Il arrive d'entendre telle ou telle erreur judiciaire s'est produite, notamment dans des pays où la démocratie et la liberté d'expression sont bien ancrées. Et l'Etat se fait un devoir de réparer cette injustice, car il demeure le garant des libertés publiques et de la justice sociale. Ce qui malheureusement n'existe pas dans des pays comme le nôtre. Il apparait clairement dans certains cas, que des erreurs de ce genre, au lieu d'être réparées civilement et juridiquement, elles font l'objet de procédures bureaucratiques rien que pour éviter justement de reconnaitre ces erreurs, comme si le juge est infaillible. Nu n'est à l'abri d'une erreur d'appréciation ou de jugement, mais faut-il encore lorsqu'elle celle-ci est avérée, la corriger tout simplement tout en reconnaissant l'erreur.