahn qui la fera parvenir à la presse. Dans cette souricière tendue par Sarkozy, Alain Juppé sera la première victime et pour protéger Chirac des retombées, celui-ci assume seul toute infraction pénale, ce qui laisse la voie libre à Sarkozy qui prend le parti républicain, et exploite sa position pour contraindre Chirac à le reprendre malgré la haine qu'il nourrit à son encontre et devient ministre de l'intérieur. Ce poste lui permettra de contrôler les préfets et les services de renseignements internes, qu'il utilisera à des fins personnelles et avec pour but de noyauter les administrations. L'assassinat du préfet Claude Erignac, tombe à point nommé pour Sarkozy et en même temps illustre le défit des indépendantistes Corses à la république. Un suspect est arrêté en la personne d'Yvan Colona fils d'un député socialiste. Dans la précipitation des évènements, Sarkozy accuse ce dernier d'être l'assassin présumé sans prendre en compte la présomption d'innocence le condamnant à juste titre avant la justice, à deux jours du référendum organisé en Corse pour modifier le statut de l'ile, mais les électeurs rejettent son projet qui selon certains favorisent les intérêts mafieux. Cependant selon le journaliste Français, Erignac n'a pas été tué par des nationalistes corses mais abattu par un tueur à gage du nom d'Igor Pecatte ex filtré vers l'Angola ou il a été engagé par le groupe ELF et serait lié aux fonctions antérieurs de celui-ci qui était responsable des réseaux Africains de Charles Pasqua au ministère de la coopération. L'assassin présumé, Yvan Clona est un ami personnel de Sarkozy et malgré cela il a été jeté en pâture, par ambition même ses propres amis n'échappent pas à ce mégalomane. Une autre affaire éclate, celle des faux listings accusant mensongèrement des personnalités de cacher des comptes bancaires au Luxembourg. Dans cette affaire Sarkozy porte plainte pour diffamation visant son rival de droite à l'élection présidentielle Dominique de Villepin, comme quoi il serait à la tête de cette machination pour lui nuire uniquement et l'écarter de la course à la présidence Française. Les faux listings en question selon Meyssan: ont été mis en circulation par des membres de la fondation Franco-américaine, dont John Negropente et Frank Wisner administrateur. Il paraîtrait que ces listings ont été fabriqués à Londres Par une officine commune de la CIA et du M.I.6. Haklut et Co, dont toujours Frank Wisner est administrateur comme par hasard. Pour Villepin c'est le commencement des ennuis et la voie est libre pour Sarkozy. Il devait aussi neutraliser la gauche, en la personne de Laurent Fabius un rivale de taille pour la course au présidentielle. Sarkozy pour éviter d'être battu fait entrer Dominique Strauss-Kahn dans la course afin d'éliminer Fabius et c'est aussi grâce aux militants infiltrés tels que les Lamberdistes qui avaient pour instruction de porter leurs suffrages, sur la candidate Ségolène Royal, une stratégie qui devait porter ses fruits. Strauss-Kahn étant déjà sur la liste des états unies et celle de Sarkozy pour service rendu, devait être récompensé en retour. A noter que Strauss-Kahn donnait des cours à l'université Condoleeza Rice. Dés son élection Sarkozy et Rice en guise de remerciement, le font élire à la tête du front monétaire international. Dés son élection Sarkozy reçoit le soir même à la célèbre brasserie des Champs-Elysées, jadis lieu de rendez vous de l'Union Corse, aujourd'hui propriété de Dominique Desseigne, les amis et les donateurs de sa campagne. Le premier décret qu'il signera se sera d'autoriser les casinos de ses amis Desseigne et Partouche, ce dernier devient le porte parole du parti. Sarkozy après son investiture, met en place ses quatre plus proches collaborateurs dont : Claude Guéant ancien bras droit de Charles Pasqua, François Pérol secrétaire général adjoint de l'Elysée, associé gérant de la banque Rothschild, Jean David Lévitt Conseiller diplomatique, fils d'un ancien directeur de l'agence juive et ancien ambassadeur à l'ONU, relevé par Chirac de ses fonctions, car il a été jugé très proche de Georges Bush et enfin Alain Bauer, un homme de l'ombre qui n'apparaît nulle part. Celui-ci est chargé des services de renseignement, c'est un ancien du Grand Orient de France et ancien n° 2 de la National Security états-unienne en Europe. Selon Meyssan pour compléter son équipe Bernard Kouchner est nommé ministre des affaires étrangères sur recommandation de Frank Wisner nommé envoyé spécial au Kosovo. Ii devait veiller à l'indépendance du Kosovo et procéder à la liquidation de la politique arabe de France. On sait que Kouchner a commencé sa carrière en participant à la création de l'ONG humanitaire et ce grâce au financement de la National Endowment For Démocracy et a participé en Afghanistan au côté de Oussama Ben Laden contre les Soviétiques. En 1990 il est en Bosnie-Herzégovine et de 1999 à 2001 il est le haut représentant de l'ONU au Kosovo. La collusion est parfaite et pour compléter le tableau, il désigne Christine Lagarde ministre des finances et de l'économie, une femme qui a dirigé le prestigieux cabinet de juristes Baker et McKenzie au Center for International et Stratégic Studies de Dick Cheney. Celle-ci est à l'origine du lobbying pour le compte de Lockheed Martin contre l'avionneur Français Dassault. Sarkozy pris par le vertige du succès n'en finira pas, avec les escapades et se fait offrir des vacances avec Cécilia payées par Robert F Agostinelli un banquier Italo-New-Yorkais Sioniste et néoconservateur. Après avoir mis en place l'échiquier et placer tous les proches dans les postes clefs comme promis et en récompense les Américains, son frère Olivier est nommé Par Frank Carlucci qui fut n° 2 de la CIA sous Frank Wisner directeur d'un nouveau fond de placement Su Carlyle Group Une société commune de gestion de porte feuille des Bush et des Ben Laden. Il devient le 5ème noueur de deals dans le monde et gère de nombreux fonds à Singapour et au Koweit. La saga Sarkozy dans sa continuité telle un rouleau compresseur ne lésine pas sur les moyens et ne cesse de se traduire sur le terrain à tous les niveaux internes et externes de sa politique qui sort du contexte de l'héritage Français, car sur le volet de la politique étrangère, et notamment avec Israël, Paul-Eric Blanrue, dans une interview réalisée par Thierry Meyssan ayant pour thème « Sarkozy a renversé les valeurs de notre république » il dira: L'alliance Française avec Israël est devenue un phénomène banal depuis l'après Eisenhower, vu que le secrétaire d'état est obligatoirement sioniste, par tradition à la maison blanche si l'on peut dire. Chez nous tout est ou était différent, il y a peu de temps encore, il n'y avait pas d'unanimité, au sein même des représentants de la communauté juive, sur la façon, dont il convenait d'aborder la question d'Israël. Tous ne se rangeaient pas sous la bannière de l'état juif comme de bons petits soldats, il y avait des résistances y compris au plus haut niveau de leurs organisations. Mais il y a bien davantage encore, ce que j'appelle les réseaux pro-israéliens se sont heurtés jusqu'en 2007 à un gros problème. Nous vivons jusqu'alors sous un régime Gaullien. « Même si j'ai conscience de la rangée de guillemets qu'il faut placer pour employer ce terme, et si l'on songe aux circonstances de l'arrivée au pouvoir de François Mitterrand à l'Elysée par exemple. » Il n'empêche pas que la résistance du pouvoir politique, à commencer par le Quai d'Orsay, aux revendications des réseaux sionistes qui était une réalité. Roland Dumas ou Hubert Védrine étaient de farouches partisans d'une position équilibrée au Proche et au Moyen Orient. Que l'on se souvienne aussi qu'en 2003, le premier ministre Israélien Ariel Sharon, a refusé de rencontrer Dominique de Villepin, alors chef de la diplomatie Française, parce que celui-ci avait fait savoir qu'il allait rendre visite à Yasser Arafat à Ramallah. Cette résistance les réseaux sionistes ont réussi à la surmonter depuis l'accession au pouvoir de Sarkozy. Seulement à la différence des Américains, celui-ci n'a pas été contraint de devenir leur homme ni leur valeur refuge, il ne s'est mis à leur service que parce qu'il en a décidé ainsi, par la volonté et stratégies politiques délibérées. Après la seconde Intifada en 2000 il s'est aperçut de la puissance acquise par le lobby pro-israélien américain. Concevant la France comme une Amérique en devenir, il a cherché à s'en faire adouber. Il a aussi parié sur la peur du « péril banlieue », qui pensait il, pouvait associer dans l'esprit des Français, juifs ou non, les immigrés « musulmans notamment » à des terroristes en puissance. C'est une des raisons pour laquelle il a invité des policiers israéliens en France à venir expliquer à leurs collègues comment mater les troubles dans les banlieues, comme ci celles-ci étaient des territoires occupés. Pour ce faire dans sa stratégie d'accession au pouvoir, il a employé le vocabulaire et l'idéologie des représentants sionistes, pour lesquels, aujourd'hui, pro-israélien et juif sont deux synonymes, C'était une manière de galvaniser l'électorat juif qui est en France l'un des plus importants au monde, ce qui a fait dire à l'UMP Christian Estrosi que « Sarkozy était le candidat naturel des juifs », conclura t-il. L'homme ne s'est jamais accommoder des principes multipliant les stratégies diaboliques, d'une politique qui ne répond pas aux attentes des Français. Aujourd'hui voila un homme qui s'est accaparé le pouvoir ou l'absence du débat politique, se confond avec les extrêmes pour abandonner les constances, qui ont été à la base de cette construction moderne par l'équité que l'on clame, l'égalité, la fraternité, mais avec Sarkozy ; la droite s'est fourvoyée. L'état d'esprit est un fait palpable et symptomatique depuis l'arrivée de Sarkozy à l'Elysée. Il est de notoriété public que Sarkozy tient des liens solides avec Israël, les états unies et la CIA. Depuis son arrivée la politique étrangère de la France à beaucoup changé et se range de manière inconditionnelle du côté israélien. Il a perdu de sa crédibilité et il est autant pro-israélien que durant sa campagne électorale et contrairement à ce que pensent les observateur Sarkozy n'a pas besoin de se déclarer Partisan inconditionnel de la sécurité d'Israël. Selon Paul-Eric Blanrue : Nous sommes face à un renversement total des principes sur lesquels la république est assise et c'est l'homme par qui la fracture arrive. Il ajoutera : J'évoque le cas de Tariq Ramadan, lors de sa confrontation télévisée avec Sarkozy, afin de montrer que ce dernier a intégré son discours la rhétorique sioniste actuelle, ce dogme bourré de dynamite qui veut dire juif-pro-israélien. La description des réseaux sionistes Français et la façon dont l'actuelle présidence répond à leurs attentes, voire les devance, je passe en revue des cas connus et moins connus : Quel est le parcours du patron de LICRA ? Qui sont les principaux « poissons pilotes » d'Israël en France ? Quelles associations intentent systématiquement des procès aux chercheurs indépendants qui critiquent Israël ? En quoi la loi Gayssot est elle la clé de voute de la dictature de la pensée unique actuelle ? Pour répondre précisément à votre question je prépare actuellement non pas un mais deux livres qui approfondiront de manière notable ce que j'ai dit dans celui là, a-t-il conclu. Imposture, trahison, intérêts personnels et manipulation ont servi les dessins politiques de Sarkozy dont l'ambition ne fait aucun doute. Le personnage est de cette catégorie d'hommes agissant par dépit foulant dans leur ascension le sens de la respectabilité et de l'honneur que seul un autochtone Français respecte. La cupidité et le besoin de se sentir au centre du monde a fait croire que cela améliorerait son image et lui ouvrirait les portes de la vraie aristocratie Française, d'ou la personnalité multiple, pour excuser l'absurde, présentant deux facettes incompatible avec toute conjugaison de vraies valeurs défendus par l'homme. Sarkozy présente certains éléments de la nature qui ne peuvent être répertorier par le simple fait d'une analyse du comportement humain que l'on peut voir subjective, ou toute l'appréciation y est relégué dans une chronologie de pouvoirs successifs procédant de manière remarquée, à se demander si c'est une pathologie déclenchée à partir de motivations ciblées et incompréhensibles, de cette haine accumulée et montante du personnage, ce n'est peut être pas le fruit du hasard, c'est beaucoup plus l'accomplissement d'un rituel nouveau non cataloguer, dont l'attitude hystérique ne laisse aucune expression physique, car le mode opératoire n'est pas figer et ne respecte aucune logique. Sarkozy selon l'étude rapportée à partir des écrits de Meyssan et Paul-Eric Blanrue, inquiète le citoyen Français, a juste titre, celui-ci ayant la main mise sur les médias par le biais du lobby juif et les révélations ne peuvent que confirmer l'appréhension du Français. Il à aboli l'expression citoyenne, ciblé l'émigré Musulman, qui est à la merci de l'injustice et des abus, ses doléances ainsi que sa colère est l'écho de son impuissance. Aujourd'hui Sarkozy se défend en exhibant son model démocratique importé d'Israël et prit en otage le peuple Français. Les rapports sociaux et politiques sont en contradiction avec le discours officiel qui limite ses interventions à des fins de non recevoir. Je ferme la parenthèse pour conclure s'agissant de ce hongrois qui tient sa propre rhétorique dans ses discours, il est intéressant de savoir, qu'au nom de l'histoire, des hommes tels que Sarkozy ne se sont jamais encombrés de la morale seule leçon à mon sens de civisme non retenue par l'homme président. n'est ce pas une aberration dans une nation chargée d'histoire ou la courtoisie est maîtresse des lieux. , par cela même qui se réclament respectueux, défenseur de projet de société alors qu'ils font subir le contraire aux autres.