ALGER - A quelques mètres du mausolée de Sidi Abderahmane, non loin de l'avenue Hocine Bourahla, les passants sont saisis par une singulière symphonie parcourant les venelles de la vieille cité algéroise. Les plus curieux se laissent guidés par la résonance des coups méthodiques du marteau appliqués au cuivre, jusqu'à arriver à l'antre d'un des tout derniers dinandiers de la Casbah, Monsieur Mira.