Réflexion s'est fait un devoir d'alerter toutes les classes de la société sur l'état de santé de Monsieur Abdelkader Merabet. Nous estimons que c'est un homme de grande valeur, il mérite toute notre considération et toute notre gratitude. Pour ces raisons, Réflexion a décidé de publier l'appel lancé pour la constitution d'un comité de soutien. Un comité de soutien à notre ami Si Abdelkader Merabet. Pourquoi pas ? Une excellente idée, que nous espérons du fond du cœur, qu'elle fera son chemin. Nous nous associons et adhérons pleinement à cette proposition généreuse et spontanée. C'est ainsi qu'un appel est lancé à l'ensemble des intellectuels, hommes de culture et des lettres, à tous ceux qui connaissent Si Abdelkader et à tous les mostaganémois sans exception, d'apporter leur soutien à la réalisation de ce projet hautement humain de par son objectif, pour prêter aide et assistance à notre très cher ami, gravement malade. Connaissant parfaitement l'homme, je me permets sans aucune hésitation de dire que l'homme durant toute sa carrière, n'a jamais eu l'idée et ne l'a jamais effleuré, ne serait-ce qu'un seul instant, de compléter ses revenus par des apports frauduleux, qui malheureusement sont fréquents dans notre pays. Si Abdelkader est un homme « authentique et incorruptible », d'une grande sagesse et d'une grande humilité, il se fait discret comme on dit, un intellectuel qui a mis toute sa vie au service de la recherche et du savoir. Et ceux qui ont eu le privilège de le côtoyer ou de travailler avec lui, vous diront que c'est un honneur de s'attabler avec la personne, et le grand intérêt que lui portent les mostaganémois est immense et sans commune mesure. Aujourd'hui, il se retrouve malheureusement, alité chez lui, terrassé par la « Neurasthénie »une maladie qui s'attaque au système nerveux et qui nécessite une réelle prise en charge. Nous implorons Dieu Tout Puissant pour que Si Abdelkader Merabet retrouve toutes ses forces et nous revient rapidement. Nous espérons encore et toujours apprendre de notre frère, car ce qu'il nous a donné et appris jusqu'ici, nous le préserverons et le conserverons pour l'éternité, nous en espérions plus, mais nous sommes impatients et persuadés de le revoir parmi nous, un jour.